Les Russes ont pris leur revanche sur les Scandinaves qui les avaient battues en finale de l'Euro-2006 il y a un an en Suède, sur un score presque similaire (27-24).
Un duel au sommet parmi d'autres entre deux adversaires aux styles radicalement différents, qui s'étaient déjà affrontés à ce stade de la compétition en finale du Mondial 2001.
Les Norvégiennes n'ont pas réussi un nouveau doublé titre européen-titre mondial comme celui qu'elles avaient réalisé en 1998 (Euro) et 1999 (Mondial).
Cette fois-ci, la puissance et l'impact physique russes l'ont emporté sur la fluidité collective et la technicité norvégiennes.
La gardienne de but russe Inna Suslina a joué un rôle essentiel dans la victoire, aussi bien dans le début de rencontre, très serré, qu'en fin de match avec des arrêts décisifs.
La première mi-temps voyait les deux favoris du Mondial au coude à coude, avec l'arrière Gro Hammerseng à la manoeuvre côté norvégien. Les protégées de Marit Breivik contenaient la puissance russe pendant vingt minutes, avant de subir un festival de l'impassible arrière Anna Kareeva.
Rendez-vous à Pékin
Dans son sillage, la Russie infligeait un 7 à 3 à la Norvège avant la mi-temps (16-12). Mauvaise nouvelle pour les Norvégiennes à la reprise, leur vedette Hammerseng devait quitter le terrain après à peine douze minutes de jeu, blessée au nez.
Son absence donnait pourtant aux Scandinaves encore plus de coeur à l'ouvrage. Hammerseng provisoirement absente, sa camarade Kari Mette Johansen prenait l'attaque rouge et blanche en mains et ramenait presque à elle seule la Norvège à un but des filles d'Evgeny Trefilov (18-14, 21-20).
Malheureusement pour les Norvégiennes, Katja Nyberg et Goril Snorroeggen se montraient moins efficaces qu'à leur habitude sur la base arrière.
Sentant l'aubaine, la Russie se montrait encore plus intraitable en défense et donnait un nouveau coup d'accélérateur en fin de rencontre dans la foulée de Postnova et Polenova. Ses efforts étaient parachevés par deux arrêts décisifs de Suslina dans les dernières minutes (29-24).
La Russie et la Norvège se sont d'ores et déjà donné rendez-vous dans huit mois, pour les JO de Pékin pour lesquels elles sont toutes deux qualifiées. Elles seront de nouveau les grandes favorites du tournoi olympique.
Un duel au sommet parmi d'autres entre deux adversaires aux styles radicalement différents, qui s'étaient déjà affrontés à ce stade de la compétition en finale du Mondial 2001.
Les Norvégiennes n'ont pas réussi un nouveau doublé titre européen-titre mondial comme celui qu'elles avaient réalisé en 1998 (Euro) et 1999 (Mondial).
Cette fois-ci, la puissance et l'impact physique russes l'ont emporté sur la fluidité collective et la technicité norvégiennes.
La gardienne de but russe Inna Suslina a joué un rôle essentiel dans la victoire, aussi bien dans le début de rencontre, très serré, qu'en fin de match avec des arrêts décisifs.
La première mi-temps voyait les deux favoris du Mondial au coude à coude, avec l'arrière Gro Hammerseng à la manoeuvre côté norvégien. Les protégées de Marit Breivik contenaient la puissance russe pendant vingt minutes, avant de subir un festival de l'impassible arrière Anna Kareeva.
Rendez-vous à Pékin
Dans son sillage, la Russie infligeait un 7 à 3 à la Norvège avant la mi-temps (16-12). Mauvaise nouvelle pour les Norvégiennes à la reprise, leur vedette Hammerseng devait quitter le terrain après à peine douze minutes de jeu, blessée au nez.
Son absence donnait pourtant aux Scandinaves encore plus de coeur à l'ouvrage. Hammerseng provisoirement absente, sa camarade Kari Mette Johansen prenait l'attaque rouge et blanche en mains et ramenait presque à elle seule la Norvège à un but des filles d'Evgeny Trefilov (18-14, 21-20).
Malheureusement pour les Norvégiennes, Katja Nyberg et Goril Snorroeggen se montraient moins efficaces qu'à leur habitude sur la base arrière.
Sentant l'aubaine, la Russie se montrait encore plus intraitable en défense et donnait un nouveau coup d'accélérateur en fin de rencontre dans la foulée de Postnova et Polenova. Ses efforts étaient parachevés par deux arrêts décisifs de Suslina dans les dernières minutes (29-24).
La Russie et la Norvège se sont d'ores et déjà donné rendez-vous dans huit mois, pour les JO de Pékin pour lesquels elles sont toutes deux qualifiées. Elles seront de nouveau les grandes favorites du tournoi olympique.
