Le Maroc améliore sa cybersécurité. La 5e édition du rapport Global Cybersecurity Index, publiée par l’Union internationale des télécommunications, lui attribue le score global de 97,5 sur 100, un progrès considérable par rapport à l’édition 2020 où le Royaume n’avait obtenu que 82,4 sur 100. A noter que le score moyen mondial est de 65,7/100.
Avec la note obtenue lors de cette édition, le Maroc rejoint la liste restreintes qui compte, pour cette édition, 47 pays Tier 1 «Modèle à suivre», dont le score est compris entre 95 et 100. Le Royaume y côtoie d’autres pays arabes, connus pour leurs avancées technologiques, tels que le Bahreïn, le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, l’Egypte et Oman. La liste inclut également des pays pionniers sur le sujet tels que les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Corée du Sud, Singapour, la Turquie, l’Australie ou encore le Japon.
Cette note obtenue par le Maroc est la somme des scores qu’il a obtenus dans 5 grandes catégories de critères. Il a ainsi réalisé ainsi un score parfait (20 sur 20) pour les mesures légales en vigueur en la matière. Le deuxième score parfait (20/20) a été attribué pour ses mesures organisationnelles, alors que la troisième note parfaite (20/20 également) lui a été adjugée pour ses mesures de coopération. La note obtenue pour le critère "capacités de développement" est de 19,38 sur 20 et celle relatives aux mesures techniques de 18,12 sur 20.
Lancé en 2015 par l’Union internationale des télécommunications, l’Indice mondial de Cybersécurité, qui couvre 193 nations, a pour objectif d’aider les pays à identifier les domaines d’amélioration et à les encourager à agir pour renforcer leurs capacités et leurs compétences dans chaque pilier audité.
Régulièrement adapté pour intégrer les nouveaux défis et risques, l’indice fournit aujourd’hui un aperçu plus pertinent des mesures de cybersécurité prises par les pays. Depuis 2021, les pays ont en général entrepris davantage de mesures liées à la cybersécurité et amélioré leurs engagements en la matière.
Les auteurs du rapport, soulignent par ailleurs, que parmi les cinq piliers du GCI, c’est le volet législatif où la plupart des pays sont les plus forts (ou ont réalisé le plus de progrès). En revanche, un pays moyen (de par son score global) est généralement faible sur les critères (piliers) du développement des capacités et technique.
Globalement, constatent les auteurs, chaque région compte des pays qui jouent le rôle de modèle ou qui progressent, et des pays qui en sont aux premiers stades de renforcement de leurs engagements en matière de cybersécurité. D’où l’intérêt de la mise en place de 5 niveaux, allant de Tier 1 (le plus performant), au Tier 5.
Avec la note obtenue lors de cette édition, le Maroc rejoint la liste restreintes qui compte, pour cette édition, 47 pays Tier 1 «Modèle à suivre», dont le score est compris entre 95 et 100. Le Royaume y côtoie d’autres pays arabes, connus pour leurs avancées technologiques, tels que le Bahreïn, le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, l’Egypte et Oman. La liste inclut également des pays pionniers sur le sujet tels que les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Corée du Sud, Singapour, la Turquie, l’Australie ou encore le Japon.
Cette note obtenue par le Maroc est la somme des scores qu’il a obtenus dans 5 grandes catégories de critères. Il a ainsi réalisé ainsi un score parfait (20 sur 20) pour les mesures légales en vigueur en la matière. Le deuxième score parfait (20/20) a été attribué pour ses mesures organisationnelles, alors que la troisième note parfaite (20/20 également) lui a été adjugée pour ses mesures de coopération. La note obtenue pour le critère "capacités de développement" est de 19,38 sur 20 et celle relatives aux mesures techniques de 18,12 sur 20.
Lancé en 2015 par l’Union internationale des télécommunications, l’Indice mondial de Cybersécurité, qui couvre 193 nations, a pour objectif d’aider les pays à identifier les domaines d’amélioration et à les encourager à agir pour renforcer leurs capacités et leurs compétences dans chaque pilier audité.
Régulièrement adapté pour intégrer les nouveaux défis et risques, l’indice fournit aujourd’hui un aperçu plus pertinent des mesures de cybersécurité prises par les pays. Depuis 2021, les pays ont en général entrepris davantage de mesures liées à la cybersécurité et amélioré leurs engagements en la matière.
Les auteurs du rapport, soulignent par ailleurs, que parmi les cinq piliers du GCI, c’est le volet législatif où la plupart des pays sont les plus forts (ou ont réalisé le plus de progrès). En revanche, un pays moyen (de par son score global) est généralement faible sur les critères (piliers) du développement des capacités et technique.
Globalement, constatent les auteurs, chaque région compte des pays qui jouent le rôle de modèle ou qui progressent, et des pays qui en sont aux premiers stades de renforcement de leurs engagements en matière de cybersécurité. D’où l’intérêt de la mise en place de 5 niveaux, allant de Tier 1 (le plus performant), au Tier 5.