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Sous la présidence du ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, Ahmed El Bouari, cette journée de démonstration a réuni plus de 350 participants issus des sphères institutionnelle, agricole, scientifique et médiatique. L’événement a constitué une vitrine concrète de la montée en puissance des efforts de recherche appliquée, orientés vers une agriculture plus productive, sobre en ressources et résiliente face aux aléas climatiques.
Au cœur de cette dynamique, l’amélioration génétique occupe une place centrale. Sur plus de 55 hectares, le site expérimental de Marchouch abrite aujourd’hui 110 nouvelles variétés en production G1 et 45 en G2, couvrant les principales espèces céréalières, légumineuses alimentaires et fourragères. Ces génotypes de dernière génération, développés en réponse au stress hydrique persistant, affichent des performances agronomiques et physiologiques susceptibles d’amorcer un véritable saut de productivité.
Le programme commun INRA-ICARDA MCGP a également mis en avant les résultats obtenus à travers l’intégration du semis direct et de rotations avec légumineuses et fourrages. Ces pratiques, emblématiques, ont permis d’atteindre des rendements en paille supérieurs à 30 quintaux par hectare. Même avec une irrigation d’appoint minimale de 15 mm, les gains de rendement dépassent 20 quintaux, illustrant la pertinence de ces techniques dans un contexte de rareté de la ressource en eau.
L’innovation ne s’arrête pas aux pratiques culturales : un prototype localement conçu de système hydroponique « simple-tech » a été présenté, incarnant une nouvelle génération de technologies frugales, adaptées aux contraintes du terrain. Il s’accompagne du lancement de la variété d’orge « Hydroponica », spécialement développée pour la production de fourrage vert en culture hors-sol. Ce dispositif ouvre de nouvelles perspectives en matière de sécurité fourragère et d’optimisation foncière, notamment pour les zones à fort stress hydrique.
Dans sa vision à l’horizon 2030, l’INRA entend accélérer la cadence avec le développement de 30 à 50 nouvelles variétés agricoles, couvrant l’ensemble des filières végétales stratégiques. L’objectif est double : faire émerger une nouvelle génération d’agriculteurs dotés d’outils technologiques de pointe, et accompagner l’extension du semis direct sur un million d’hectares, avec à la clé une amélioration attendue des rendements d’au moins 50 %.
Au cœur de cette dynamique, l’amélioration génétique occupe une place centrale. Sur plus de 55 hectares, le site expérimental de Marchouch abrite aujourd’hui 110 nouvelles variétés en production G1 et 45 en G2, couvrant les principales espèces céréalières, légumineuses alimentaires et fourragères. Ces génotypes de dernière génération, développés en réponse au stress hydrique persistant, affichent des performances agronomiques et physiologiques susceptibles d’amorcer un véritable saut de productivité.
Le programme commun INRA-ICARDA MCGP a également mis en avant les résultats obtenus à travers l’intégration du semis direct et de rotations avec légumineuses et fourrages. Ces pratiques, emblématiques, ont permis d’atteindre des rendements en paille supérieurs à 30 quintaux par hectare. Même avec une irrigation d’appoint minimale de 15 mm, les gains de rendement dépassent 20 quintaux, illustrant la pertinence de ces techniques dans un contexte de rareté de la ressource en eau.
L’innovation ne s’arrête pas aux pratiques culturales : un prototype localement conçu de système hydroponique « simple-tech » a été présenté, incarnant une nouvelle génération de technologies frugales, adaptées aux contraintes du terrain. Il s’accompagne du lancement de la variété d’orge « Hydroponica », spécialement développée pour la production de fourrage vert en culture hors-sol. Ce dispositif ouvre de nouvelles perspectives en matière de sécurité fourragère et d’optimisation foncière, notamment pour les zones à fort stress hydrique.
Dans sa vision à l’horizon 2030, l’INRA entend accélérer la cadence avec le développement de 30 à 50 nouvelles variétés agricoles, couvrant l’ensemble des filières végétales stratégiques. L’objectif est double : faire émerger une nouvelle génération d’agriculteurs dotés d’outils technologiques de pointe, et accompagner l’extension du semis direct sur un million d’hectares, avec à la clé une amélioration attendue des rendements d’au moins 50 %.
