La nappe, qui couvre une superficie d'environ 23 km2, se dirige vers le nord-est sous l'effet des vents et des courants mais reste à bonne distance du littoral, a précisé le groupe pétrolier qui opère sur la plateforme Statfjord A où s'est produit l'accident.
"D'après nos calculs, il est très improbable qu'elle atteigne les côtes", a déclaré à l'AFP Gisle Johanson, un porte-parole de la compagnie.
Quatre navires de pompage se trouvaient jeudi matin à proximité de la nappe d'hydrocarbures, ainsi que quatre remorqueurs pour le déploiement de barrages flottants, mais les conditions météorologiques empêchaient leur mise en oeuvre.
Les creux atteignent entre 4 et 5 mètres sur zone et aucune accalmie n'est attendue avant la nuit de jeudi à vendredi au plus tôt.
L'huile, d'un type léger, s'évapore progressivement sous l'effet des éléments naturels, écartant a priori tout risque de marée noire.
"Nos experts ont donc décidé de ne pas répandre de produits chimiques dispersants sur la nappe de pétrole", a précisé StatoilHydro.
La fuite d'hydrocarbures s'est produite lors du chargement en pleine mer du pétrolier "Navion Britannica", dans une canalisation reliant Statfjord A et une citerne située à proximité où les tankers accostent. La citerne en question a été fermée afin d'empêcher toute fuite supplémentaire.
Cette fuite est, par son volume, la deuxième de l'Histoire de Norvège après celle qui s'était produite il y a 30 ans suite à une explosion sur la plateforme Ekofisk Bravo. Plus de 10.000 tonnes de brut s'étaient alors déversés en mer.
"D'après nos calculs, il est très improbable qu'elle atteigne les côtes", a déclaré à l'AFP Gisle Johanson, un porte-parole de la compagnie.
Quatre navires de pompage se trouvaient jeudi matin à proximité de la nappe d'hydrocarbures, ainsi que quatre remorqueurs pour le déploiement de barrages flottants, mais les conditions météorologiques empêchaient leur mise en oeuvre.
Les creux atteignent entre 4 et 5 mètres sur zone et aucune accalmie n'est attendue avant la nuit de jeudi à vendredi au plus tôt.
L'huile, d'un type léger, s'évapore progressivement sous l'effet des éléments naturels, écartant a priori tout risque de marée noire.
"Nos experts ont donc décidé de ne pas répandre de produits chimiques dispersants sur la nappe de pétrole", a précisé StatoilHydro.
La fuite d'hydrocarbures s'est produite lors du chargement en pleine mer du pétrolier "Navion Britannica", dans une canalisation reliant Statfjord A et une citerne située à proximité où les tankers accostent. La citerne en question a été fermée afin d'empêcher toute fuite supplémentaire.
Cette fuite est, par son volume, la deuxième de l'Histoire de Norvège après celle qui s'était produite il y a 30 ans suite à une explosion sur la plateforme Ekofisk Bravo. Plus de 10.000 tonnes de brut s'étaient alors déversés en mer.
