"Monsieur Sinkewitz a déjà suffisamment été puni en perdant son emploi et d'autres ressources financières", a justifié le procureur général de Bonn, Friedrich Apostel.
"En outre il s'est montré coopératif lors de l'enquête, il est passé aux aveux et a fait des déclarations utiles sur les pratiques de dopage dans le cyclisme professionnel", a-t-il jugé, interrogé par l'agence allemande sid.
Le cycliste de 27 ans, alors employé par la formation T-Mobile, avait été testé positif le 8 juin, avant d'être contraint à l'abandon à la suite d'un accident dans la 8e étape du Tour de France.
Le parquet de Bonn avait alors ouvert une enquête pour "escroquerie" contre le coureur, à la suite du dépôt d'une plainte dès la mi-juin pour "escroquerie au détriment d'un partenaire".
Sinkewitz a avoué récemment avoir commencé de l'EPO en 2003, avant de passer au dopage sanguin par transfusion.
Licencié par T-Mobile dès juillet, il risque une suspension de deux ans mais espère que ses aveux et sa coopération avec les autorités sportives lui vaudront une suspension réduite à un an.
"En outre il s'est montré coopératif lors de l'enquête, il est passé aux aveux et a fait des déclarations utiles sur les pratiques de dopage dans le cyclisme professionnel", a-t-il jugé, interrogé par l'agence allemande sid.
Le cycliste de 27 ans, alors employé par la formation T-Mobile, avait été testé positif le 8 juin, avant d'être contraint à l'abandon à la suite d'un accident dans la 8e étape du Tour de France.
Le parquet de Bonn avait alors ouvert une enquête pour "escroquerie" contre le coureur, à la suite du dépôt d'une plainte dès la mi-juin pour "escroquerie au détriment d'un partenaire".
Sinkewitz a avoué récemment avoir commencé de l'EPO en 2003, avant de passer au dopage sanguin par transfusion.
Licencié par T-Mobile dès juillet, il risque une suspension de deux ans mais espère que ses aveux et sa coopération avec les autorités sportives lui vaudront une suspension réduite à un an.
