"Le sponsor principal de l'équipe CSC, la société informatique CSC, quittera le cyclisme professionnel à l'expiration de son contrat à la fin de l'année. CSC a indiqué que cette décision traduit une redéfinition des priorités alors que la société a fait de nouveaux investissements dans le cadre d'une stratégie de développement à long terme", indique le communiqué.
"Cela marque le début de quelque chose de nouveau pour nous, et je sais que nous sommes capables d'aller de l'avant, et de montrer au monde que nous sommes en mesure de rester", a déclaré le directeur sportif, le Danois Bjarne Riis, cité dans le communiqué.
"Je suis optimiste pour l'avenir, même si le cyclisme doit affronter certains challenges", a poursuivi Riis, qui n'a pas précisé s'il était en contact direct avec un éventuel nouveau parraineur.
CSC, l'une des équipes les plus puissantes de la décennie, compte dans ses rangs quelques-uns des meilleurs coureurs au monde, comme les frères Frank et Andy Schleck (Luxembourg), le Suisse Fabian Cancellara, l'Australien Stuart O'Grady, l'Allemand Jens Voigt ou l'Espagnol Carlos Sastre. Elle avait accueilli le Français Laurent Jalabert à la fin de sa carrière, qui s'est achevée en 2002.
Le retrait de CSC intervient dix mois après que Bjarne Riis a avoué en mai 2007 avoir été sous érythropoïétine (EPO) depuis trois ans lors de sa victoire sur le Tour de France en 1996, sous les couleurs de l'équipe allemande Deutsche Telekom.
Considéré comme "persona non grata" par les organisateurs, Bjarne Riis n'était pas présent sur le Tour de France 2007.
Surnommé "Monsieur 60%" lors de son Tour victorieux en référence à un hématocrite explosant tous les critères de "normalité", Bjarne Riis avait conçu le programme antidopage le plus abouti et le plus onéreux de tout le peloton, estimé à 300.000 euros pour une saison.
"Cela marque le début de quelque chose de nouveau pour nous, et je sais que nous sommes capables d'aller de l'avant, et de montrer au monde que nous sommes en mesure de rester", a déclaré le directeur sportif, le Danois Bjarne Riis, cité dans le communiqué.
"Je suis optimiste pour l'avenir, même si le cyclisme doit affronter certains challenges", a poursuivi Riis, qui n'a pas précisé s'il était en contact direct avec un éventuel nouveau parraineur.
CSC, l'une des équipes les plus puissantes de la décennie, compte dans ses rangs quelques-uns des meilleurs coureurs au monde, comme les frères Frank et Andy Schleck (Luxembourg), le Suisse Fabian Cancellara, l'Australien Stuart O'Grady, l'Allemand Jens Voigt ou l'Espagnol Carlos Sastre. Elle avait accueilli le Français Laurent Jalabert à la fin de sa carrière, qui s'est achevée en 2002.
Le retrait de CSC intervient dix mois après que Bjarne Riis a avoué en mai 2007 avoir été sous érythropoïétine (EPO) depuis trois ans lors de sa victoire sur le Tour de France en 1996, sous les couleurs de l'équipe allemande Deutsche Telekom.
Considéré comme "persona non grata" par les organisateurs, Bjarne Riis n'était pas présent sur le Tour de France 2007.
Surnommé "Monsieur 60%" lors de son Tour victorieux en référence à un hématocrite explosant tous les critères de "normalité", Bjarne Riis avait conçu le programme antidopage le plus abouti et le plus onéreux de tout le peloton, estimé à 300.000 euros pour une saison.
