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Présentée lors d’une conférence de presse au Collège des sciences sociales de l’UIR, la formation s’adresse aux diplômés à partir de Bac+3 ainsi qu’aux professionnels en reconversion, sans exigence de formation littéraire préalable. « Ce que nous cherchons, ce sont des personnes qui lisent, qui écrivent, et qui souhaitent aller au bout d’un projet éditorial ou intellectuel », a déclaré Catherine Laulhère, responsable du programme.
Selon elle, cette nouvelle formation a pour objectif de familiariser les participants aux réseaux littéraires, éditoriaux et institutionnels, tout en leur apportant une compréhension concrète des circuits de publication, de diffusion et de distribution.
Le master s’étend sur 10 mois, avec 270 heures de cours, réparties sur les vendredis de 17h à 20h et les samedis de 10h à 17h. Le format est conçu pour les actifs, avec la possibilité de suivre les enseignements en présentiel ou à distance grâce à un dispositif comodal. Les cours seront dispensés en trois langues : français, arabe et anglais. Le coût de la formation est fixé à 66 000 dirhams TTC.
Le contenu couvre l’ensemble des maillons de la chaîne éditoriale : de la conception d’un ouvrage à sa fabrication, en passant par le droit de l’édition, la gestion, le marketing, la communication, la diffusion internationale, et jusqu’aux usages de l’intelligence artificielle dans la correction, la mise en page et la production de contenus. Dix modules structurent l’année, complétés par un stage professionnel de deux mois, un mémoire encadré et des visites institutionnelles prévues au Maroc ou à l’étranger.
Pour cette première édition, le nombre de participants sera limité. « Il est préférable de commencer avec une promotion de 15 à 20 personnes, afin de garantir un accompagnement individuel de qualité », a précisé Catherine Laulhère.
Intervenant également lors de la conférence, Mehdi Alioua, doyen de l’Institut d’Études Politiques de l’UIR, a souligné la portée stratégique de cette initiative. « Dans un environnement saturé d’automatisme et de contenus générés par des machines, former des professionnels de l’écrit, capables de structurer une pensée, de hiérarchiser une information ou de porter une voix, est une nécessité culturelle »
À l’issue de la conférence, la responsable de la formation a précisé que le dépôt des candidatures est désormais ouvert sur le site officiel de l’UIR, et que la sélection se fera sur dossier et entretien
Selon elle, cette nouvelle formation a pour objectif de familiariser les participants aux réseaux littéraires, éditoriaux et institutionnels, tout en leur apportant une compréhension concrète des circuits de publication, de diffusion et de distribution.
Le master s’étend sur 10 mois, avec 270 heures de cours, réparties sur les vendredis de 17h à 20h et les samedis de 10h à 17h. Le format est conçu pour les actifs, avec la possibilité de suivre les enseignements en présentiel ou à distance grâce à un dispositif comodal. Les cours seront dispensés en trois langues : français, arabe et anglais. Le coût de la formation est fixé à 66 000 dirhams TTC.
Le contenu couvre l’ensemble des maillons de la chaîne éditoriale : de la conception d’un ouvrage à sa fabrication, en passant par le droit de l’édition, la gestion, le marketing, la communication, la diffusion internationale, et jusqu’aux usages de l’intelligence artificielle dans la correction, la mise en page et la production de contenus. Dix modules structurent l’année, complétés par un stage professionnel de deux mois, un mémoire encadré et des visites institutionnelles prévues au Maroc ou à l’étranger.
Pour cette première édition, le nombre de participants sera limité. « Il est préférable de commencer avec une promotion de 15 à 20 personnes, afin de garantir un accompagnement individuel de qualité », a précisé Catherine Laulhère.
Intervenant également lors de la conférence, Mehdi Alioua, doyen de l’Institut d’Études Politiques de l’UIR, a souligné la portée stratégique de cette initiative. « Dans un environnement saturé d’automatisme et de contenus générés par des machines, former des professionnels de l’écrit, capables de structurer une pensée, de hiérarchiser une information ou de porter une voix, est une nécessité culturelle »
À l’issue de la conférence, la responsable de la formation a précisé que le dépôt des candidatures est désormais ouvert sur le site officiel de l’UIR, et que la sélection se fera sur dossier et entretien
