"Le Dalaï-Lama a fait appel à moi en qualité de président du forum des prix Nobel auquel nous participons. Il s'est dit inquiet de la situation au Tibet et a formulé l'espoir que moi-même et d'autres hommes politiques puissent trouver une solution pacifique" à l'épineuse question du Tibet, selon le communiqué de M. Gorbatchev cité par l'agence Interfax.
M. Gorbatchev a indiqué en substance que le Dalaï-Lama ne cherchait pas à mettre en cause l'intégrité territoriale de la Chine et que la direction chinoise était selon lui ouverte à "des contacts et consultations" si la demande de l'indépendance du Tibet était abandonnée.
"Je pense que nous pouvons trouver matière à dialoguer. Toutes les parties doivent faire preuve de prudence et éviter des actes inconsidérés", a-t-il encore ajouté.
La Chine a été durement critiquée par de nombreux pays pour sa répression des manifestations de Tibétains qui avaient débuté le 10 mars à Lhassa.
Le gouvernement tibétain en exil estime à 150 le nombre de tués lors des opérations de répression alors que Pékin fait état de 20 morts.
Lundi soir, le gouvernement chinois a dénoncé les incidents qui ont perturbé le relais de la flamme olympique à Londres et à Paris "au mépris de l'esprit olympique".
"Nous condamnons fermement les perturbations du relais de la flamme olympique par des groupes séparatistes pro-indépendance du Tibet au mépris de l'esprit olympique et des lois françaises et britanniques", a déclaré Jiang Yu, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères citée par l'agence Chine nouvelle.
Par ailleurs, Chine nouvelle a critiqué Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants qui avait dénoncé l'"oppression" de la Chine au Tibet après une visite au Dalaï-Lama au mois de mars à Dharamsala en Inde.
M. Gorbatchev a indiqué en substance que le Dalaï-Lama ne cherchait pas à mettre en cause l'intégrité territoriale de la Chine et que la direction chinoise était selon lui ouverte à "des contacts et consultations" si la demande de l'indépendance du Tibet était abandonnée.
"Je pense que nous pouvons trouver matière à dialoguer. Toutes les parties doivent faire preuve de prudence et éviter des actes inconsidérés", a-t-il encore ajouté.
La Chine a été durement critiquée par de nombreux pays pour sa répression des manifestations de Tibétains qui avaient débuté le 10 mars à Lhassa.
Le gouvernement tibétain en exil estime à 150 le nombre de tués lors des opérations de répression alors que Pékin fait état de 20 morts.
Lundi soir, le gouvernement chinois a dénoncé les incidents qui ont perturbé le relais de la flamme olympique à Londres et à Paris "au mépris de l'esprit olympique".
"Nous condamnons fermement les perturbations du relais de la flamme olympique par des groupes séparatistes pro-indépendance du Tibet au mépris de l'esprit olympique et des lois françaises et britanniques", a déclaré Jiang Yu, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères citée par l'agence Chine nouvelle.
Par ailleurs, Chine nouvelle a critiqué Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants qui avait dénoncé l'"oppression" de la Chine au Tibet après une visite au Dalaï-Lama au mois de mars à Dharamsala en Inde.
