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«L’Innovation au service d’une meilleure inclusion financière des pays africains». C’est le thème de la conférence qu’a organisé la Bourse de Casablanca, en partenariat avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation (MESRSI), la World Federation of Exchanges (WFE), et l’Université Cadi Ayyad, Marrakech, en marge des Assemblées annuelles de la Banque Mondiale (WB) et du Fonds Monétaire International (FMI), qui se tiennent à Marrakech du 9 au 15 octobre.
L’événement a attiré un public composé de personnalités officielles marocaines et internationales du monde de la finance, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Cette conférence a été l’occasion de rapprocher le monde scientifique et académique du secteur financier, mettant en avant l'inclusion financière à travers des piliers tels que la formation, la recherche scientifique et l'innovation.
Parmi les participants se trouvaient Abdellatif Miraoui, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, Nandini Sukumar, directrice générale de la WFE, Kamal Mokdad, président du Conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, et Mouha Taourirt, président de l’Université Cadi Ayyad- Marrakech.
M. Miraoui, intervenant en premier, a mis l'accent sur le rôle de la formation et de la recherche dans la stimulation de l'innovation financière au sein des universités, soulignant qu'elles sont essentielles pour le développement des compétences et de l'expertise financières.
M. Taourirt a, de son côté, rappelé la collaboration fructueuse entre la Bourse de Casablanca, la WFE et l'Université Cadi Ayyad- Marrakech, en tant qu'exemple concret de partenariats constructifs qui encouragent l'inclusion financière.
M. Mokdad a ensuite mis en lumière l'importance de l'inclusion financière dans le développement socio-économique des pays africains, soulignant le rôle historique de la Bourse de Casablanca dans la formation et son engagement à promouvoir la finance en tant que discipline fondamentale pour l'avenir du Maroc.
Madame Sukumar a, pour sa part, abordé les objectifs de la WFE en matière d'inclusion financière, notamment en partageant des données pour le bénéfice des étudiants, des doctorants et des chercheurs des établissements universitaires partenaires.
Après la session plénière, les participants ont exploré davantage le sujet de l'inclusion financière au cours d'un panel animé par des experts du secteur, discutant de thèmes tels que le développement durable des pays africains, la recherche et le développement, l'évolution de la réglementation financière et le rôle du marché des capitaux dans le développement du continent.
La conférence s'est clôturée par un débat interactif qui a rassemblé participants et intervenants, soulignant l'importance de l'inclusion financière pour le développement des pays africains.
L’événement a attiré un public composé de personnalités officielles marocaines et internationales du monde de la finance, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Cette conférence a été l’occasion de rapprocher le monde scientifique et académique du secteur financier, mettant en avant l'inclusion financière à travers des piliers tels que la formation, la recherche scientifique et l'innovation.
Parmi les participants se trouvaient Abdellatif Miraoui, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, Nandini Sukumar, directrice générale de la WFE, Kamal Mokdad, président du Conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, et Mouha Taourirt, président de l’Université Cadi Ayyad- Marrakech.
M. Miraoui, intervenant en premier, a mis l'accent sur le rôle de la formation et de la recherche dans la stimulation de l'innovation financière au sein des universités, soulignant qu'elles sont essentielles pour le développement des compétences et de l'expertise financières.
M. Taourirt a, de son côté, rappelé la collaboration fructueuse entre la Bourse de Casablanca, la WFE et l'Université Cadi Ayyad- Marrakech, en tant qu'exemple concret de partenariats constructifs qui encouragent l'inclusion financière.
M. Mokdad a ensuite mis en lumière l'importance de l'inclusion financière dans le développement socio-économique des pays africains, soulignant le rôle historique de la Bourse de Casablanca dans la formation et son engagement à promouvoir la finance en tant que discipline fondamentale pour l'avenir du Maroc.
Madame Sukumar a, pour sa part, abordé les objectifs de la WFE en matière d'inclusion financière, notamment en partageant des données pour le bénéfice des étudiants, des doctorants et des chercheurs des établissements universitaires partenaires.
Après la session plénière, les participants ont exploré davantage le sujet de l'inclusion financière au cours d'un panel animé par des experts du secteur, discutant de thèmes tels que le développement durable des pays africains, la recherche et le développement, l'évolution de la réglementation financière et le rôle du marché des capitaux dans le développement du continent.
La conférence s'est clôturée par un débat interactif qui a rassemblé participants et intervenants, soulignant l'importance de l'inclusion financière pour le développement des pays africains.
