Les Los Angeles Lakers, qui reçoivent les Celtics le jour de Noël dans le choc revanche des dernières finales NBA, vont s'apercevoir que quelque chose a changé avec Boston, qui reste sur une série de seize succès consécutifs.
La raison ? Le "Big three" s'est élargi au "Fab Four". Un quatrième joueur sert désormais de fondation à la maison verte, qui vient d'égaler le record du meilleur début de saison NBA après 25 matches.
Avec 23 succès et 2 défaites, les Celtics 2009 trônent aux côtés des Philadelphia 76ers de 1967, des New York Knicks de 1970 et des Chicago Bulls de 1996, trois équipes sacrées championnes après leur départ canon.
Pour nombre d'observateurs, Rondo est la raison pour laquelle les Celtics sont plus forts aujourd'hui que la saison passée.
"C'est lui le catalyseur de l'équipe, raconte même Ray Allen, auquel Rondo fournit bon nombre de munitions. On marche main dans la main. Quand il joue comme en ce moment, les choses sont plus faciles. Il nous amène au panier."
"Rajon est tellement actif, renchérit Kevin Garnett. Il fait croire que le basket-ball est un jeu simple et il le rend simple pour tout le monde."
Objectif "All star game"
Rondo, 22 ans, affiche une moyenne de 11 points, 7,3 passes, 5 rebonds et 2,3 interceptions par match en 31 minutes. Rien d'exceptionnel, comparé au trio Garnett-Allen-Pierce, mais le petit meneur au bandeau est discrètement en train de se tailler une stature de All Star.
Il ne s'en cache pas: "Devenir un All Star est mon objectif cette saison." Ses performances sont au diapason.
Récemment, il a assommé tout seul les Utah Jazz (et leur meneur de jeu médaillé d'or à Pékin Deron Williams) avec 25 points, dont 12 dans les cinq dernières minutes, 9 rebonds et 8 passes, tout près de rééditer le triple-double enregistré contre Indiana début décembre, avec 16 points, 17 passes décisives et 13 rebonds. Cela faisait deux ans qu'un "Celtics" n'avait pas réussi un triple-double, pas même Allen, Pierce ou Garnett.
Pour un peu, il signait même son exploit dès la mi-temps. Il ne lui manquait qu'une passe et deux rebonds à la pause...
Après deux ans chez les Celtics, qui ont prolongé son contrat d'un an jusqu'en 2010 cet automne, le N.21 de la draft 2006 a creusé son trou.
Excellent défenseur, très bon au rebond pour son poste et sa taille (1,86 m), l'ancien de Kentucky University manque toutefois cruellement d'un jump-shoot digne de ce nom. "Il le fait à l'entraînement, explique l'entraîneur des Celtics Doc Rivers. C'est juste une question de confiance. Et quand ça viendra..."
La raison ? Le "Big three" s'est élargi au "Fab Four". Un quatrième joueur sert désormais de fondation à la maison verte, qui vient d'égaler le record du meilleur début de saison NBA après 25 matches.
Avec 23 succès et 2 défaites, les Celtics 2009 trônent aux côtés des Philadelphia 76ers de 1967, des New York Knicks de 1970 et des Chicago Bulls de 1996, trois équipes sacrées championnes après leur départ canon.
Pour nombre d'observateurs, Rondo est la raison pour laquelle les Celtics sont plus forts aujourd'hui que la saison passée.
"C'est lui le catalyseur de l'équipe, raconte même Ray Allen, auquel Rondo fournit bon nombre de munitions. On marche main dans la main. Quand il joue comme en ce moment, les choses sont plus faciles. Il nous amène au panier."
"Rajon est tellement actif, renchérit Kevin Garnett. Il fait croire que le basket-ball est un jeu simple et il le rend simple pour tout le monde."
Objectif "All star game"
Rondo, 22 ans, affiche une moyenne de 11 points, 7,3 passes, 5 rebonds et 2,3 interceptions par match en 31 minutes. Rien d'exceptionnel, comparé au trio Garnett-Allen-Pierce, mais le petit meneur au bandeau est discrètement en train de se tailler une stature de All Star.
Il ne s'en cache pas: "Devenir un All Star est mon objectif cette saison." Ses performances sont au diapason.
Récemment, il a assommé tout seul les Utah Jazz (et leur meneur de jeu médaillé d'or à Pékin Deron Williams) avec 25 points, dont 12 dans les cinq dernières minutes, 9 rebonds et 8 passes, tout près de rééditer le triple-double enregistré contre Indiana début décembre, avec 16 points, 17 passes décisives et 13 rebonds. Cela faisait deux ans qu'un "Celtics" n'avait pas réussi un triple-double, pas même Allen, Pierce ou Garnett.
Pour un peu, il signait même son exploit dès la mi-temps. Il ne lui manquait qu'une passe et deux rebonds à la pause...
Après deux ans chez les Celtics, qui ont prolongé son contrat d'un an jusqu'en 2010 cet automne, le N.21 de la draft 2006 a creusé son trou.
Excellent défenseur, très bon au rebond pour son poste et sa taille (1,86 m), l'ancien de Kentucky University manque toutefois cruellement d'un jump-shoot digne de ce nom. "Il le fait à l'entraînement, explique l'entraîneur des Celtics Doc Rivers. C'est juste une question de confiance. Et quand ça viendra..."
