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A son arrivée à la résidence, SAR la Princesse Lalla Meryem a été accueillie par l'ambassadeur Thomas Riley et son épouse.
Son Altesse Royale a suivi, par la suite, la présentation des activités de cette fondation créée en 2000 par d'anciens volontaires du Corps de la Paix afin de mettre les relations et l'expérience acquises pendant leurs années de service au Maroc au profit des communautés marocaines défavorisées.
Les responsables de la fondation ont, à cette occasion, annoncé officiellement les trois derniers projets de partenariat conclus respectivement avec la faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Mohammedia (Université Hassan II), le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte contre la désertification (HCEFLD) et l'Office chérifien des phosphates (OCP).
Le premier partenariat prévoit la mise en place, à partir de fin novembre, d'un centre de médiation communautaire et de développement durable au sein de l'institution universitaire de Mohammedia. La mission du centre est de promouvoir la participation des populations locales dans la planification et l'exécution de projets socio-économiques et environnementaux et de développer les pratiques du concept de développement durable.
Ces objectifs seront atteints à travers l'organisation au profit d'étudiants, d'enseignants et d'associations d'ateliers et de sessions de formation basées sur une approche participative, ainsi que par le biais de recherches académiques menées aussi bien au Maroc qu'à l'étranger.
"La formation dispensée servira ainsi de catalyseur à de nouveaux projets de développement au profit des populations démunies", a affirmé le vice-président de l'Université Hassan II, Nabil Benchekroun.
Le 2-ème accord de partenariat vise à promouvoir le développement et mettre en place des projets participatifs durables avec les communautés voisines des parcs et réserves naturelles. Un aspect innovant de ce partenariat est l'engagement du HCEFLD à mettre des pépinières communautaires, à la disposition des populations limitrophes des aires protégées.
Pour Mohamed Berri, responsable au sein du HCEFLD, les projets réalisés dans le cadre de ce partenariat, contribueront à aider à la "réalisation du potentiel du Royaume en matière de culture d'arbres fruitiers".
Présentant le 3e projet, Said Mouline, conseiller à l'OCP, a souligné que ce partenariat avec la fondation du Haut Atlas, vise à promouvoir le développement rural économique et social dans la région de Ben-Guerir, tout en renforçant l'environnement local.
Pour ce projet pilote, la fondation contribuera à faciliter les rencontres avec les populations rurales des villages et les soutiendra dans la mise en place de projets de développement durables. Ce dernier accord est le premier du genre conclu par la fondation avec le secteur privé marocain.
Intervenant pour sa part, M. Riley a salué les réalisations de cette fondation qui depuis sa création ne ménage aucun effort pour promouvoir les projets de proximité au profit des populations rurales.
Il a de même réitéré le soutien de l'ambassade à ce genre d'initiatives qui aident les communautés locales à définir elles-mêmes leurs objectifs socio-économiques et environnementaux.
Le président de HAF, Yossef Ben-Meir, un ancien volontaire du corps de la paix (1993-1995), professeur à l'université du Nouveau Mexique (USA), a passé en revue les projets initiés par la fondation, notamment dans les domaines de la plantation d'arbres fruitiers, d'eau potable, de l'irrigation et des coopératives féminines.
A ce propos, il a indiqué que depuis 1995, quelque 150.000 arbres fruitiers ont été plantés dans la région de l'Atlas, grâce à la fondation qui compte à terme atteindre un million de plants.
"Nous sommes très touchés par la confiance et l'enthousiasme dont font preuve, nos plus récents partenaires à notre égard", a-t-il ajouté appelant d'autres partenaires à venir "enrichir par leurs idées et leur soutien la fondation".
La HAF qui est dirigée aujourd'hui par une équipe de professionnels américains et marocains tous dotés d'une grande expérience en matière de développement international, se base sur une approche participative, pour mettre en place, dans différentes régions du Maroc, des projets de développement conçus et gérés par les communautés locales, en partenariat avec des organismes gouvernementaux et non gouvernementaux.
Plusieurs personnalités marocaines et américaines ont pris part à cette réception, dont le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay, qui est membre du Conseil consultatif de la Fondation du Haut Atlas.
