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Le crédit bancaire global a progressé au cours des dix premiers mois de l’année en cours. Il atteint 1.121 milliards de DH, selon les dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib, soit une hausse de 3,6% en glissement annuel (+39,43 milliards de DH).
Plus des deux tiers de cet encours supplémentaire ont été octroyés sous forme de crédits à l’équipement (+27,72 milliards de DH). L’encours des crédits à l’équipement, qui reflète l’effort d’investissement des entreprises, s’élève ainsi à 222,72 milliards de DH, en hausse de 14,2% sur un an.
Les données de BAM indiquent une légère baisse des créances diverses sur la clientèle, principalement octroyées aux institutions financières (compagnies d’assurances, caisses de retraite, sociétés de financement, OPCVM, etc.). Avec un encours de 175,35 milliards de DH, ces créances reculent de 1,3% (-2,34 milliards de DH) en un an.
Dans le secteur non financier, la hausse reste modérée : +2,4% à 947,41 milliards de DH. Le secteur privé non financier, moteur de l’économie, enregistre une croissance similaire (+2,4%), portant son encours de crédits à 843,38 milliards de DH.
Les financements aux ménages affichent la plus forte progression (+3,5 %), avec un encours de 400,61 milliards de DH. Les crédits aux entreprises privées augmentent légèrement (+1,5%), atteignant 442,77 milliards de DH.
Les créances en souffrance des banques, générées principalement par les ménages et les entreprises privées, progressent de 3,5 % à 98,44 milliards de DH. Elles représentent 8,78% de l’encours global du crédit et 11,68% des crédits au secteur privé.
Par type de crédit, les crédits immobiliers augmentent de 2% sur un an, atteignant 308,48 milliards de DH. Ceux destinés à l’habitat progressent timidement (+1,6 % à 246,89 milliards de DH), boostés par une hausse de 14,1% des financements participatifs (24,1 milliards de DH d’encours). Les crédits aux promoteurs immobiliers enregistrent une croissance notable de 7,7%, atteignant 56,37 milliards de DH.
Quant aux crédits de trésorerie des entreprises, ils progressent de 1,4% sur un an pour atteindre 257,36 milliards de DH. Les crédits à la consommation des ménages, enfin, augmentent de 1,5% à 58,68 milliards de DH.
Plus des deux tiers de cet encours supplémentaire ont été octroyés sous forme de crédits à l’équipement (+27,72 milliards de DH). L’encours des crédits à l’équipement, qui reflète l’effort d’investissement des entreprises, s’élève ainsi à 222,72 milliards de DH, en hausse de 14,2% sur un an.
Les données de BAM indiquent une légère baisse des créances diverses sur la clientèle, principalement octroyées aux institutions financières (compagnies d’assurances, caisses de retraite, sociétés de financement, OPCVM, etc.). Avec un encours de 175,35 milliards de DH, ces créances reculent de 1,3% (-2,34 milliards de DH) en un an.
Dans le secteur non financier, la hausse reste modérée : +2,4% à 947,41 milliards de DH. Le secteur privé non financier, moteur de l’économie, enregistre une croissance similaire (+2,4%), portant son encours de crédits à 843,38 milliards de DH.
Les financements aux ménages affichent la plus forte progression (+3,5 %), avec un encours de 400,61 milliards de DH. Les crédits aux entreprises privées augmentent légèrement (+1,5%), atteignant 442,77 milliards de DH.
Les créances en souffrance des banques, générées principalement par les ménages et les entreprises privées, progressent de 3,5 % à 98,44 milliards de DH. Elles représentent 8,78% de l’encours global du crédit et 11,68% des crédits au secteur privé.
Par type de crédit, les crédits immobiliers augmentent de 2% sur un an, atteignant 308,48 milliards de DH. Ceux destinés à l’habitat progressent timidement (+1,6 % à 246,89 milliards de DH), boostés par une hausse de 14,1% des financements participatifs (24,1 milliards de DH d’encours). Les crédits aux promoteurs immobiliers enregistrent une croissance notable de 7,7%, atteignant 56,37 milliards de DH.
Quant aux crédits de trésorerie des entreprises, ils progressent de 1,4% sur un an pour atteindre 257,36 milliards de DH. Les crédits à la consommation des ménages, enfin, augmentent de 1,5% à 58,68 milliards de DH.
