Dirigés par les jeunes maîtres Mohamed Briouel (Fès) et Amine Akrami (Tétouan), les deux orchestres ont réussi à offrir au public des florilèges des plus beaux chants andalous, à travers les partitions des Mizanes "Bassit Al Hijaz Al Kabir" et "Abta Yahya" (Al-Hijaz Al-Machreki).
Dans une déclaration à la MAP, le musicologue marocain, Abdelfettah Benmoussa, a souligné que ces concerts ont replongé les mélomanes dans un passé lointain, celui du bonheur, des retrouvailles et de la convivialité spirituelle grâce aux philtres dont seule la musique en possède les fulgurances.
Abdelfettah Benmoussa, qui dirige également l'orchestre "Al-Baât", a mis en exergue la dimension artistique de ce festival, devenu au fil des ans une tradition ancrée dans l'esprit des mélomanes, précisant que l'organisation de ce genre de manifestations, est le fruit d'efforts déployés par diverses potentialités qui militent pour la sauvegarde et la réhabilitation de la musique "Al-Ala".
La musique andalouse, a-t-il poursuivi, est une culture du présent et une richesse pour le futur. "En dépit des changements engendrés par les moyens de communication modernes, la musique andalouse a pu conserver son identité et sa double tradition orale et écrite (manuscrits), et ce grâce aux efforts notamment de certains artistes", a-t-il fait savoir.
Abdelfettah Benmoussa est l'auteur de nombreux ouvrages dont "Al Iqaât Al Khams" (Les cinq rythmes), "Noubat Raml Al-Maya", "Noubat Isbahane" et "Noubat des poètes andalous" et "Musique andalouse Al-Alla: références et écoles".
Par ailleurs, le Festival a drainé, pendant trois jours, des milliers de mélomanes qui ont été gratifiés par des spectacles inouïs puisant leur originalité dans le patrimoine musical andalous.
Les autres formes artistiques et culturelles n'étant pas en reste, le Festival a offert une panoplie d'activités dont des projections de films et des tables-rondes.
La séance d'ouverture de ce rendez-vous artistique, initié par la commune urbaine de Fès, a été marquée par un vibrant hommage rendu aux cinéastes Larbi Bennani et Izza Gennini.
Cette édition, organisée sous le signe "Musique andalouse marocaine: dialogue d'art et de civilisations" a également connu la participation d'une centaine de musiciens représentant des orchestres de Tanger, de Tétouan, de Rabat et de Fès, ainsi que des troupes artistiques locales.
Dans une déclaration à la MAP, le musicologue marocain, Abdelfettah Benmoussa, a souligné que ces concerts ont replongé les mélomanes dans un passé lointain, celui du bonheur, des retrouvailles et de la convivialité spirituelle grâce aux philtres dont seule la musique en possède les fulgurances.
Abdelfettah Benmoussa, qui dirige également l'orchestre "Al-Baât", a mis en exergue la dimension artistique de ce festival, devenu au fil des ans une tradition ancrée dans l'esprit des mélomanes, précisant que l'organisation de ce genre de manifestations, est le fruit d'efforts déployés par diverses potentialités qui militent pour la sauvegarde et la réhabilitation de la musique "Al-Ala".
La musique andalouse, a-t-il poursuivi, est une culture du présent et une richesse pour le futur. "En dépit des changements engendrés par les moyens de communication modernes, la musique andalouse a pu conserver son identité et sa double tradition orale et écrite (manuscrits), et ce grâce aux efforts notamment de certains artistes", a-t-il fait savoir.
Abdelfettah Benmoussa est l'auteur de nombreux ouvrages dont "Al Iqaât Al Khams" (Les cinq rythmes), "Noubat Raml Al-Maya", "Noubat Isbahane" et "Noubat des poètes andalous" et "Musique andalouse Al-Alla: références et écoles".
Par ailleurs, le Festival a drainé, pendant trois jours, des milliers de mélomanes qui ont été gratifiés par des spectacles inouïs puisant leur originalité dans le patrimoine musical andalous.
Les autres formes artistiques et culturelles n'étant pas en reste, le Festival a offert une panoplie d'activités dont des projections de films et des tables-rondes.
La séance d'ouverture de ce rendez-vous artistique, initié par la commune urbaine de Fès, a été marquée par un vibrant hommage rendu aux cinéastes Larbi Bennani et Izza Gennini.
Cette édition, organisée sous le signe "Musique andalouse marocaine: dialogue d'art et de civilisations" a également connu la participation d'une centaine de musiciens représentant des orchestres de Tanger, de Tétouan, de Rabat et de Fès, ainsi que des troupes artistiques locales.
