C’est officiel. La Banque européenne d'investissement (BEI) accorde 115 millions d'euros (environ 1,3 milliard de dirhams) à MedZ, filiale du Groupe Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG). Comme nous l’annoncions en exclusivité en janvier dernier, ces fonds sont destinés à étendre et moderniser dix Technopoles stratégiquement réparties dans cinq régions du Maroc.
« Lors du Forum de la Banque européenne d'investissement qui s'est tenu les 7 et 8 février au Luxembourg, la BEI et la CDG du Maroc ont réaffirmé leur engagement mutuel en faveur du développement durable et de la finance climatique, et célébré la signature, le 29 décembre 2023, d'un contrat de financement de 115 millions d'euros pour le projet Technopoles Maroc II avec MedZ. Ce financement vise à promouvoir le développement économique régional et contribuer à positionner le Maroc comme une base industrielle décarbonée et compétitive. », souligne la Banque de l’UE. Selon la BEI, ce projet ambitieux appuie les objectifs du gouvernement marocain, notamment dans le cadre du Nouveau Modèle de Développement et du Plan d'Accélération Industrielle, visant à faire du Royaume une référence en termes de modes de production décarbonée, responsable et durable. Il vise également à soutenir la reprise économique durable et à réduire les disparités régionales, en ligne avec la politique de régionalisation avancée.
Ce projet s'inscrit dans la continuité du succès de l'opération Technopoles I en 2012, qui a généré environ 36.000 emplois, témoignant ainsi de la qualité du partenariat entre la CDG et la BEI. Pour rappel, MedZ avait déjà en 2012 bénéficié d’un prêt de 100 millions d’euros auprès de la BEI, pour contribuer au développement de sept technopoles et parcs industriels : Atlantic Free Zone (Kénitra), Parc Haliopolis (Agadir), MidParc (Nouaceur), Technopole d’Oujda, Technopolis de Rabat-Salé, Agropolis de Meknès et Agropole de Berkane.
Dans le prolongement de cette collaboration, MedZ et la BEI ont scellé donc un nouveau soutien financier en faveur de développement de technopoles durables à travers le Royaume, dans le cadre du Partenariat vert UE-Maroc qui constitue une reconnaissance importante de l’Union européenne du rôle moteur joué par le Maroc dans la transition écologique et de son potentiel à cet égard. Ce nouveau prêt est également aligné aux objectifs de l’Union européenne, dans le cadre du nouvel agenda pour la Méditerranée, notamment en matière de résilience, prospérité, transition écologique, développement humain, migration et mobilité.
« Nous nous réjouissons du renforcement de notre partenariat avec la BEI qui ne cesse de se consolider depuis plusieurs années déjà. Nous partageons les mêmes objectifs visant le rayonnement économique et social de nos régions marocaines et la réduction des disparités territoriales », souligne le directeur général de la CDG, Kalid Safir. « Nous avons l’ambition, en tant qu’acteur à fort impact, d’accentuer notre intervention en tant que locomotive au service de la durabilité de notre économie, raison pour laquelle, nous continuerons à conjuguer nos efforts d’investissement et de financement aux côtés de grandes institutions comme la BEI avec laquelle nous partageons ces mêmes valeurs », ajouté le patron de la CDG.
« Lors du Forum de la Banque européenne d'investissement qui s'est tenu les 7 et 8 février au Luxembourg, la BEI et la CDG du Maroc ont réaffirmé leur engagement mutuel en faveur du développement durable et de la finance climatique, et célébré la signature, le 29 décembre 2023, d'un contrat de financement de 115 millions d'euros pour le projet Technopoles Maroc II avec MedZ. Ce financement vise à promouvoir le développement économique régional et contribuer à positionner le Maroc comme une base industrielle décarbonée et compétitive. », souligne la Banque de l’UE. Selon la BEI, ce projet ambitieux appuie les objectifs du gouvernement marocain, notamment dans le cadre du Nouveau Modèle de Développement et du Plan d'Accélération Industrielle, visant à faire du Royaume une référence en termes de modes de production décarbonée, responsable et durable. Il vise également à soutenir la reprise économique durable et à réduire les disparités régionales, en ligne avec la politique de régionalisation avancée.
Ce projet s'inscrit dans la continuité du succès de l'opération Technopoles I en 2012, qui a généré environ 36.000 emplois, témoignant ainsi de la qualité du partenariat entre la CDG et la BEI. Pour rappel, MedZ avait déjà en 2012 bénéficié d’un prêt de 100 millions d’euros auprès de la BEI, pour contribuer au développement de sept technopoles et parcs industriels : Atlantic Free Zone (Kénitra), Parc Haliopolis (Agadir), MidParc (Nouaceur), Technopole d’Oujda, Technopolis de Rabat-Salé, Agropolis de Meknès et Agropole de Berkane.
Dans le prolongement de cette collaboration, MedZ et la BEI ont scellé donc un nouveau soutien financier en faveur de développement de technopoles durables à travers le Royaume, dans le cadre du Partenariat vert UE-Maroc qui constitue une reconnaissance importante de l’Union européenne du rôle moteur joué par le Maroc dans la transition écologique et de son potentiel à cet égard. Ce nouveau prêt est également aligné aux objectifs de l’Union européenne, dans le cadre du nouvel agenda pour la Méditerranée, notamment en matière de résilience, prospérité, transition écologique, développement humain, migration et mobilité.
« Nous nous réjouissons du renforcement de notre partenariat avec la BEI qui ne cesse de se consolider depuis plusieurs années déjà. Nous partageons les mêmes objectifs visant le rayonnement économique et social de nos régions marocaines et la réduction des disparités territoriales », souligne le directeur général de la CDG, Kalid Safir. « Nous avons l’ambition, en tant qu’acteur à fort impact, d’accentuer notre intervention en tant que locomotive au service de la durabilité de notre économie, raison pour laquelle, nous continuerons à conjuguer nos efforts d’investissement et de financement aux côtés de grandes institutions comme la BEI avec laquelle nous partageons ces mêmes valeurs », ajouté le patron de la CDG.