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Selon un récent article de Bloomberg publié le 2 novembre 2023, cinq pays, dont le Maroc, ont enregistré une production économique de 4 000 milliards de dollars en 2023, plus que l’Inde et presque autant que l’Allemagne ou le Japon.
“Malgré leurs politiques différentes, ils partagent un désir opportuniste de saisir la manne économique se positionnant comme de nouveaux liens entre les États-Unis et la Chine—ou la Chine, l’Europe et d’autres économies asiatiques”, précise Bloomberg dans un article intitulé "Ces cinq pays sont des « connecteurs » économiques clés dans un monde fragmenté".
Les connecteurs dont le Maroc représentent 4 % du PIB mondial produit mais ils ont attiré un peu plus de 10 %, soit 550 milliards de dollars, de tous les investissements dits nouveaux depuis 2017.
“Le choix du Maroc a été influencé par les termes de la loi américaine sur la réduction de l’inflation. La loi 2022 propose des réductions d'impôts sur les ventes de véhicules électriques dont le contenu répond aux seuils de fabrication américaine. Les pièces, ainsi que les minéraux, provenant de pays ayant conclu des accords de libre-échange avec les États-Unis sont pris en compte dans ces exigences”, poursuit la même source.
Le rapport rappelle qu’en mai, la société chinoise Gotion High-Tech Co. a signé un accord avec le Royaume pour construire une usine de batteries de 6,4 milliards de dollars, ce qui serait l’un des plus grands au monde.
En septembre, CNGR Advanced Material Co., un fabricant chinois de composants de batteries, a annoncé ce qui pourrait devenir un projet de 2 milliards de dollars pour produire suffisamment de LFP batteries pour équiper à terme 1 million de véhicules par an. CNGR
Le PDG de l’Europe, Thorsten Lahrs, affirme que le Maroc se trouve dans une « situation idéale » pour fournir les batteries automobiles du futur.
“Malgré leurs politiques différentes, ils partagent un désir opportuniste de saisir la manne économique se positionnant comme de nouveaux liens entre les États-Unis et la Chine—ou la Chine, l’Europe et d’autres économies asiatiques”, précise Bloomberg dans un article intitulé "Ces cinq pays sont des « connecteurs » économiques clés dans un monde fragmenté".
Les connecteurs dont le Maroc représentent 4 % du PIB mondial produit mais ils ont attiré un peu plus de 10 %, soit 550 milliards de dollars, de tous les investissements dits nouveaux depuis 2017.
“Le choix du Maroc a été influencé par les termes de la loi américaine sur la réduction de l’inflation. La loi 2022 propose des réductions d'impôts sur les ventes de véhicules électriques dont le contenu répond aux seuils de fabrication américaine. Les pièces, ainsi que les minéraux, provenant de pays ayant conclu des accords de libre-échange avec les États-Unis sont pris en compte dans ces exigences”, poursuit la même source.
Le rapport rappelle qu’en mai, la société chinoise Gotion High-Tech Co. a signé un accord avec le Royaume pour construire une usine de batteries de 6,4 milliards de dollars, ce qui serait l’un des plus grands au monde.
En septembre, CNGR Advanced Material Co., un fabricant chinois de composants de batteries, a annoncé ce qui pourrait devenir un projet de 2 milliards de dollars pour produire suffisamment de LFP batteries pour équiper à terme 1 million de véhicules par an. CNGR
Le PDG de l’Europe, Thorsten Lahrs, affirme que le Maroc se trouve dans une « situation idéale » pour fournir les batteries automobiles du futur.
