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Projets ambitieux chez l’Agence nationale des ports (ANP). Le régulateur de l’exploitation portuaire planche sur la réalisation de centrales solaires photovoltaïques (PV) dans cinq grands ports stratégiques du Royaume : Casablanca, Jorf Lasfar, Agadir, Laâyoune et Boujdour. L’opération portera, également, sur l’installation d’une station de dessalement de l’eau de mer en 2 monoblocs alimentée en énergies renouvelables au port de Lamhiriz. La centrale solaire à mettre en place dans le port de Jorf Lasfar tiendra la corde en termes de capacités de production avec 1.300 kilowatts-crêtes (kWc), suivie de celle d’Agadir (1.040 kWc), de Casablanca (600 kWc), de Laâyoune (412 kilowatts – kW), de Boujdour (100 kW) et de Lamhiriz (316 kW).
Ces futures plateformes de production seront destinées à alimenter en électricité verte les boucles moyenne tension liées aux postes transformateurs d’injection de l’énergie produite. La centrale PV de Lamhiriz, elle, alimentera le port et la station de dessalement projetée et ses ouvrages hydrauliques annexes. Notons que la station de dessalement au port de Lamhiriz sera composée de deux unités monobloc de dessalement, d’un débit unitaire de 2,5 litres/seconde (l/s), pour une capacité de production totale de 5 l/s. Ces projets s’inscrivent dans le cadre des engagements de l’ANP pour le verdissement des ports et la réduction de leur empreinte carbone. L’institution affirme placer l’efficacité énergétique dans sa ligne de mire, tout en exprimant sa volonté à participer activement aux efforts déployés par le Maroc dans la diversification des sources d’énergie et ainsi opter pour les énergies renouvelables, plus propres et en alignement avec les conditions naturelles des sites portuaires. Les efforts de l’ANP vont même au-delà du solaire en s’intéressant à l’hydrogène vert.
En effet, le régulateur est sur une étude de faisabilité technique d’export de l’hydrogène vert par les ports. De même, l’Agence assure être à l’écoute des investisseurs nationaux et étrangers et travailler en permanence, de concert avec les acteurs de l’écosystème portuaire, sur l’opportunité de l’intégration des énergies renouvelables dans les ports sous sa gestion, et ce afin de mettre en œuvre des projets concrets en rapport avec cette dynamique d’écologie industrialo-portuaire (nouvelles technologies d’éclairage, la gestion intelligente du réseau électrique, etc.).
Ces futures plateformes de production seront destinées à alimenter en électricité verte les boucles moyenne tension liées aux postes transformateurs d’injection de l’énergie produite. La centrale PV de Lamhiriz, elle, alimentera le port et la station de dessalement projetée et ses ouvrages hydrauliques annexes. Notons que la station de dessalement au port de Lamhiriz sera composée de deux unités monobloc de dessalement, d’un débit unitaire de 2,5 litres/seconde (l/s), pour une capacité de production totale de 5 l/s. Ces projets s’inscrivent dans le cadre des engagements de l’ANP pour le verdissement des ports et la réduction de leur empreinte carbone. L’institution affirme placer l’efficacité énergétique dans sa ligne de mire, tout en exprimant sa volonté à participer activement aux efforts déployés par le Maroc dans la diversification des sources d’énergie et ainsi opter pour les énergies renouvelables, plus propres et en alignement avec les conditions naturelles des sites portuaires. Les efforts de l’ANP vont même au-delà du solaire en s’intéressant à l’hydrogène vert.
En effet, le régulateur est sur une étude de faisabilité technique d’export de l’hydrogène vert par les ports. De même, l’Agence assure être à l’écoute des investisseurs nationaux et étrangers et travailler en permanence, de concert avec les acteurs de l’écosystème portuaire, sur l’opportunité de l’intégration des énergies renouvelables dans les ports sous sa gestion, et ce afin de mettre en œuvre des projets concrets en rapport avec cette dynamique d’écologie industrialo-portuaire (nouvelles technologies d’éclairage, la gestion intelligente du réseau électrique, etc.).