Son Altesse Royale a suivi, par la suite, la présentation des activités de cette fondation créée en 2000 par d'anciens volontaires du Corps de la Paix afin de mettre les relations et l'expérience acquises pendant leurs années de service au Maroc au profit des communautés marocaines défavorisées.
Les responsables de la fondation ont, à cette occasion, annoncé officiellement les trois derniers projets de partenariat conclus respectivement avec la faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Mohammedia (Université Hassan II), le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte contre la désertification (HCEFLD) et l'Office chérifien des phosphates (OCP).
Le premier partenariat prévoit la mise en place, à partir de fin novembre, d'un centre de médiation communautaire et de développement durable au sein de l'institution universitaire de Mohammedia. La mission du centre est de promouvoir la participation des populations locales dans la planification et l'exécution de projets socio-économiques et environnementaux et de développer les pratiques du concept de développement durable.
Ces objectifs seront atteints à travers l'organisation au profit d'étudiants, d'enseignants et d'associations d'ateliers et de sessions de formation basées sur une approche participative, ainsi que par le biais de recherches académiques menées aussi bien au Maroc qu'à l'étranger.
"La formation dispensée servira ainsi de catalyseur à de nouveaux projets de développement au profit des populations démunies", a affirmé le vice-président de l'Université Hassan II, Nabil Benchekroun.
Le 2-ème accord de partenariat vise à promouvoir le développement et mettre en place des projets participatifs durables avec les communautés voisines des parcs et réserves naturelles. Un aspect innovant de ce partenariat est l'engagement du HCEFLD à mettre des pépinières communautaires, à la disposition des populations limitrophes des aires protégées.
Pour Mohamed Berri, responsable au sein du HCEFLD, les projets réalisés dans le cadre de ce partenariat, contribueront à aider à la "réalisation du potentiel du Royaume en matière de culture d'arbres fruitiers".
Présentant le 3e projet, Said Mouline, conseiller à l'OCP, a souligné que ce partenariat avec la fondation du Haut Atlas, vise à promouvoir le développement rural économique et social dans la région de Ben-Guerir, tout en renforçant l'environnement local.
Pour ce projet pilote, la fondation contribuera à faciliter les rencontres avec les populations rurales des villages et les soutiendra dans la mise en place de projets de développement durables. Ce dernier accord est le premier du genre conclu par la fondation avec le secteur privé marocain.
Intervenant pour sa part, M. Riley a salué les réalisations de cette fondation qui depuis sa création ne ménage aucun effort pour promouvoir les projets de proximité au profit des populations rurales.
Il a de même réitéré le soutien de l'ambassade à ce genre d'initiatives qui aident les communautés locales à définir elles-mêmes leurs objectifs socio-économiques et environnementaux.
Le président de HAF, Yossef Ben-Meir, un ancien volontaire du corps de la paix (1993-1995), professeur à l'université du Nouveau Mexique (USA), a passé en revue les projets initiés par la fondation, notamment dans les domaines de la plantation d'arbres fruitiers, d'eau potable, de l'irrigation et des coopératives féminines.
A ce propos, il a indiqué que depuis 1995, quelque 150.000 arbres fruitiers ont été plantés dans la région de l'Atlas, grâce à la fondation qui compte à terme atteindre un million de plants.
"Nous sommes très touchés par la confiance et l'enthousiasme dont font preuve, nos plus récents partenaires à notre égard", a-t-il ajouté appelant d'autres partenaires à venir "enrichir par leurs idées et leur soutien la fondation".
La HAF qui est dirigée aujourd'hui par une équipe de professionnels américains et marocains tous dotés d'une grande expérience en matière de développement international, se base sur une approche participative, pour mettre en place, dans différentes régions du Maroc, des projets de développement conçus et gérés par les communautés locales, en partenariat avec des organismes gouvernementaux et non gouvernementaux.
Plusieurs personnalités marocaines et américaines ont pris part à cette réception, dont le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay, qui est membre du Conseil consultatif de la Fondation du Haut Atlas.
