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Un engin piégé a explosé au passage du convoi du général Joubouri, blessant ce dernier et tuant un lieutenant de son escorte, a-t-on précisé. La vie du général irakien n'est pas en danger, a-t-on souligné.
Au moment de l'attaque, le chef de la police de Mossoul se rendait sur les lieux de l'explosion mercredi d'une bombe dissimulée dans un immeuble de trois étages, dans l'ouest de Mossoul, ville située à 370 km au nord de Bagdad, selon la même source.
Selon le général de police Abdel Karim Al-Joubouri, 18 corps ont été retirés jusqu'à présent des décombres de l'immeuble et les forces de sécurité continuent les opérations de secours. Au total, 148 personnes ont été blessées.
Trois soldats irakiens figurent parmi les morts, selon l'armée américaine qui a "condamné ce lâche attentat" et l'a attribué à la branche irakienne d'Al-Qaïda. "C'est un exemple du mépris d'Al-Qaïda pour les civils".
Le bâtiment visé était soupçonné de servir de dépôt pour des armes et des munitions et était encerclé par l'armée irakienne qui attendait l'arrivée des équipes de déminage, selon le général Joubouri. La bombe a explosé lors d'une opération de recherche de caches d'armes menée par l'armée.
Sous la puissance de l'explosion, une quinzaine de maisons voisines se sont effondrées.
La région de Mossoul est le théâtre d'une opération conjointe des troupes américaines et irakiennes, lancée le 8 janvier contre les groupes extrémistes affiliés à Al-Qaïda.
Le commandement américain a récemment considéré Mossoul comme "un dangereux centre de gravité" pour l'activité de ces groupes qui se sont regroupés ces derniers mois dans le centre-nord irakien.
Les forces gouvernementales irakiennes et les milices sunnites mobilisées par l'armée américaine pour lutter contre Al-Qaïda y sont plus particulièrement la cible des attentats.
A Bagdad, deux policiers irakiens ont été tués et trois personnes blessées dont un policier dans une attaque à la bombe dans le quartier de Karrada (centre), selon des sources de sécurité et hospitalières.
Au moment de l'attaque, le chef de la police de Mossoul se rendait sur les lieux de l'explosion mercredi d'une bombe dissimulée dans un immeuble de trois étages, dans l'ouest de Mossoul, ville située à 370 km au nord de Bagdad, selon la même source.
Selon le général de police Abdel Karim Al-Joubouri, 18 corps ont été retirés jusqu'à présent des décombres de l'immeuble et les forces de sécurité continuent les opérations de secours. Au total, 148 personnes ont été blessées.
Trois soldats irakiens figurent parmi les morts, selon l'armée américaine qui a "condamné ce lâche attentat" et l'a attribué à la branche irakienne d'Al-Qaïda. "C'est un exemple du mépris d'Al-Qaïda pour les civils".
Le bâtiment visé était soupçonné de servir de dépôt pour des armes et des munitions et était encerclé par l'armée irakienne qui attendait l'arrivée des équipes de déminage, selon le général Joubouri. La bombe a explosé lors d'une opération de recherche de caches d'armes menée par l'armée.
Sous la puissance de l'explosion, une quinzaine de maisons voisines se sont effondrées.
La région de Mossoul est le théâtre d'une opération conjointe des troupes américaines et irakiennes, lancée le 8 janvier contre les groupes extrémistes affiliés à Al-Qaïda.
Le commandement américain a récemment considéré Mossoul comme "un dangereux centre de gravité" pour l'activité de ces groupes qui se sont regroupés ces derniers mois dans le centre-nord irakien.
Les forces gouvernementales irakiennes et les milices sunnites mobilisées par l'armée américaine pour lutter contre Al-Qaïda y sont plus particulièrement la cible des attentats.
A Bagdad, deux policiers irakiens ont été tués et trois personnes blessées dont un policier dans une attaque à la bombe dans le quartier de Karrada (centre), selon des sources de sécurité et hospitalières.
