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Casablanca a accueilli, ce mardi, la première édition marocaine de l’« Innovation Day », organisée par Schneider Electric, groupe français fondé en 1836 et aujourd’hui présent dans plus de cent pays, est l’un des leaders mondiaux de la gestion de l’énergie et de l’automatisation industrielle. Déjà décliné dans plusieurs capitales mondiales, l’événement a réuni des représentants du gouvernement marocain issus des ministères de l’Industrie, du Commerce et de l’Investissement, aux côtés de dirigeants de Schneider Electric, de partenaires internationaux et de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier.
Dès l’ouverture, Diaretou Madina Gaye Dieng, présidente du cluster Afrique francophone, a souligné que « cette première édition de l’Innovation Day à Casablanca met en avant l’écosystème marocain et accroît la visibilité des initiatives locales qui participent à la transition énergétique et digitale du pays, tout en soutenant son développement industriel ».
Ces ambitions se sont traduites par des accords structurants. Une convention a été signée entre le ministère de l’Industrie et du Commerce et Schneider Electric Maroc afin de renforcer l’approvisionnement local en composants destinés aux cellules moyenne tension. Le texte insiste sur la volonté d’encourager l’entrepreneuriat industriel « pour répondre aux besoins du marché national tout en réduisant l’empreinte carbone liée aux importations ».
Un second accord a été conclu avec l’industriel marocain Kazinov, portant sur le déploiement de cellules moyenne tension de type GIS et le développement local de tableaux électriques. « Ce partenariat stratégique renforcera l’accès à une énergie plus fiable, durable et produite localement pour soutenir le développement énergétique de l’Afrique », a expliqué Nicole Malan, vice-présidente Power Systems Afrique francophone.
Schneider Electric a par ailleurs signé avec la société américaine Iozera un protocole d’accord pour la création d’un datacenter d’intelligence artificielle de 380 MW dans la zone Eureka. « Ce projet s’inscrit dans une démarche ouverte à d’autres partenariats et accompagnera à la fois la transformation numérique et énergétique du Royaume », a indiqué Amine Benchekroun, vice-président Secure Power Afrique francophone.
Dans l’Innovation Hub installé pour l’occasion, les participants ont pu découvrir des solutions concrètes appliquées aux réseaux intelligents, aux data centers et à l’efficacité industrielle. Jean-Pascal Tricoire, président de Schneider Electric, a rappelé que « la convergence entre énergie, digital et durabilité n’est plus une option mais une condition de compétitivité pour l’industrie de demain ».
La journée s’est achevée sur une note stratégique. Christophe Lecourtier, ambassadeur de France au Maroc, a salué les initiatives annoncées en les inscrivant dans une vision plus large. « Le Royaume s’est doté d’un plan d’action ambitieux reposant sur trois piliers, atteindre 52 % d’énergies renouvelables dans le mix électrique d’ici 2030, digitaliser ses infrastructures stratégiques et intégrer davantage les chaînes de valeur mondiales », a-t-il souligné. Et d’ajouter : « La technologie à elle seule ne suffit pas, les compétences humaines en sont le véritable moteur. En investissant dans la formation, le Maroc investit dans l’avenir de sa jeunesse et dans la compétitivité de ses entreprises ».
Dès l’ouverture, Diaretou Madina Gaye Dieng, présidente du cluster Afrique francophone, a souligné que « cette première édition de l’Innovation Day à Casablanca met en avant l’écosystème marocain et accroît la visibilité des initiatives locales qui participent à la transition énergétique et digitale du pays, tout en soutenant son développement industriel ».
Ces ambitions se sont traduites par des accords structurants. Une convention a été signée entre le ministère de l’Industrie et du Commerce et Schneider Electric Maroc afin de renforcer l’approvisionnement local en composants destinés aux cellules moyenne tension. Le texte insiste sur la volonté d’encourager l’entrepreneuriat industriel « pour répondre aux besoins du marché national tout en réduisant l’empreinte carbone liée aux importations ».
Un second accord a été conclu avec l’industriel marocain Kazinov, portant sur le déploiement de cellules moyenne tension de type GIS et le développement local de tableaux électriques. « Ce partenariat stratégique renforcera l’accès à une énergie plus fiable, durable et produite localement pour soutenir le développement énergétique de l’Afrique », a expliqué Nicole Malan, vice-présidente Power Systems Afrique francophone.
Schneider Electric a par ailleurs signé avec la société américaine Iozera un protocole d’accord pour la création d’un datacenter d’intelligence artificielle de 380 MW dans la zone Eureka. « Ce projet s’inscrit dans une démarche ouverte à d’autres partenariats et accompagnera à la fois la transformation numérique et énergétique du Royaume », a indiqué Amine Benchekroun, vice-président Secure Power Afrique francophone.
Dans l’Innovation Hub installé pour l’occasion, les participants ont pu découvrir des solutions concrètes appliquées aux réseaux intelligents, aux data centers et à l’efficacité industrielle. Jean-Pascal Tricoire, président de Schneider Electric, a rappelé que « la convergence entre énergie, digital et durabilité n’est plus une option mais une condition de compétitivité pour l’industrie de demain ».
La journée s’est achevée sur une note stratégique. Christophe Lecourtier, ambassadeur de France au Maroc, a salué les initiatives annoncées en les inscrivant dans une vision plus large. « Le Royaume s’est doté d’un plan d’action ambitieux reposant sur trois piliers, atteindre 52 % d’énergies renouvelables dans le mix électrique d’ici 2030, digitaliser ses infrastructures stratégiques et intégrer davantage les chaînes de valeur mondiales », a-t-il souligné. Et d’ajouter : « La technologie à elle seule ne suffit pas, les compétences humaines en sont le véritable moteur. En investissant dans la formation, le Maroc investit dans l’avenir de sa jeunesse et dans la compétitivité de ses entreprises ».
