Le point fort de ce Festival, organisé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, consiste à mettre l'accent sur la signification historique, sociale et civilisationnelle du brassage culturel arabo-amazigh et le rôle de la culture dans le processus de démocratisation, ont indiqué jeudi les organisateurs.
Initiée en partenariat avec l'Institut royal de la culture amazighe (Ircam), le Centre Sud-Nord pour le dialogue interculturel et la fondation BMCE, cette rencontre entre dans le cadre des efforts visant la promotion de la culture amazighe et de la culture populaire, précisent-ils lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation de la programmation de cet événement figurant parmi les manifestations célébrant 1200 ans de la fondation de la ville de Fès.
A cet égard, les organisateurs ont fait savoir qu'il s'agit d'établir des stratégies cohérentes, permettant de consolider le dialogue interculturel, la cohésion sociale et la culture démocratique.
Ce quatrième Festival, auquel a été alloué un budget de près de 1,3 millions de DH, sera aussi une occasion pour jeter la lumière sur "L'impact positif que le multiculturalisme en général et l'amazighe en particulier peuvent avoir sur la démocratie, le développement durable et la sauvegarde du patrimoine", précisent les organisateurs.
Selon eux, cet événement, qui se veut un moyen d'œuvrer à la consolidation du processus de développement, des valeurs de la paix, de dialogue et de cohésion sociale, s'assigne pour objectif principal de donner une approche globale et scientifique au rôle du multiculturalisme et de la démocratie au Maroc et ailleurs et de mettre en valeur son apport au développement.
Ce festival, auquel prennent part des intellectuels et artistes représentant l'Algérie, l'Allemagne, les Etats unis, la France, l'Italie, le Maroc, le Sultanat d'Oman et la Tunisie, se décline en deux volets principaux, l'un consacré à un colloque sur "Le brassage de la culture amazighe et arabe" et l'autre relatif à la chanson et la poésie amazighes et populaires.
L'un des principaux objectifs de ce colloque, qui rendra un hommage au recteur de l'Ircam, Ahmed Boukous, consiste à débattre des moyens qui permettraient une approche intégrée du rôle du brassage culturel dans la consolidation de la modernité et de la démocratie, une approche qui privilégie la dimension humaine et sociale.
Le colloque se propose, également, d'ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et d'autres perspectives pour passer à une autre phase du débat sur la différence qui vise à lier l'orientation politique fondée sur la différence culturelle à une politique démocratique de justice sociale.
Le colloque se veut de même une opportunité pour les experts, les chercheurs et les acteurs de la société civile de débattre des questions relatives à l'histoire, la modernité et la diversité culturelle et leur rôle dans la consolidation de la démocratie, du développement et de la cohésion sociale.
"Aperçus sur l'histoire du brassage de la culture arabo-amazighe", "Le patrimoine amazigh dans la civilisation et la culture marocaine", "Les coutumes, la religion et l'Etat", "La culture en tant que dynamique de développement", "Identités culturelles, modernité et démocratie"", "Diversité culturelle et mondialisation", "La culture arabo-amazighe et la création artistique et littéraire", "Le multiculturalisme et le multilinguisme" et "Multiculturalisme et migration" sont autant de sujets qui seront débattus lors de cette rencontre.
Outre le colloque, le Festival comprend de grandes manifestations de la chanson amazighe et populaire à travers ses aèdes, poètes et artistes chanteurs des différentes régions du Royaume et de l'étranger pour rendre hommage à un patrimoine littéraire et artistique universaliste.
Cette édition, qui comporte aussi des activités artistiques, des fantasias, des défilés d'habits amazighs, des chants et danses représentant les différentes régions, rendra un vibrant hommage à des artistes amazighs de renoms tels Mustapha Oumguil (Moyen Atlas), Fatima Tabaamrant (Souss), Mohamed Mabrouk (Rif) et le chanteur algérien Djamel Allam pour leurs grands talents et leurs apports artistiques indéniables à la chanson et à la culture populaires amazighes.
Parmi les artistes participant à ce Festival de la chanson amazighe figurent aussi Amel Tafsout (USA), Abder Oulahlou (Algérie), Saida Titrit (Maroc), Moha ou Lhoussein Achiban Amarg Fusion et Groupe Mabrouk.
