Le déficit budgétaire tient compte d’un solde positif de 20 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son récent Bulletin mensuel de statistiques des finances publiques.
Les recettes ordinaires brutes se sont élevées à 316 MMDH, en progression de 10,8% par rapport à 285 MMDH de recettes réalisées à fin novembre 2023. Cette hausse est principalement attribuable à l'augmentation des impôts sur les sociétés (IS) de 14% pour atteindre 60 MMDH, des impôts sur le revenu (IR) de 13,7% (53 MMDH), ainsi qu'à une croissance notable de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) à l'intérieur, qui a enregistré une hausse de 21,1% pour atteindre 39 MMDH. La TVA sur les importations a, quant à elle, progressé de 11,4%, passant de 47 MMDH à 52 MMDH sur la même période.
De plus, les Taxes Intérieures de Consommation (TIC) sur les produits énergétiques ont augmenté de 11,1%, s'établissant à 16 MMDH contre 14 MMDH à fin novembre 2023. Les droits d'enregistrement et de timbre ont également connu une hausse de 5,5% pour un total de 19 MMDH.
Les recettes non fiscales affichent une régression de 1,7% suite à une baisse de 27% des recettes diverses (elles représentent les revenus des différents ministères notamment les amendes transactionnelles et forfaitaires et les droits de chancellerie, etc.) pour s'établir à 18 MMDH à fin novembre 2024 contre 25 MMDH une année auparavant.
Les dépenses ordinaires ont progressé de 5,8%, principalement en raison de l'augmentation des dépenses de biens et services (+7,2%) et de la hausse marquée des charges d'intérêts de la dette (+17%). En revanche, les dépenses liées à la compensation ont fortement diminué, enregistrant une baisse de 40% pour s'établir à 14 MMDH contre 24 MMDH une année auparavant.
Du côté des investissements, une baisse de 6,3% a été observée, portant le total à 88 MMDH à fin novembre 2024, contre 94 MMDH l'année précédente.
Le besoin de financement du Trésor (déficit budgétaire majoré de la variation des instances) s'est réduit à 55 MMDH, contre 59 MMDH l'an passé, soit une amélioration notable de 6,77%. Pour combler ce besoin, le Trésor a opté pour un financement intérieur de 56 MMDH, en nette augmentation par rapport aux 29 MMDH de l'année précédente, sachant la dette extérieure est réduite de près de 1,14 milliards de DH.
Les recettes ordinaires brutes se sont élevées à 316 MMDH, en progression de 10,8% par rapport à 285 MMDH de recettes réalisées à fin novembre 2023. Cette hausse est principalement attribuable à l'augmentation des impôts sur les sociétés (IS) de 14% pour atteindre 60 MMDH, des impôts sur le revenu (IR) de 13,7% (53 MMDH), ainsi qu'à une croissance notable de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) à l'intérieur, qui a enregistré une hausse de 21,1% pour atteindre 39 MMDH. La TVA sur les importations a, quant à elle, progressé de 11,4%, passant de 47 MMDH à 52 MMDH sur la même période.
De plus, les Taxes Intérieures de Consommation (TIC) sur les produits énergétiques ont augmenté de 11,1%, s'établissant à 16 MMDH contre 14 MMDH à fin novembre 2023. Les droits d'enregistrement et de timbre ont également connu une hausse de 5,5% pour un total de 19 MMDH.
Les recettes non fiscales affichent une régression de 1,7% suite à une baisse de 27% des recettes diverses (elles représentent les revenus des différents ministères notamment les amendes transactionnelles et forfaitaires et les droits de chancellerie, etc.) pour s'établir à 18 MMDH à fin novembre 2024 contre 25 MMDH une année auparavant.
Les dépenses ordinaires ont progressé de 5,8%, principalement en raison de l'augmentation des dépenses de biens et services (+7,2%) et de la hausse marquée des charges d'intérêts de la dette (+17%). En revanche, les dépenses liées à la compensation ont fortement diminué, enregistrant une baisse de 40% pour s'établir à 14 MMDH contre 24 MMDH une année auparavant.
Du côté des investissements, une baisse de 6,3% a été observée, portant le total à 88 MMDH à fin novembre 2024, contre 94 MMDH l'année précédente.
Le besoin de financement du Trésor (déficit budgétaire majoré de la variation des instances) s'est réduit à 55 MMDH, contre 59 MMDH l'an passé, soit une amélioration notable de 6,77%. Pour combler ce besoin, le Trésor a opté pour un financement intérieur de 56 MMDH, en nette augmentation par rapport aux 29 MMDH de l'année précédente, sachant la dette extérieure est réduite de près de 1,14 milliards de DH.