Lancée en marge de l'ANUE-6 (26 février - 1er mars), cette initiative présente une vision islamique de l’environnement dans le but de renforcer les actions locales, régionales et internationales visant la lutte contre le changement climatique et les autres menaces qui pèsent sur la planète.
Rédigé par d'éminents érudits islamiques du monde entier, "Al-Mizan" offre des lignes directrices concrètes pour la protection de l’environnement tirées des principes de l'Islam. Qualifié d'historique par le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), il suggère des politiques spécifiques basées sur la charia et des pratiques de conservation qui s’alignent sur les enseignements islamiques.
Dans son allocution d'ouverture, Leila Benali a indiqué que le soutien du Royaume du Maroc à "Al-Mizan" est enraciné dans son engagement de longue date en faveur de la promotion des valeurs islamiques, de la conservation de l'environnement et du dialogue interreligieux sous la Conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine.
Le document appelle à une action collective et à une collaboration internationale, exhortant les nations et les communautés à travailler ensemble dans un esprit de citoyenneté mondiale et de responsabilité partagée.
Dans la même lignée, "Al-Mizan" souligne l’importance des pratiques spirituelles et de l’éducation pour favoriser une profonde appréciation de la Terre. Il met en avant l'influence des enseignements islamiques sur les attitudes et les comportements envers l'environnement, plaidant pour l'intégration de l'éducation environnementale dans les programmes d'études islamiques.
La deuxième journée de l'assemblée a été marquée par une réception offerte par la Présidente de l'ANUE-6, durant laquelle l'accent a été mis sur la richesse et la diversité de l'histoire et de la culture marocaines, ainsi que sur l'engagement du Royaume envers la gestion de l'environnement.
Dans un décor riche en couleurs et en saveurs, les personnalités conviées ont pu admirer une multitude de spécialités culinaire marocaines, ainsi que des éléments phares de l'art artisanal marocain.
Plus tôt dans la journée, Mme Benali a procédé à une opération de plantation d'arbre dans une forêt à Nairobi aux côtés de la Première dame du Kenya, Rachel Ruto, qui mène une initiative visant à planter 500 millions d’arbres dans le cadre du Programme kényan de restauration des paysages et des écosystèmes.
Chaque dollar investi dans la restauration génère jusqu'à 30 dollars de bénéfices économiques, a-t-elle fait remarquer, expliquant que la restauration des écosystèmes peut sauver des espèces de l’extinction, contribuer à absorber les gaz à effet de serre et autonomiser les femmes, les populations autochtones et les communautés locales, les plus touchées par la dégradation des écosystèmes.
Rédigé par d'éminents érudits islamiques du monde entier, "Al-Mizan" offre des lignes directrices concrètes pour la protection de l’environnement tirées des principes de l'Islam. Qualifié d'historique par le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), il suggère des politiques spécifiques basées sur la charia et des pratiques de conservation qui s’alignent sur les enseignements islamiques.
Dans son allocution d'ouverture, Leila Benali a indiqué que le soutien du Royaume du Maroc à "Al-Mizan" est enraciné dans son engagement de longue date en faveur de la promotion des valeurs islamiques, de la conservation de l'environnement et du dialogue interreligieux sous la Conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine.
"Al-Mizan" aborde de manière critique les questions sociales (Benali)
Le paysage religieux diversifié de la nation, englobant l'islam, le christianisme et le judaïsme, souligne son attachement à la coexistence pacifique entre les différentes communautés religieuses, a ajouté la ministre, notant que des initiatives telles que la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains oeuvrent pour la promotion de la modération et du dialogue interreligieux aux niveaux national et international. Selon elle, "Al-Mizan" aborde de manière critique les questions sociales telles que la justice et l'équité et préconise un modèle économique plus durable qui respecte la santé environnementale et garantit une répartition équitable des ressources, par opposition aux paradigmes économiques dominants qui donnent la priorité à la croissance et le consumérisme.Le document appelle à une action collective et à une collaboration internationale, exhortant les nations et les communautés à travailler ensemble dans un esprit de citoyenneté mondiale et de responsabilité partagée.
Dans la même lignée, "Al-Mizan" souligne l’importance des pratiques spirituelles et de l’éducation pour favoriser une profonde appréciation de la Terre. Il met en avant l'influence des enseignements islamiques sur les attitudes et les comportements envers l'environnement, plaidant pour l'intégration de l'éducation environnementale dans les programmes d'études islamiques.
La deuxième journée de l'assemblée a été marquée par une réception offerte par la Présidente de l'ANUE-6, durant laquelle l'accent a été mis sur la richesse et la diversité de l'histoire et de la culture marocaines, ainsi que sur l'engagement du Royaume envers la gestion de l'environnement.
Dans un décor riche en couleurs et en saveurs, les personnalités conviées ont pu admirer une multitude de spécialités culinaire marocaines, ainsi que des éléments phares de l'art artisanal marocain.
Plus tôt dans la journée, Mme Benali a procédé à une opération de plantation d'arbre dans une forêt à Nairobi aux côtés de la Première dame du Kenya, Rachel Ruto, qui mène une initiative visant à planter 500 millions d’arbres dans le cadre du Programme kényan de restauration des paysages et des écosystèmes.
Chaque dollar investi dans la restauration génère jusqu'à 30 dollars de bénéfices économiques, a-t-elle fait remarquer, expliquant que la restauration des écosystèmes peut sauver des espèces de l’extinction, contribuer à absorber les gaz à effet de serre et autonomiser les femmes, les populations autochtones et les communautés locales, les plus touchées par la dégradation des écosystèmes.