A côté de la chanson et de la poésie, le Festival comprendra des expositions de livres, de produits d'artisanat, d'œuvres d'art et du tapis amazigh.
Initiée en partenariat avec l'Institut royal de la culture amazighe (Ircam), le Centre Sud-Nord pour le dialogue interculturel et la fondation BMCE, cette rencontre entre dans le cadre des efforts visant la promotion de la culture amazighe et de la culture populaire, précisent-ils lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation de la programmation de cet événement figurant parmi les manifestations célébrant 1200 ans de la fondation de la ville de Fès.
A cet égard, les organisateurs ont fait savoir qu'il s'agit d'établir des stratégies cohérentes, permettant de consolider le dialogue interculturel, la cohésion sociale et la culture démocratique.
Ce quatrième Festival, auquel a été alloué un budget de près de 1,3 millions de DH, sera aussi une occasion pour jeter la lumière sur "L'impact positif que le multiculturalisme en général et l'amazighe en particulier peuvent avoir sur la démocratie, le développement durable et la sauvegarde du patrimoine", précisent les organisateurs.
Selon eux, cet événement, qui se veut un moyen d'œuvrer à la consolidation du processus de développement, des valeurs de la paix, de dialogue et de cohésion sociale, s'assigne pour objectif principal de donner une approche globale et scientifique au rôle du multiculturalisme et de la démocratie au Maroc et ailleurs et de mettre en valeur son apport au développement.
Ce festival, auquel prennent part des intellectuels et artistes représentant l'Algérie, l'Allemagne, les Etats unis, la France, l'Italie, le Maroc, le Sultanat d'Oman et la Tunisie, se décline en deux volets principaux, l'un consacré à un colloque sur "Le brassage de la culture amazighe et arabe" et l'autre relatif à la chanson et la poésie amazighes et populaires.
L'un des principaux objectifs de ce colloque, qui rendra un hommage au recteur de l'Ircam, Ahmed Boukous, consiste à débattre des moyens qui permettraient une approche intégrée du rôle du brassage culturel dans la consolidation de la modernité et de la démocratie, une approche qui privilégie la dimension humaine et sociale.
Le colloque se propose, également, d'ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et d'autres perspectives pour passer à une autre phase du débat sur la différence qui vise à lier l'orientation politique fondée sur la différence culturelle à une politique démocratique de justice sociale.
Le colloque se veut de même une opportunité pour les experts, les chercheurs et les acteurs de la société civile de débattre des questions relatives à l'histoire, la modernité et la diversité culturelle et leur rôle dans la consolidation de la démocratie, du développement et de la cohésion sociale.
"Aperçus sur l'histoire du brassage de la culture arabo-amazighe", "Le patrimoine amazigh dans la civilisation et la culture marocaine", "Les coutumes, la religion et l'Etat", "La culture en tant que dynamique de développement", "Identités culturelles, modernité et démocratie"", "Diversité culturelle et mondialisation", "La culture arabo-amazighe et la création artistique et littéraire", "Le multiculturalisme et le multilinguisme" et "Multiculturalisme et migration" sont autant de sujets qui seront débattus lors de cette rencontre.
Outre le colloque, le Festival comprend de grandes manifestations de la chanson amazighe et populaire à travers ses aèdes, poètes et artistes chanteurs des différentes régions du Royaume et de l'étranger pour rendre hommage à un patrimoine littéraire et artistique universaliste.
Cette édition, qui comporte aussi des activités artistiques, des fantasias, des défilés d'habits amazighs, des chants et danses représentant les différentes régions, rendra un vibrant hommage à des artistes amazighs de renoms tels Mustapha Oumguil (Moyen Atlas), Fatima Tabaamrant (Souss), Mohamed Mabrouk (Rif) et le chanteur algérien Djamel Allam pour leurs grands talents et leurs apports artistiques indéniables à la chanson et à la culture populaires amazighes.
Parmi les artistes participant à ce Festival de la chanson amazighe figurent aussi Amel Tafsout (USA), Abder Oulahlou (Algérie), Saida Titrit (Maroc), Moha ou Lhoussein Achiban Amarg Fusion et Groupe Mabrouk.
A côté de la chanson et de la poésie, le Festival comprendra des expositions de livres, de produits d'artisanat, d'œuvres d'art et du tapis amazigh.
