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Ce financement de 197 millions d'euros, dont 47 millions alloués via le Programme de portefeuille de prêts conjoints d'IFC, constitue le premier prêt au Maroc associé à des indicateurs de durabilité, et l'un des rares du genre pour un port dans les marchés émergents. Les indicateurs de performance incluent la promotion de la parité hommes-femmes et l'utilisation accrue d'énergies renouvelables.
Un consortium bancaire international, conduit par JP Morgan, soutient également cette extension avec un prêt commercial de 203 millions d'euros. Cette ligne de financement est couverte par une garantie de la MIGA contre les risques de non-paiement des obligations financières sur une période de 15 ans, protégeant ainsi les prêteurs contre d’éventuelles pertes dues au non-respect des engagements financiers.
Le projet vise à porter la capacité du terminal au-delà d'un million de camions par an, un bond significatif par rapport aux 477 000 unités TIR traitées en 2023. Cette expansion devrait renforcer la position stratégique du Maroc dans le commerce mondial tout en générant des emplois directs et en stimulant l'économie locale, renforçant ainsi la confiance des investisseurs dans les infrastructures marocaines.
Dans le cadre de sa stratégie de transition énergétique, Tanger Med s’engage également à accroître l’utilisation d’électricité verte, notamment solaire et éolienne, et met en œuvre des mesures de résilience climatique. Parmi ces initiatives figurent le rehaussement et l’allongement des quais pour accueillir de plus grands navires, tout en améliorant la protection contre l'élévation du niveau de la mer.
L'extension de Tanger Med marque une étape clé dans le renforcement des capacités commerciales et de la connectivité régionale du Maroc. Ce projet, qui s’inscrit dans la vision de la MIGA en faveur d’infrastructures résilientes et de l'intégration régionale, devrait avoir des effets d’entraînement bénéfiques pour plusieurs secteurs de l'économie marocaine.
« Tanger Med joue un rôle essentiel dans les importations et les exportations du Maroc. Ce projet permettra au complexe portuaire d'accroître considérablement sa capacité de manutention de camions, de soutenir la croissance des exportations dans les secteurs agroalimentaire et industriel, et de renforcer les liens commerciaux entre le Maroc et l'Europe », souligne Loubna Ghaleb, membre du Directoire et Directrice de la Stratégie au Groupe Tanger Med.
Hiroshi Matano, vice-président exécutif de la MIGA, ajoute : « Il s'agit de notre deuxième projet de garantie de non-respect d'obligations financières mené au Maroc et il contribuera à améliorer l'infrastructure portuaire. La MIGA espère déployer ce type de produit pour d'autres entreprises publiques du pays afin de les aider à renforcer leur productivité. »
De son côté, David Tinel, représentant régional d'IFC pour le Maghreb, explique : « Ce projet renforcera la position du Maroc en tant que hub maritime et logistique mondial en pleine expansion, idéalement placé pour relier les principaux marchés d'Europe, d'Afrique et des Amériques. Nous nous attendons à ce qu'il suscite d'autres investissements dans le secteur marocain des infrastructures pour capitaliser sur les formidables opportunités qui se présentent alors que le pays se prépare à coorganiser la Coupe d'Afrique des Nations 2025 et à accueillir la Coupe du Monde de la FIFA en 2030. »
Un consortium bancaire international, conduit par JP Morgan, soutient également cette extension avec un prêt commercial de 203 millions d'euros. Cette ligne de financement est couverte par une garantie de la MIGA contre les risques de non-paiement des obligations financières sur une période de 15 ans, protégeant ainsi les prêteurs contre d’éventuelles pertes dues au non-respect des engagements financiers.
Le projet vise à porter la capacité du terminal au-delà d'un million de camions par an, un bond significatif par rapport aux 477 000 unités TIR traitées en 2023. Cette expansion devrait renforcer la position stratégique du Maroc dans le commerce mondial tout en générant des emplois directs et en stimulant l'économie locale, renforçant ainsi la confiance des investisseurs dans les infrastructures marocaines.
Dans le cadre de sa stratégie de transition énergétique, Tanger Med s’engage également à accroître l’utilisation d’électricité verte, notamment solaire et éolienne, et met en œuvre des mesures de résilience climatique. Parmi ces initiatives figurent le rehaussement et l’allongement des quais pour accueillir de plus grands navires, tout en améliorant la protection contre l'élévation du niveau de la mer.
L'extension de Tanger Med marque une étape clé dans le renforcement des capacités commerciales et de la connectivité régionale du Maroc. Ce projet, qui s’inscrit dans la vision de la MIGA en faveur d’infrastructures résilientes et de l'intégration régionale, devrait avoir des effets d’entraînement bénéfiques pour plusieurs secteurs de l'économie marocaine.
« Tanger Med joue un rôle essentiel dans les importations et les exportations du Maroc. Ce projet permettra au complexe portuaire d'accroître considérablement sa capacité de manutention de camions, de soutenir la croissance des exportations dans les secteurs agroalimentaire et industriel, et de renforcer les liens commerciaux entre le Maroc et l'Europe », souligne Loubna Ghaleb, membre du Directoire et Directrice de la Stratégie au Groupe Tanger Med.
Hiroshi Matano, vice-président exécutif de la MIGA, ajoute : « Il s'agit de notre deuxième projet de garantie de non-respect d'obligations financières mené au Maroc et il contribuera à améliorer l'infrastructure portuaire. La MIGA espère déployer ce type de produit pour d'autres entreprises publiques du pays afin de les aider à renforcer leur productivité. »
De son côté, David Tinel, représentant régional d'IFC pour le Maghreb, explique : « Ce projet renforcera la position du Maroc en tant que hub maritime et logistique mondial en pleine expansion, idéalement placé pour relier les principaux marchés d'Europe, d'Afrique et des Amériques. Nous nous attendons à ce qu'il suscite d'autres investissements dans le secteur marocain des infrastructures pour capitaliser sur les formidables opportunités qui se présentent alors que le pays se prépare à coorganiser la Coupe d'Afrique des Nations 2025 et à accueillir la Coupe du Monde de la FIFA en 2030. »
