Cette décision, publiée dans le Bulletin Officiel n°7392, vise à simplifier radicalement des démarches administratives jusqu’ici jugées complexes et longues.
Jusqu’à présent, l’obtention d’une équivalence officielle nécessitait un parcours administratif fastidieux : dépôt de dossier, examen par des commissions spécialisées, puis publication des décisions. Un processus qui pouvait facilement dépasser six mois, freinant ainsi l’accès rapide des diplômés au marché du travail ou aux concours publics.
Désormais, les détenteurs de diplômes français bénéficieront d'une procédure directe, sans passer par ces étapes intermédiaires. Cette réforme concerne un large éventail de domaines, des sciences juridiques et économiques aux disciplines scientifiques et humaines. Elle répond aussi à une réalité chiffrée : les demandes d’équivalence pour des diplômes français représentaient plus de 60 % des requêtes traitées chaque année. « Il était temps de mettre fin aux complications administratives qui portaient un préjudice injustifié à nos diplômés des universités étrangères », a affirmé Azzedine El Midaoui, soulignant la volonté du gouvernement de bâtir « une administration publique plus équitable, plus performante et en phase avec l’évolution des parcours académiques internationaux ».
Le ministère envisage par ailleurs d’étendre cette logique d’automatisation à d’autres pays partenaires, dans le cadre d'une refonte globale des mécanismes d’équivalence. Objectif : soutenir davantage les étudiants marocains ayant poursuivi leurs études à l’étranger et faciliter leur intégration professionnelle au Maroc.
Jusqu’à présent, l’obtention d’une équivalence officielle nécessitait un parcours administratif fastidieux : dépôt de dossier, examen par des commissions spécialisées, puis publication des décisions. Un processus qui pouvait facilement dépasser six mois, freinant ainsi l’accès rapide des diplômés au marché du travail ou aux concours publics.
Désormais, les détenteurs de diplômes français bénéficieront d'une procédure directe, sans passer par ces étapes intermédiaires. Cette réforme concerne un large éventail de domaines, des sciences juridiques et économiques aux disciplines scientifiques et humaines. Elle répond aussi à une réalité chiffrée : les demandes d’équivalence pour des diplômes français représentaient plus de 60 % des requêtes traitées chaque année. « Il était temps de mettre fin aux complications administratives qui portaient un préjudice injustifié à nos diplômés des universités étrangères », a affirmé Azzedine El Midaoui, soulignant la volonté du gouvernement de bâtir « une administration publique plus équitable, plus performante et en phase avec l’évolution des parcours académiques internationaux ».
Le ministère envisage par ailleurs d’étendre cette logique d’automatisation à d’autres pays partenaires, dans le cadre d'une refonte globale des mécanismes d’équivalence. Objectif : soutenir davantage les étudiants marocains ayant poursuivi leurs études à l’étranger et faciliter leur intégration professionnelle au Maroc.