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En cours de cession à Saham, Société Générale Maroc confirme son statut de leader parmi les filiales africaines de sa maison-mère. Selon les résultats financiers du premier semestre 2024 du groupe Société Générale, la filiale marocaine demeure le chef de file dans la région Afrique, Bassin méditerranéen et outre-mer.
Cette zone enregistre une progression annuelle du produit net bancaire de 6,0% à 1,09 milliard d’euros, portée par une forte croissance des commissions et une hausse de la marge nette d’intérêts. Les encours de crédits de la région ont atteint 25,4 milliards d’euros (+1,3%) et ceux des dépôts 27,7 milliards (+1,9%). Ces résultats sont essentiellement appuyés par la filiale marocaine, qui reste nettement le plus important contributeur aux performances du groupe dans cette zone.
Société Générale Maroc représente, en effet, environ 22,5% des revenus réalisés par le groupe sur cette région, avec un PNB de 245 millions d’euros. La filiale marocaine fait mieux que celle de la Côte d’Ivoire (187 millions d’euros), de l’Algérie (96 millions), du Sénégal (90 millions) et de la Tunisie (84 millions) qui ferme le Top 5 des filiales africaines en termes de revenus au premier semestre 2024.
Par ailleurs, sur un total de 25,4 milliards d’euros d’encours de crédits distribués sur ce marché régional, plus de 8,6 milliards ont été réalisés au Maroc, soit 33,8%. Et sur 27,7 milliards d’euros d’encours de dépôts collectés dans cette région, plus de 7,4 milliards sont enregistrés dans le Royaume, soit une part d’environ 27%.
Pour les crédits distribués par Société Générale en Afrique, le Maroc devance de loin la Côte d’Ivoire (3,7 milliards d’euros), la Tunisie (1,9 milliard), l’Algérie (1,6 milliard), le Sénégal (1,6 milliard) ou encore le Cameroun (près de 1,1 milliard). Pour les dépôts, la filiale marocaine devance également les filiales ivoirienne (4,03 milliards d’euros), algérienne (2,7 milliards), sénégalaise (2,0 milliards), camerounaise (1,89 milliard) et tunisienne (1,88 milliard). À noter que plusieurs filiales africaines du groupe Société Générale sont en cours de cession. La dernière en date concerne Société Générale Bénin.
Société Générale vient de signer un accord avec l’État Béninois qui prévoit la cession totale des parts du groupe (93,43%) dans Société Générale Bénin, incluant sa succursale Société Générale Togo. Selon les engagements pris, l’État béninois reprendrait la totalité des activités opérées par cette filiale, ainsi que l’intégralité des portefeuilles clients et l’ensemble des collaborateurs de cette entité.
Concernant la filiale marocaine, le groupe Société Générale a annoncé en avril dernier avoir signé deux contrats de cession avec le groupe Saham, soumis à l’approbation des autorités compétentes, en vue de céder Société Générale Marocaine de Banques incluant ses filiales, et La Marocaine Vie. La transaction se ferait au prix de 745 millions d’euros. Le groupe Saham reprendrait ainsi la totalité des activités opérées par ces filiales et de leurs portefeuilles clients, ainsi que l’ensemble des collaborateurs de ces entités. Ce projet de cession s’inscrit dans le cadre de l’exécution de la feuille de route stratégique de Société Générale, présentée en septembre 2023, qui vise à façonner un modèle simplifié, plus synergétique et performant tout en renforçant le capital du Groupe.
Cette zone enregistre une progression annuelle du produit net bancaire de 6,0% à 1,09 milliard d’euros, portée par une forte croissance des commissions et une hausse de la marge nette d’intérêts. Les encours de crédits de la région ont atteint 25,4 milliards d’euros (+1,3%) et ceux des dépôts 27,7 milliards (+1,9%). Ces résultats sont essentiellement appuyés par la filiale marocaine, qui reste nettement le plus important contributeur aux performances du groupe dans cette zone.
Société Générale Maroc représente, en effet, environ 22,5% des revenus réalisés par le groupe sur cette région, avec un PNB de 245 millions d’euros. La filiale marocaine fait mieux que celle de la Côte d’Ivoire (187 millions d’euros), de l’Algérie (96 millions), du Sénégal (90 millions) et de la Tunisie (84 millions) qui ferme le Top 5 des filiales africaines en termes de revenus au premier semestre 2024.
Par ailleurs, sur un total de 25,4 milliards d’euros d’encours de crédits distribués sur ce marché régional, plus de 8,6 milliards ont été réalisés au Maroc, soit 33,8%. Et sur 27,7 milliards d’euros d’encours de dépôts collectés dans cette région, plus de 7,4 milliards sont enregistrés dans le Royaume, soit une part d’environ 27%.
Pour les crédits distribués par Société Générale en Afrique, le Maroc devance de loin la Côte d’Ivoire (3,7 milliards d’euros), la Tunisie (1,9 milliard), l’Algérie (1,6 milliard), le Sénégal (1,6 milliard) ou encore le Cameroun (près de 1,1 milliard). Pour les dépôts, la filiale marocaine devance également les filiales ivoirienne (4,03 milliards d’euros), algérienne (2,7 milliards), sénégalaise (2,0 milliards), camerounaise (1,89 milliard) et tunisienne (1,88 milliard). À noter que plusieurs filiales africaines du groupe Société Générale sont en cours de cession. La dernière en date concerne Société Générale Bénin.
Société Générale vient de signer un accord avec l’État Béninois qui prévoit la cession totale des parts du groupe (93,43%) dans Société Générale Bénin, incluant sa succursale Société Générale Togo. Selon les engagements pris, l’État béninois reprendrait la totalité des activités opérées par cette filiale, ainsi que l’intégralité des portefeuilles clients et l’ensemble des collaborateurs de cette entité.
Concernant la filiale marocaine, le groupe Société Générale a annoncé en avril dernier avoir signé deux contrats de cession avec le groupe Saham, soumis à l’approbation des autorités compétentes, en vue de céder Société Générale Marocaine de Banques incluant ses filiales, et La Marocaine Vie. La transaction se ferait au prix de 745 millions d’euros. Le groupe Saham reprendrait ainsi la totalité des activités opérées par ces filiales et de leurs portefeuilles clients, ainsi que l’ensemble des collaborateurs de ces entités. Ce projet de cession s’inscrit dans le cadre de l’exécution de la feuille de route stratégique de Société Générale, présentée en septembre 2023, qui vise à façonner un modèle simplifié, plus synergétique et performant tout en renforçant le capital du Groupe.
