Avec cet évènement cinématographique, le cinéma marocain sera sous les projecteurs à Sofia "pour la première fois en 50 ans de relations diplomatiques et culturelles amicales entre le Royaume du Maroc et la Bulgarie", lit-on sur le site Internet "Sofia Echo. Com".
La Filmothèque nationale bulgare possède seulement quatre films marocains, et ces derniers datent des années 1972 à 1982, souligne la même source estimant que "tout va changer" grâce à cet évènement, le premier du genre dans l'histoire des relations culturelles entre les deux pays.
La manifestation est une occasion de consolider les liens entre deux cultures ancestrales sur les plans historique et artistique, a indiqué Ahmed Araib, responsable au Centre Cinématographique Marocain, cité par "Sofia Echo. Com".
La Bulgarie et le Maroc ont commencé à projeter des films peu de temps après la création par les frères Lumière de films et leur projection en public en 1897 - le Maroc avec "le Chevrier marocain" par Louis Lumière, et la Bulgarie avec une collection de courts métrages, également à partir des frères Lumière, rappelle le site Sofia.
Citant des propos de M. Araib lors d'une conférence de presse à Sofia, le site indique que la production cinématographique a débuté au Maroc en 1907, à la suite d'attaques militaires françaises contre le pays.
Et d'ajouter que "les premières images filmées au Maroc étaient des images de guerre" et que le premier film court marocain est apparu en 1913 suivi du premier long-métrage en 1919 intitulé "Mektoub".
Au fils des années le royaume s'est érigé en une "plate-forme" pour les réalisateurs étrangers (tels Ridley Scott) grâce notamment aux sites exotiques dont dispose le pays et les studios équipés qui ont vu le jour il y a une dizaine d'années.
Le cinéma marocain produit annuellement entre 15 et 18 longs métrages et environ 15 courts métrages, selon M. Araib ajoutant que même avec cette production modeste, le Maroc parvient toujours à participer à de nombreux festivals internationaux de film.
Cette première semaine du cinéma marocain en Bulgarie, qui aura lieu au cinéma Odéon de la Maison d'art de Sofia, sera marquée par la projection des films "Symphonie marocaine" (Kamal Kamal), "les Anges de Satan" (Ahmed Boulane, 2007), "la Chambre noire" (Hassan Benjelloun, 2004), "Ici et là" (Mohamed Ismail, 2005), "Juanita de Tanger" (Farida Belyazid, 2005), "le Jeu de l'amour" (Driss Chouika, 2006) et "Mémoire en détention"" (Jilali Ferhati, 2004).
La Filmothèque nationale bulgare possède seulement quatre films marocains, et ces derniers datent des années 1972 à 1982, souligne la même source estimant que "tout va changer" grâce à cet évènement, le premier du genre dans l'histoire des relations culturelles entre les deux pays.
La manifestation est une occasion de consolider les liens entre deux cultures ancestrales sur les plans historique et artistique, a indiqué Ahmed Araib, responsable au Centre Cinématographique Marocain, cité par "Sofia Echo. Com".
La Bulgarie et le Maroc ont commencé à projeter des films peu de temps après la création par les frères Lumière de films et leur projection en public en 1897 - le Maroc avec "le Chevrier marocain" par Louis Lumière, et la Bulgarie avec une collection de courts métrages, également à partir des frères Lumière, rappelle le site Sofia.
Citant des propos de M. Araib lors d'une conférence de presse à Sofia, le site indique que la production cinématographique a débuté au Maroc en 1907, à la suite d'attaques militaires françaises contre le pays.
Et d'ajouter que "les premières images filmées au Maroc étaient des images de guerre" et que le premier film court marocain est apparu en 1913 suivi du premier long-métrage en 1919 intitulé "Mektoub".
Au fils des années le royaume s'est érigé en une "plate-forme" pour les réalisateurs étrangers (tels Ridley Scott) grâce notamment aux sites exotiques dont dispose le pays et les studios équipés qui ont vu le jour il y a une dizaine d'années.
Le cinéma marocain produit annuellement entre 15 et 18 longs métrages et environ 15 courts métrages, selon M. Araib ajoutant que même avec cette production modeste, le Maroc parvient toujours à participer à de nombreux festivals internationaux de film.
Cette première semaine du cinéma marocain en Bulgarie, qui aura lieu au cinéma Odéon de la Maison d'art de Sofia, sera marquée par la projection des films "Symphonie marocaine" (Kamal Kamal), "les Anges de Satan" (Ahmed Boulane, 2007), "la Chambre noire" (Hassan Benjelloun, 2004), "Ici et là" (Mohamed Ismail, 2005), "Juanita de Tanger" (Farida Belyazid, 2005), "le Jeu de l'amour" (Driss Chouika, 2006) et "Mémoire en détention"" (Jilali Ferhati, 2004).
