La semaine avait mal commencé, avec le forfait de Lassana Diarra dès lundi soir (inflammation du genou gauche, il n'a toujours pas été remplacé), puis avec trois joueurs ménagés et absents mardi du premier entraînement: Anelka, Benzema, Gallas. Mercredi, Anelka a continué à faire du vélo quand ses partenaires retrouvaient le terrain. Benzema et Gallas disputaient tout l'entraînement.
Mais Ben Arfa finissait la séance en se tenant le genou droit et, dans la nuit de mercredi à jeudi, Boumsong et Briand étaient appelés en renfort. Sage précaution puisque Gallas a fini par déclarer forfait jeudi pour la Roumanie en raison d'une lésion à la cuisse droite avant que Ben Arfa ne soit dispensé d'entraînement pour cause d'inflammation du genou droit. Seule bonne nouvelle pour Domenech : Anelka a retrouvé le terrain et ses coéquipiers jeudi.
Le Parisien affirmait mercredi que Vieira avait suggéré à l'encadrement des Bleus de lui prescrire un produit interdit à la vente en France, mais qui ne figure pas sur la liste des produits interdits par l'Agence mondiale antidopage (AMA). L'encadrement technique et médical aurait alors refusé. Pour rappel, Vieira, touché à une cuisse, était resté avec le groupe durant l'Euro mais n'avait pas pu jouer une seule minute. La veille du dernier match des Bleus, il avait pointé des "incohérences" dans son traitement, ce qui avait conduit au remplacement chez les Bleus du Dr Paclet par le Dr Simon.
L'histoire semblait s'arrêter là, avec le retour de "Pat", enfin guéri, chez les Bleus, récupérant au passage le brassard de capitaine. Mais le fait que Le Parisien évoque ce produit a provoqué la colère du joueur de l'Inter Milan. "Je suis énervé, ces suppositions sont très graves, a-t-il confié au journal L'Equipe. Ce n'est pas la manière dont j'ai géré mes quinze ans de carrière. On est en train de me faire un procès pour un truc que je n'ai pas pris". Mais l'encadrement des Bleus a assuré à l'AFP que Vieira n'avait pas l'intention de se dérober devant la presse vendredi.
Plus le match contre la Roumanie approche, et plus s'étend l'ombre du conseil fédéral du 15 octobre, qui doit décider du sort de Raymond Domenech. Certains joueurs essaient de faire abstraction. "Je ne pense pas que ça joue, a assuré Abidal, dans un entretien accordé à l'AFP. On est des compétiteurs, on n'est pas dans cet état d'esprit-là. Le groupe a un bon feeling avec le coach, s'ils (les journalistes) pensent qu'il ne communique pas très bien, s'ils n'apprécient pas sa manière de faire...
Le principal, c'est le groupe". Mais d'autres, comme Ribéry, sentent l'atmosphère à couper au couteau. Blessé jusqu'à peu, "Kaiser Franck" a pu observer avec recul l'ambiance autour des Bleus entre la défaite en Autriche (3-1) et la victoire contre la Serbie (2-1) : "C'était dur. De l'extérieur, j'ai senti que l'équipe a passé dix jours difficiles, j'avais des joueurs au téléphone, ça a été très dur aussi pour le coach". Et de tenter de déstresser ses partenaires qui pourraient l'être : "Certains ont peut-être peur de la pression, des médias ou du public. Il faut oser, tenter des choses, dribbler et frapper au but s'il le faut. On a de bons joueurs, il faut se faire plaisir".
Pour détendre l'ambiance, les Bleus ont d'ailleurs assisté mercredi soir à un spectacle organisé par le comédien Jamel Debbouze, ami d'enfance d'Anelka.
Mais Ben Arfa finissait la séance en se tenant le genou droit et, dans la nuit de mercredi à jeudi, Boumsong et Briand étaient appelés en renfort. Sage précaution puisque Gallas a fini par déclarer forfait jeudi pour la Roumanie en raison d'une lésion à la cuisse droite avant que Ben Arfa ne soit dispensé d'entraînement pour cause d'inflammation du genou droit. Seule bonne nouvelle pour Domenech : Anelka a retrouvé le terrain et ses coéquipiers jeudi.
Le Parisien affirmait mercredi que Vieira avait suggéré à l'encadrement des Bleus de lui prescrire un produit interdit à la vente en France, mais qui ne figure pas sur la liste des produits interdits par l'Agence mondiale antidopage (AMA). L'encadrement technique et médical aurait alors refusé. Pour rappel, Vieira, touché à une cuisse, était resté avec le groupe durant l'Euro mais n'avait pas pu jouer une seule minute. La veille du dernier match des Bleus, il avait pointé des "incohérences" dans son traitement, ce qui avait conduit au remplacement chez les Bleus du Dr Paclet par le Dr Simon.
L'histoire semblait s'arrêter là, avec le retour de "Pat", enfin guéri, chez les Bleus, récupérant au passage le brassard de capitaine. Mais le fait que Le Parisien évoque ce produit a provoqué la colère du joueur de l'Inter Milan. "Je suis énervé, ces suppositions sont très graves, a-t-il confié au journal L'Equipe. Ce n'est pas la manière dont j'ai géré mes quinze ans de carrière. On est en train de me faire un procès pour un truc que je n'ai pas pris". Mais l'encadrement des Bleus a assuré à l'AFP que Vieira n'avait pas l'intention de se dérober devant la presse vendredi.
Plus le match contre la Roumanie approche, et plus s'étend l'ombre du conseil fédéral du 15 octobre, qui doit décider du sort de Raymond Domenech. Certains joueurs essaient de faire abstraction. "Je ne pense pas que ça joue, a assuré Abidal, dans un entretien accordé à l'AFP. On est des compétiteurs, on n'est pas dans cet état d'esprit-là. Le groupe a un bon feeling avec le coach, s'ils (les journalistes) pensent qu'il ne communique pas très bien, s'ils n'apprécient pas sa manière de faire...
Le principal, c'est le groupe". Mais d'autres, comme Ribéry, sentent l'atmosphère à couper au couteau. Blessé jusqu'à peu, "Kaiser Franck" a pu observer avec recul l'ambiance autour des Bleus entre la défaite en Autriche (3-1) et la victoire contre la Serbie (2-1) : "C'était dur. De l'extérieur, j'ai senti que l'équipe a passé dix jours difficiles, j'avais des joueurs au téléphone, ça a été très dur aussi pour le coach". Et de tenter de déstresser ses partenaires qui pourraient l'être : "Certains ont peut-être peur de la pression, des médias ou du public. Il faut oser, tenter des choses, dribbler et frapper au but s'il le faut. On a de bons joueurs, il faut se faire plaisir".
Pour détendre l'ambiance, les Bleus ont d'ailleurs assisté mercredi soir à un spectacle organisé par le comédien Jamel Debbouze, ami d'enfance d'Anelka.
