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Vers 06h00 GMT, un euro valait 1,5777 dollars, contre 1,5742 jeudi à 21h00 GMT.
La devise européenne montait légèrement face à la devise japonaise, à 160,98 yens pour un euro, contre 160,38 la veille.
Un dollar s'échangeait contre 102,03 yens, au lieu de 101,88 la veille au soir, soutenu par un bon indice sur l'emploi aux Etats-Unis publié jeudi.
La monnaie unique européenne avait établi jeudi matin un nouveau record face au billet vert, à 1,5913 dollar pour un euro avant de se replier nettement à la suite des propos tenus par Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne (BCE), après que celle-ci eut décidé de maintenir son principal taux directeur à 4%.
En mettant l'accent sur les risques inflationnistes et sur la crise financière, M. Trichet a en effet laissé entendre que les perspectives de hausse prochaine des taux d'intérêt dans la zone euro n'étaient plus d'actualité, ont estimé plusieurs analystes.
Selon les cambistes, le repli du dollar observé vendredi s'explique par l'attention porté par le marché à la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales des pays du Groupe des Sept (G7 : Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon) devant avoir lieu dans la journée à Washington.
Les investisseurs s'attendent que cette rencontre débouche sur une action concertée au niveau de ces Etats afin de soulager les marchés financiers. Mais les cambistes parient eux que le communiqué final du sommet ne fera aucune référence à la faiblesse du dollar.
"Nous ne nous attendons pas que le communiqué du G7 soit retouché pour protester explicitement contre la faiblesse du dollar", écrit John Kyriacopoulos, analyste à NAB Capital.
Cette opinion est partagée par les analystes de Barclays Capital qui disent "[ne s'attendre] à aucun commentaire majeur sur les taux de change dans la mesure où l'on peut soutenir que la dépréciation du dollar, au moins jusqu'à maintenant, est directement liée aux bases de l'économie" américaine.
La livre sterling baissait légèrement face à l'euro, à l'euro à 79,91 pence pour un euro. La monnaie britannique a touché jeudi un plus bas historique à 80,29 pence pour un euro. Face au billet vert, la livre montait à 1,9744 livre pour un dollar.
Le franc suisse était quasiment stable face à l'euro et au billet vert, à 1,5879 franc pour un euro, et à 1,0065 franc pour un dollar.
La devise européenne montait légèrement face à la devise japonaise, à 160,98 yens pour un euro, contre 160,38 la veille.
Un dollar s'échangeait contre 102,03 yens, au lieu de 101,88 la veille au soir, soutenu par un bon indice sur l'emploi aux Etats-Unis publié jeudi.
La monnaie unique européenne avait établi jeudi matin un nouveau record face au billet vert, à 1,5913 dollar pour un euro avant de se replier nettement à la suite des propos tenus par Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne (BCE), après que celle-ci eut décidé de maintenir son principal taux directeur à 4%.
En mettant l'accent sur les risques inflationnistes et sur la crise financière, M. Trichet a en effet laissé entendre que les perspectives de hausse prochaine des taux d'intérêt dans la zone euro n'étaient plus d'actualité, ont estimé plusieurs analystes.
Selon les cambistes, le repli du dollar observé vendredi s'explique par l'attention porté par le marché à la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales des pays du Groupe des Sept (G7 : Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon) devant avoir lieu dans la journée à Washington.
Les investisseurs s'attendent que cette rencontre débouche sur une action concertée au niveau de ces Etats afin de soulager les marchés financiers. Mais les cambistes parient eux que le communiqué final du sommet ne fera aucune référence à la faiblesse du dollar.
"Nous ne nous attendons pas que le communiqué du G7 soit retouché pour protester explicitement contre la faiblesse du dollar", écrit John Kyriacopoulos, analyste à NAB Capital.
Cette opinion est partagée par les analystes de Barclays Capital qui disent "[ne s'attendre] à aucun commentaire majeur sur les taux de change dans la mesure où l'on peut soutenir que la dépréciation du dollar, au moins jusqu'à maintenant, est directement liée aux bases de l'économie" américaine.
La livre sterling baissait légèrement face à l'euro, à l'euro à 79,91 pence pour un euro. La monnaie britannique a touché jeudi un plus bas historique à 80,29 pence pour un euro. Face au billet vert, la livre montait à 1,9744 livre pour un dollar.
Le franc suisse était quasiment stable face à l'euro et au billet vert, à 1,5879 franc pour un euro, et à 1,0065 franc pour un dollar.
