Ce déficit tient compte d’un solde positif de 17,3 MMDH dégagé par les comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA), précise la TGR dans son récent Bulletin mensuel de statistiques des finances publiques.
Les recettes ordinaires brutes se sont élevées à 264,8 MMDH, en progression de 12,5% par rapport à fin septembre 2023. Cette hausse est principalement attribuable à l'augmentation des impôts sur les sociétés (IS) de 13,6%, des impôts sur le revenu (IR) de 13,1%, des droits de douane de 11,8%, ainsi qu'à une croissance notable de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) à l'intérieur, qui a bondi de 21,1% pour atteindre 31 MMDH. La TVA sur les importations a, quant à elle, progressé de 14,1%, passant de 37 MMDH à 42 MMDH sur la même période. De plus, les Taxes Intérieures de Consommation (TIC) sur les produits énergétiques ont augmenté de 16,7%, s'établissant à 13 MMDH contre 11 MMDH à fin septembre 2023. Les droits d'enregistrement et de timbre ont également connu une légère hausse de 2,7%.
Les recettes non fiscales affichent une progression de 4,1%, principalement soutenues par les revenus provenant des participations de l'État, qui ont augmenté de 16,4% pour atteindre 12 MMDH, contre 10 MMDH l'année précédente.
Les dépenses ordinaires ont progressé de 2,8%, principalement en raison de l'augmentation des dépenses de biens et services (+6,3%) et de la hausse marquée des charges d'intérêts de la dette (+18,6%). En revanche, les dépenses liées à la compensation ont fortement diminué, enregistrant une baisse de 61%.
Du côté des investissements, une hausse de 5,6% a été observée, portant le total à 72 MMDH, contre 69 MMDH l'année précédente.
In fine, le besoin de financement du Trésor (déficit budgétaire majoré de la variation des instances) s'est réduit à 36 MMDH, contre 45 MMDH l'an passé, soit une amélioration notable de 20%. Pour combler ce besoin, le Trésor a opté pour un financement intérieur de 40 MMDH, en nette augmentation par rapport aux 15 MMDH de l'année précédente, sachant la dette extérieure a été réduite de près de 4 milliards de DH.
Les recettes ordinaires brutes se sont élevées à 264,8 MMDH, en progression de 12,5% par rapport à fin septembre 2023. Cette hausse est principalement attribuable à l'augmentation des impôts sur les sociétés (IS) de 13,6%, des impôts sur le revenu (IR) de 13,1%, des droits de douane de 11,8%, ainsi qu'à une croissance notable de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) à l'intérieur, qui a bondi de 21,1% pour atteindre 31 MMDH. La TVA sur les importations a, quant à elle, progressé de 14,1%, passant de 37 MMDH à 42 MMDH sur la même période. De plus, les Taxes Intérieures de Consommation (TIC) sur les produits énergétiques ont augmenté de 16,7%, s'établissant à 13 MMDH contre 11 MMDH à fin septembre 2023. Les droits d'enregistrement et de timbre ont également connu une légère hausse de 2,7%.
Les recettes non fiscales affichent une progression de 4,1%, principalement soutenues par les revenus provenant des participations de l'État, qui ont augmenté de 16,4% pour atteindre 12 MMDH, contre 10 MMDH l'année précédente.
Les dépenses ordinaires ont progressé de 2,8%, principalement en raison de l'augmentation des dépenses de biens et services (+6,3%) et de la hausse marquée des charges d'intérêts de la dette (+18,6%). En revanche, les dépenses liées à la compensation ont fortement diminué, enregistrant une baisse de 61%.
Du côté des investissements, une hausse de 5,6% a été observée, portant le total à 72 MMDH, contre 69 MMDH l'année précédente.
In fine, le besoin de financement du Trésor (déficit budgétaire majoré de la variation des instances) s'est réduit à 36 MMDH, contre 45 MMDH l'an passé, soit une amélioration notable de 20%. Pour combler ce besoin, le Trésor a opté pour un financement intérieur de 40 MMDH, en nette augmentation par rapport aux 15 MMDH de l'année précédente, sachant la dette extérieure a été réduite de près de 4 milliards de DH.