La conférence inaugurale de l’Université Internationale Averroès (UIA) a présenté la nouvelle institution au public. Jeudi 29 mai, l’établissement a tenu au sein de son campus à Casablanca une conférence de lancement sous le thème « Université et Employabilité », en présence du ministre de l’Inclusion économique, Younes Sekkouri, ainsi que de nombreux représentants du monde académique et économique. L'occasion pour Rachid M’Rabet, président de l’UIA, de rappeler que l’université se compose de trois entités : une école supérieure d’ingénierie avec classes préparatoires couvrant toutes les spécialités, une école de management offrant des cycles de licence et de master, ainsi qu’une faculté de droit et sciences politiques préparant aux professions juridiques et aux fonctions publiques. L’UIA privilégie une pédagogie transversale fondée sur la complémentarité des disciplines. « Il n’existe pas de cloison étanche entre les écoles », précise M’Rabet, ajoutant que « plus la formation est diversifiée, plus l’étudiant est armé pour affronter le monde professionnel ».
Pour se diversifier, l'Université mise également sur l’alternance. « Nos étudiants partagent leur temps entre l’université et l’entreprise...Cette immersion leur permet d’être immédiatement opérationnels, et facilite leur insertion professionnelle », souligne le président. Ce choix est d’autant plus notable que l’alternance reste peu développée dans le secteur privé marocain. L’UIA revendique cette méthode comme un axe fort de sa formation, insistant sur la complémentarité entre théorie et pratique.
Sur le plan social, l’université affiche également un positionnement particulier. « Nous refusons d’exclure les étudiants talentueux pour des raisons financières », déclare Rachid M’Rabet. Grâce à une fondation dédiée, l’UIA s’engage à attribuer un maximum de bourses aux élèves méritants issus de milieux modestes. Cette politique vise à favoriser l’égalité des chances et à garantir l’accès à l’enseignement supérieur au plus grand nombre.
Intervenant lors de la conférence, le ministre Younes Sekkouri a salué cette orientation de l’UIA. Il a affirmé que « rien ne forme plus que le travail en terrain », soulignant ainsi l’importance de l’alternance comme pilier de la formation. « Faire de l’apprentissage un axe structurant de notre stratégie », a-t-il ajouté, annonçant une série de mesures pour renforcer ce modèle au niveau national.
Le ministre a profité de l'occasion pour détailler le projet de son département pour multiplier par quatre le nombre d’apprentis, passant de 25.000 à 100.000 dès cette année. Un contrat national sur l’apprentissage sera ainsi conclu avec les entreprises dès juillet, intégrant des objectifs chiffrés et des mesures incitatives, explique le responsable gouvernemental. Parmi celles-ci, une contribution publique de 5.000 dirhams par apprenant et des simplifications administratives en faveur des employeurs sont à l’étude, afin de faciliter l’intégration des apprentis en entreprise.
La conférence s’est terminée sur une affirmation claire du rôle que veut jouer l’UIA de former des cadres ouverts au dialogue, ancrés dans les valeurs démocratiques et attachés à leur pays. Rachid M’Rabet a insisté sur l’accompagnement des étudiants pour qu’ils soient en mesure de relever les défis nationaux et s’aligner sur les orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Pour se diversifier, l'Université mise également sur l’alternance. « Nos étudiants partagent leur temps entre l’université et l’entreprise...Cette immersion leur permet d’être immédiatement opérationnels, et facilite leur insertion professionnelle », souligne le président. Ce choix est d’autant plus notable que l’alternance reste peu développée dans le secteur privé marocain. L’UIA revendique cette méthode comme un axe fort de sa formation, insistant sur la complémentarité entre théorie et pratique.
Sur le plan social, l’université affiche également un positionnement particulier. « Nous refusons d’exclure les étudiants talentueux pour des raisons financières », déclare Rachid M’Rabet. Grâce à une fondation dédiée, l’UIA s’engage à attribuer un maximum de bourses aux élèves méritants issus de milieux modestes. Cette politique vise à favoriser l’égalité des chances et à garantir l’accès à l’enseignement supérieur au plus grand nombre.
Intervenant lors de la conférence, le ministre Younes Sekkouri a salué cette orientation de l’UIA. Il a affirmé que « rien ne forme plus que le travail en terrain », soulignant ainsi l’importance de l’alternance comme pilier de la formation. « Faire de l’apprentissage un axe structurant de notre stratégie », a-t-il ajouté, annonçant une série de mesures pour renforcer ce modèle au niveau national.
Le ministre a profité de l'occasion pour détailler le projet de son département pour multiplier par quatre le nombre d’apprentis, passant de 25.000 à 100.000 dès cette année. Un contrat national sur l’apprentissage sera ainsi conclu avec les entreprises dès juillet, intégrant des objectifs chiffrés et des mesures incitatives, explique le responsable gouvernemental. Parmi celles-ci, une contribution publique de 5.000 dirhams par apprenant et des simplifications administratives en faveur des employeurs sont à l’étude, afin de faciliter l’intégration des apprentis en entreprise.
La conférence s’est terminée sur une affirmation claire du rôle que veut jouer l’UIA de former des cadres ouverts au dialogue, ancrés dans les valeurs démocratiques et attachés à leur pays. Rachid M’Rabet a insisté sur l’accompagnement des étudiants pour qu’ils soient en mesure de relever les défis nationaux et s’aligner sur les orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.