Initié par l'Association des familles et victimes de l'immigration clandestine (AFVIC) en collaboration avec l'ONG italienne "Coopération internationale" (COOPI), ce projet vise à identifier et mettre en place une assistance intégrée aux émigrants d'origine marocaine, lors de leur rapatriement, tant volontaire que forcé, de l'Italie vers leur pays d'origine.
L'assistance sera fournie sous forme d'aide psychologique et d'appui à l'insertion dans le marché du travail à travers la création au Maroc de centres spécialisés dans la réintégration socio-économique.
Dans ce sens, le projet prévoit des stages d'insertion au sein des entreprises locales, la formation pratique en création d'entreprises et autres modules intéressants, des programmes adaptés à tout niveau et une assistance juridique et psychologique.
Des données quantitatives sur les flux de migrants de retour et leur réintégration seront aussi collectées en Italie et dans des pays tiers, afin de disposer des informations de base pour un suivi rapproché de la durabilité du processus de retour.
D'une durée de trois ans et qui concerne aussi la ville de Khouribga, le projet a pour mission la contribution au développement d'une culture d'émigration dans le respect des lois et la mise en place des mécanismes d'aide à la réintégration socio-économique des émigrants de retour pour faciliter le processus d'insertion et l'acceptabilité sociale.
Bénéficieront du projet les émigrants résidant illégalement en Italie et vivant dans un état de vulnérabilité sociale très élevé, identifiés par le biais des maisons d'accueil des sans abri et des centres d'assistance médicale à Turin et Milan, ainsi que les émigrants ayant fait retour au pays d'origine, identifiés grâce à des contacts établis précédemment, tant en Italie qu'au pays d'origine.
Le projet profitera aussi aux jeunes en situation de risque, candidats à l'émigration clandestine, à travers des activités sociales et culturelles visant leur implication active dans la vie économique et sociale.
Selon l'association COOPI, le soutien intégré au retour au pays d'origine comprend aussi bien les soucis de réintégration économique que les aspects sociaux et psychologiques du retour.
"Le rapatriement forcé semble acquérir une importance croissante dans les politiques européennes et nationales de l'émigration. Dans les années à venir, cela impliquera un nombre croissant de personnes, et certains pays devront faire face à une pression migratoire de retour très élevée", poursuit COOPI.
Lancé également en Albanie, le projet associe les villes de Turin et Milan en Italie, d'un côté, et les régions d'origine des communautés marocaines et albanaises dans ces villes, notamment Khouribga et Béni Mellal.
COOPI est une ONG italienne engagée dans la lutte contre les injustices sociales et la pauvreté dans les pays du Sud et dans la construction d'"un futur dans lequel soient garantis pour tous de bonnes conditions de vie, le respect des droits et la parité des opportunités".
Son bilan compte plus de 700 projets de développement et interventions d'urgence dans 50 pays.
L'assistance sera fournie sous forme d'aide psychologique et d'appui à l'insertion dans le marché du travail à travers la création au Maroc de centres spécialisés dans la réintégration socio-économique.
Dans ce sens, le projet prévoit des stages d'insertion au sein des entreprises locales, la formation pratique en création d'entreprises et autres modules intéressants, des programmes adaptés à tout niveau et une assistance juridique et psychologique.
Des données quantitatives sur les flux de migrants de retour et leur réintégration seront aussi collectées en Italie et dans des pays tiers, afin de disposer des informations de base pour un suivi rapproché de la durabilité du processus de retour.
D'une durée de trois ans et qui concerne aussi la ville de Khouribga, le projet a pour mission la contribution au développement d'une culture d'émigration dans le respect des lois et la mise en place des mécanismes d'aide à la réintégration socio-économique des émigrants de retour pour faciliter le processus d'insertion et l'acceptabilité sociale.
Bénéficieront du projet les émigrants résidant illégalement en Italie et vivant dans un état de vulnérabilité sociale très élevé, identifiés par le biais des maisons d'accueil des sans abri et des centres d'assistance médicale à Turin et Milan, ainsi que les émigrants ayant fait retour au pays d'origine, identifiés grâce à des contacts établis précédemment, tant en Italie qu'au pays d'origine.
Le projet profitera aussi aux jeunes en situation de risque, candidats à l'émigration clandestine, à travers des activités sociales et culturelles visant leur implication active dans la vie économique et sociale.
Selon l'association COOPI, le soutien intégré au retour au pays d'origine comprend aussi bien les soucis de réintégration économique que les aspects sociaux et psychologiques du retour.
"Le rapatriement forcé semble acquérir une importance croissante dans les politiques européennes et nationales de l'émigration. Dans les années à venir, cela impliquera un nombre croissant de personnes, et certains pays devront faire face à une pression migratoire de retour très élevée", poursuit COOPI.
Lancé également en Albanie, le projet associe les villes de Turin et Milan en Italie, d'un côté, et les régions d'origine des communautés marocaines et albanaises dans ces villes, notamment Khouribga et Béni Mellal.
COOPI est une ONG italienne engagée dans la lutte contre les injustices sociales et la pauvreté dans les pays du Sud et dans la construction d'"un futur dans lequel soient garantis pour tous de bonnes conditions de vie, le respect des droits et la parité des opportunités".
Son bilan compte plus de 700 projets de développement et interventions d'urgence dans 50 pays.
