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Le crédit à l’équipement affiche une hausse remarquable de 20,5% en glissement annuel, soit une progression de 43,8 MMDH. Cette tendance confirme la continuation de l’investissement, notamment dans le secteur immobilier, où les financements accordés aux promoteurs immobiliers ont augmenté de 6,6% par rapport à juin 2024.
Parallèlement, les crédits à l’habitat enregistrent une hausse globale de 6 MMDH sur un an. La progression est particulièrement marquée sur le segment des financements participatifs, dont l’encours atteint désormais 27 MMDH, en hausse de 3,9 MMDH (+17,1%).
Les créances en souffrance poursuivent leur progression, avec une hausse de 5,7% sur un an, pour atteindre 101 MMDH.
Sur le plan sectoriel, le secteur non financier reste le principal moteur de la mobilisation du crédit, avec un encours de 968 MMDH (+4,4% ou +40 MMDH en glissement annuel).
Dans cette composante, les crédits au secteur public affichent une hausse de 4,9% pour atteindre 102,4 MMDH, après une stagnation en mai. Cette progression est largement imputable aux sociétés non financières publiques, dont l’encours des financements bondit de 7,4%, à 76,6 MMDH.
Le secteur privé, quant à lui, enregistre une augmentation nette de 35,6 MMDH sur un an, tirée essentiellement par la hausse de l’endettement bancaire des ménages, qui progresse de 5,2%, soit un gain de 20 MMDH en un an.
Parallèlement, les crédits à l’habitat enregistrent une hausse globale de 6 MMDH sur un an. La progression est particulièrement marquée sur le segment des financements participatifs, dont l’encours atteint désormais 27 MMDH, en hausse de 3,9 MMDH (+17,1%).
Les créances en souffrance poursuivent leur progression, avec une hausse de 5,7% sur un an, pour atteindre 101 MMDH.
Sur le plan sectoriel, le secteur non financier reste le principal moteur de la mobilisation du crédit, avec un encours de 968 MMDH (+4,4% ou +40 MMDH en glissement annuel).
Dans cette composante, les crédits au secteur public affichent une hausse de 4,9% pour atteindre 102,4 MMDH, après une stagnation en mai. Cette progression est largement imputable aux sociétés non financières publiques, dont l’encours des financements bondit de 7,4%, à 76,6 MMDH.
Le secteur privé, quant à lui, enregistre une augmentation nette de 35,6 MMDH sur un an, tirée essentiellement par la hausse de l’endettement bancaire des ménages, qui progresse de 5,2%, soit un gain de 20 MMDH en un an.
