"Le groupe, qui tablait sur 4% de croissance annuelle pour les prochaines années, prévoit désormais une croissance zéro pour l'exercice en cours, clos le 31 mars prochain, ainsi que pour les deux exercices suivants", précise le quotidien économique.
"Les Echos" souligne que le groupe "a divisé par deux ses prévisions d'embauche sur trois ans, ramenées à 2.355 recrutements, qui ne couvriront donc plus les départs naturels".
"Ces annonces font suite à la brusque détérioration du trafic d'Air France-KLM en spetembre, qui se serait encore accentuée début octobre avec des baisses de l'ordre de 10% du trafic affaires sur l'Amérique du Nord et l'Asie", poursuit le journal.
Enfin, "Les Echos" assure que M. Spinetta "s'est néanmoins dit déterminé à poursuivre le dossier Alitalia".
"Le groupe pourrait y investir quelque 200 millions d'euros pour une prise de participation de l'ordre de 20%, si sa candidature était préférée à celle de Lufthansa", conclut le journal.
"Les Echos" souligne que le groupe "a divisé par deux ses prévisions d'embauche sur trois ans, ramenées à 2.355 recrutements, qui ne couvriront donc plus les départs naturels".
"Ces annonces font suite à la brusque détérioration du trafic d'Air France-KLM en spetembre, qui se serait encore accentuée début octobre avec des baisses de l'ordre de 10% du trafic affaires sur l'Amérique du Nord et l'Asie", poursuit le journal.
Enfin, "Les Echos" assure que M. Spinetta "s'est néanmoins dit déterminé à poursuivre le dossier Alitalia".
"Le groupe pourrait y investir quelque 200 millions d'euros pour une prise de participation de l'ordre de 20%, si sa candidature était préférée à celle de Lufthansa", conclut le journal.