M. Ban a "pris note" du report pour la cinquième fois de l'élection présidentielle libanaise, cette fois "jusqu'après l'expiration du mandat de l'actuel président". "Il regrette cet événement et exhorte toutes les parties à maintenir le calme et à redoubler d'efforts pour trouver un compromis le plus tôt possible", déclare le texte.
"Le secrétaire général est profondément préoccupé par la fragilité de la situation au Liban et suit les événements très attentivement". Il "exhorte toutes les parties à faire face à leurs responsabilités et à agir dans le cadre de la constitution et de manière pacifique et démocratique", conclut le communiqué.
La séance parlementaire devant élire un nouveau Président libanais a été reportée pour la cinquième fois vendredi, faute d'accord entre la majorité parlementaire antisyrienne et l'opposition soutenue par Damas et Téhéran sur le nom du successeur du président sortant prosyrien, Emile Lahoud.
Ce dernier, dont le mandat expire vendredi à minuit, a décidé de confier la sécurité du pays à l'armée, à quelques heures de la fin de son mandat, décision immédiatement rejetée par le gouvernement, alors que le pays entre dans une période de vide présidentiel.
En raison de la haute tension politique, les mesures de sécurité ont été renforcées, notamment à Beyrouth et ses environs. Blindés, soldats et membres des Forces de sécurité intérieure étaient postés aux principaux axes routiers de la capitale.
"Le secrétaire général est profondément préoccupé par la fragilité de la situation au Liban et suit les événements très attentivement". Il "exhorte toutes les parties à faire face à leurs responsabilités et à agir dans le cadre de la constitution et de manière pacifique et démocratique", conclut le communiqué.
La séance parlementaire devant élire un nouveau Président libanais a été reportée pour la cinquième fois vendredi, faute d'accord entre la majorité parlementaire antisyrienne et l'opposition soutenue par Damas et Téhéran sur le nom du successeur du président sortant prosyrien, Emile Lahoud.
Ce dernier, dont le mandat expire vendredi à minuit, a décidé de confier la sécurité du pays à l'armée, à quelques heures de la fin de son mandat, décision immédiatement rejetée par le gouvernement, alors que le pays entre dans une période de vide présidentiel.
En raison de la haute tension politique, les mesures de sécurité ont été renforcées, notamment à Beyrouth et ses environs. Blindés, soldats et membres des Forces de sécurité intérieure étaient postés aux principaux axes routiers de la capitale.
