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Les Journées africaines des ressources humaines (JARH), organisées par l'Association nationale des gestionnaires et formateurs du personnel (AGEF), en collaboration avec l'Association africaine des formateurs et directeurs du personnel (AFDIP), font leur grand retour au Maroc après 14 ans d'absence. Cet événement, qui se tient du 22 au 23 novembre 2024 à El Jadida, rassemble des experts et des professionnels des ressources humaines pour discuter des défis et des opportunités liés à la gestion des ressources humaines dans le cadre du développement durable en Afrique.
En introduction, Bouchra Nhaili, présidente de l'AGEF nationale, a souligné que «la thématique retenue pour cette 22ᵉ édition va bien au-delà d'un simple slogan. C'est une véritable déclaration d'intention et un appel à l'action». «L’Afrique, le continent de tous les possibles a besoin de l’audace pour transformer l’impossible en possible», affirme-t-elle.
Conscient des défis des RH, le nouveau bureau de l'AGEF n’a cessé de jouer son rôle dans le développement et l’accompagnement du changement que connaissent le continent, en général, et le Maroc, en particulier. Développer et valoriser la fonction RH, anticiper les évolutions et les tendances à venir et contribuer activement au progrès socioéconomique... tel est sa raison d’être.
«Ensemble, nous avons travaillé pendant quelques années sur une feuille de route audacieuse. Une feuille de route commune qui a pour objectif de répondre aux enjeux et défis RH actuels et aussi de pérenniser l’histoire de l’AGEF bâtie pendant plus de 53 ans par les bureaux précédents et leurs pasts présidents», se félicite Mme Nhaili.
À cette occasion, la présidente de l'AGEF nationale a annoncé la naissance d’une nouvelle section «AGEF Sahara» qui verra le jour très prochainement. «Cette nouvelle section marque une étape importante pour nous. Elle n’est pas seulement une preuve de notre développement, mais aussi de notre volonté de nous rapprocher des besoins des populations locales et de renforcer notre impact là où il est nécessaire», se réjouit-elle. Et d’ajouter que l’ouverture de cette section n’est pas une fin en soi, mais le début d’un nouveau chapitre de l’AGEF.
En introduction, Bouchra Nhaili, présidente de l'AGEF nationale, a souligné que «la thématique retenue pour cette 22ᵉ édition va bien au-delà d'un simple slogan. C'est une véritable déclaration d'intention et un appel à l'action». «L’Afrique, le continent de tous les possibles a besoin de l’audace pour transformer l’impossible en possible», affirme-t-elle.
Conscient des défis des RH, le nouveau bureau de l'AGEF n’a cessé de jouer son rôle dans le développement et l’accompagnement du changement que connaissent le continent, en général, et le Maroc, en particulier. Développer et valoriser la fonction RH, anticiper les évolutions et les tendances à venir et contribuer activement au progrès socioéconomique... tel est sa raison d’être.
«Ensemble, nous avons travaillé pendant quelques années sur une feuille de route audacieuse. Une feuille de route commune qui a pour objectif de répondre aux enjeux et défis RH actuels et aussi de pérenniser l’histoire de l’AGEF bâtie pendant plus de 53 ans par les bureaux précédents et leurs pasts présidents», se félicite Mme Nhaili.
À cette occasion, la présidente de l'AGEF nationale a annoncé la naissance d’une nouvelle section «AGEF Sahara» qui verra le jour très prochainement. «Cette nouvelle section marque une étape importante pour nous. Elle n’est pas seulement une preuve de notre développement, mais aussi de notre volonté de nous rapprocher des besoins des populations locales et de renforcer notre impact là où il est nécessaire», se réjouit-elle. Et d’ajouter que l’ouverture de cette section n’est pas une fin en soi, mais le début d’un nouveau chapitre de l’AGEF.
Une autre excellente nouvelle : le Maroc prendra, pour les deux années à venir, la présidence de l'AFDIP. À ce propos, Mme Nhaili déclare au journal «Le Matin» que l'AGEF nationale est honorée d'assumer cette responsabilité et garantit que son bureau mettra tout en œuvre pour relever les défis actuels liés aux ressources humaines et à la fonction RH au niveau de la région. L'AGEF nationale, à travers ses cinq sections régionales, est résolue à avancer et à faire rayonner les ambitions de la communauté RH.
Pour sa part, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, a appelé les directeurs et les responsables des ressources humaines en Afrique, «le cœur battant des entreprises», à être davantage sensibles à l'inclusion économique, et à être plus ouverts envers les personnes nécessitant un accompagnement et une première chance. «Le gouvernement, à travers une feuille de route, qui mobilise 14 milliards de dirhams dans la présente Loi de Finances, entend faire de l'année 2025 un tournant décisif en matière d'emploi et de formation professionnelle», a-t-il précisé.
Mehdi Tazi, vice-président de la CGEM, a de son côté noté que le Maroc dispose d’une population active jeune, dynamique et performante, et qu'il est essentiel d'en prendre soin pour en maximiser le potentiel. À cet égard, M. Tazi insiste sur la nécessité d'accélérer les efforts de formation, notamment la formation professionnelle, qui constituent un facteur clé pour assurer la pérennité des organisations, en particulier en Afrique, ainsi que pour maintenir la compétitivité économique.
Pendant deux jours, cet événement offre une occasion idéale pour échanger des idées innovantes et découvrir les meilleures pratiques à mettre en place pour renforcer le rôle stratégique des ressources humaines dans la promotion du développement.
Pour sa part, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, a appelé les directeurs et les responsables des ressources humaines en Afrique, «le cœur battant des entreprises», à être davantage sensibles à l'inclusion économique, et à être plus ouverts envers les personnes nécessitant un accompagnement et une première chance. «Le gouvernement, à travers une feuille de route, qui mobilise 14 milliards de dirhams dans la présente Loi de Finances, entend faire de l'année 2025 un tournant décisif en matière d'emploi et de formation professionnelle», a-t-il précisé.
Mehdi Tazi, vice-président de la CGEM, a de son côté noté que le Maroc dispose d’une population active jeune, dynamique et performante, et qu'il est essentiel d'en prendre soin pour en maximiser le potentiel. À cet égard, M. Tazi insiste sur la nécessité d'accélérer les efforts de formation, notamment la formation professionnelle, qui constituent un facteur clé pour assurer la pérennité des organisations, en particulier en Afrique, ainsi que pour maintenir la compétitivité économique.
Pendant deux jours, cet événement offre une occasion idéale pour échanger des idées innovantes et découvrir les meilleures pratiques à mettre en place pour renforcer le rôle stratégique des ressources humaines dans la promotion du développement.
