Kirchen, premier représentant du Grand-Duché à s'imposer en 72 éditions de la classique wallonne, s'est montré le plus fort dans la montée finale, très raide, en conclusion des 199,5 kilomètres.
Le Luxembourgeois, âgé de 29 ans, a débordé Evans à l'approche du sommet pour s'adjuger sa première classique ardennaise.
Le Néerlandais Robert Gesink a pris la quatrième place devant son compatriote Thomas Dekker et l'Italien Davide Rebellin, vainqueur à deux reprises au sommet du mur de Huy.
Une échappée de vingt coureurs lancée peu avant la mi-course a contraint le peloton à mener une longue chasse sur les routes de Wallonie, sèches dans un premier temps puis rendues très glissantes par les averses.
Le regroupement général s'est opéré dans l'avant-dernière côte (Ahin), à 12 kilomètres de l'arrivée, où le Suédois Gustav Larsson puis l'Allemand Fabian Wegmann, imités par le Russe Alexandre Efimkin, se sont dégagés.
Après la chute de Larsson, aux cinq kilomètres, Wegmann a abordé seul en tête la dernière montée. Mais il a été repris à mi-pente par l'avant-garde du peloton, menée par Evans, dans la partie la plus sévère (environ 20 %).
Kim Kirchen est issu d'une famille cyclistes (son oncle, Jean, s'est classé 5e du Tour de France 1948). Depuis ses débuts professionnels en 2000, il a notamment remporté Paris-Bruxelles 2003 et le Tour de Pologne 2005.
"J'ai fait la même chose qu'il y a trois ans quand j'avais pris la deuxième place", a déclaré Kirchen, battu cette année-là par l'Italien Danilo Di Luca. "Sauf que cette fois-ci, c'était moi le plus fort".
Le premier Français, John Gadret, s'est classé comme l'an dernier dans les dix premiers à l'arrivée (8e en 2007, 10e en 2008).
Le Luxembourgeois, âgé de 29 ans, a débordé Evans à l'approche du sommet pour s'adjuger sa première classique ardennaise.
Le Néerlandais Robert Gesink a pris la quatrième place devant son compatriote Thomas Dekker et l'Italien Davide Rebellin, vainqueur à deux reprises au sommet du mur de Huy.
Une échappée de vingt coureurs lancée peu avant la mi-course a contraint le peloton à mener une longue chasse sur les routes de Wallonie, sèches dans un premier temps puis rendues très glissantes par les averses.
Le regroupement général s'est opéré dans l'avant-dernière côte (Ahin), à 12 kilomètres de l'arrivée, où le Suédois Gustav Larsson puis l'Allemand Fabian Wegmann, imités par le Russe Alexandre Efimkin, se sont dégagés.
Après la chute de Larsson, aux cinq kilomètres, Wegmann a abordé seul en tête la dernière montée. Mais il a été repris à mi-pente par l'avant-garde du peloton, menée par Evans, dans la partie la plus sévère (environ 20 %).
Kim Kirchen est issu d'une famille cyclistes (son oncle, Jean, s'est classé 5e du Tour de France 1948). Depuis ses débuts professionnels en 2000, il a notamment remporté Paris-Bruxelles 2003 et le Tour de Pologne 2005.
"J'ai fait la même chose qu'il y a trois ans quand j'avais pris la deuxième place", a déclaré Kirchen, battu cette année-là par l'Italien Danilo Di Luca. "Sauf que cette fois-ci, c'était moi le plus fort".
Le premier Français, John Gadret, s'est classé comme l'an dernier dans les dix premiers à l'arrivée (8e en 2007, 10e en 2008).
