Dans son nouveau rapport publié vendredi par le service de presse de l’ONU à New York, la FAO explique la hausse notamment par la flambée des cours des huiles végétales et de la viande.
L’indice des prix des denrées alimentaires, qui suit la variation des cours internationaux d’un panier de produits de base, a crû de 1,1% en mars par rapport à février. Sur un an en revanche, la tendance est toujours à la baisse des prix, avec un repli de 7,7% par rapport à mars 2023.
L’Indice FAO des prix des huiles végétales a été le moteur de la hausse. Les cours des huiles végétales ont bondi de 8%, son niveau le plus élevé en un an, souligne la FAO dans son rapport mensuel, notant que « les cotations des huiles de palme, de soja, de tournesol et de colza ont toutes augmenté ».
Les causes de cette hausse sont diverses, selon la FAO. Les prix internationaux de l’huile de palme ont augmenté en raison de la baisse saisonnière de la production dans les principaux pays producteurs et de la fermeté de la demande intérieure en Asie du Sud-Est.
A l’inverse, l’indice FAO du prix des céréales a baissé de 2,6% en mars, désormais situé « 20% en dessous de sa valeur de mars 2022 », note la FAO.
« Ce recul est dû à la diminution des prix mondiaux du blé, en raison de la forte concurrence à l’exportation - soulignée par l’annulation des achats par la Chine- » entre l’Union européenne, la Russie et les États-Unis, explique la FAO.
Le riz est également en repli ce mois-ci, en baisse de 1,7%. Seul le cours du maïs a augmenté, en partie à cause de problèmes logistiques en Ukraine.
Enfin, les prix du sucre ont plongé de 5,4%. Cette baisse est due principalement par la révision à la hausse des prévisions de production de sucre pour 2023/24 en Inde et à l’amélioration du rythme de la récolte de sucre en Thaïlande à la fin de la saison.
Par ailleurs, le commerce mondial des céréales devrait augmenter de 1,7 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 485 millions de tonnes en 2023/24. Le commerce international des céréales secondaires devrait se développer à partir de 2022/23, tandis que les échanges de blé et de riz devraient se contracter.
La FAO a également ajusté ses prévisions pour la production mondiale de blé en 2024, qui s’établit désormais à 796 millions de tonnes, soit une augmentation de 1 % par rapport à 2023.
L’indice des prix des denrées alimentaires, qui suit la variation des cours internationaux d’un panier de produits de base, a crû de 1,1% en mars par rapport à février. Sur un an en revanche, la tendance est toujours à la baisse des prix, avec un repli de 7,7% par rapport à mars 2023.
L’Indice FAO des prix des huiles végétales a été le moteur de la hausse. Les cours des huiles végétales ont bondi de 8%, son niveau le plus élevé en un an, souligne la FAO dans son rapport mensuel, notant que « les cotations des huiles de palme, de soja, de tournesol et de colza ont toutes augmenté ».
Les causes de cette hausse sont diverses, selon la FAO. Les prix internationaux de l’huile de palme ont augmenté en raison de la baisse saisonnière de la production dans les principaux pays producteurs et de la fermeté de la demande intérieure en Asie du Sud-Est.
A l’inverse, l’indice FAO du prix des céréales a baissé de 2,6% en mars, désormais situé « 20% en dessous de sa valeur de mars 2022 », note la FAO.
« Ce recul est dû à la diminution des prix mondiaux du blé, en raison de la forte concurrence à l’exportation - soulignée par l’annulation des achats par la Chine- » entre l’Union européenne, la Russie et les États-Unis, explique la FAO.
Le riz est également en repli ce mois-ci, en baisse de 1,7%. Seul le cours du maïs a augmenté, en partie à cause de problèmes logistiques en Ukraine.
Enfin, les prix du sucre ont plongé de 5,4%. Cette baisse est due principalement par la révision à la hausse des prévisions de production de sucre pour 2023/24 en Inde et à l’amélioration du rythme de la récolte de sucre en Thaïlande à la fin de la saison.
Par ailleurs, le commerce mondial des céréales devrait augmenter de 1,7 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 485 millions de tonnes en 2023/24. Le commerce international des céréales secondaires devrait se développer à partir de 2022/23, tandis que les échanges de blé et de riz devraient se contracter.
La FAO a également ajusté ses prévisions pour la production mondiale de blé en 2024, qui s’établit désormais à 796 millions de tonnes, soit une augmentation de 1 % par rapport à 2023.