Malia et Sasha, âgées de 10 ans et 7 ans, étaient attendues dans l'après-midi avec Michelle, leur mère, et leur grand-mère maternelle Marian Robinson qui pourrait emménager avec elles, a dit la porte-parole de Laura Bush, Sally McDonough.
C'est Mme Bush qui a invité Mme Obama à revenir à la Maison Blanche quand les deux enfants seraient disponibles, après sa première visite le 10 novembre, a dit Mme McDonough.
La porte-parole de Mme Bush s'est gardée d'en dire davantage, probablement par souci de préserver Malia et Sasha, une préoccupation constamment affirmée par les Obama à l'évocation de leur vie future.
Mais les deux enfants ne devraient pas manquer de visiter ce qui deviendra leur chambres, dont il avait été beaucoup question quand le couple Obama avait effectué une première reconnaissance de ses futurs quartiers personnels.
L'une des premières choses que M. Obama avait voulu voir après son entretien politique avec le président sortant, c'étaient les chambres des petites, avait révélé M. Bush.
Dans un entretien accordé à la chaîne CBS, Mme Obama envisageait l'emménagement à la Maison Blanche comme la chance de réunir toute la famille après les séparations de la campagne.
"Nous allons nous retrouver ensemble sous le même toit, dîner ensemble. Je vois d'ici les petites rentrer de l'école et courir jusqu'au Bureau ovale, aller voir leur père avant de commencer leurs devoirs. Prendre le petit-déjeuner. Et il sera là pour les border le soir", a-t-elle dit.
Malia relevait elle-même que son père ne faisait plus tout cela.
Mme Obama a signifié maintes fois qu'elle penserait au bien-être de ses filles bien avant d'envisager de jouer un rôle politique à la Maison Blanche.
"La priorité la première année sera de veiller à ce que la transition se passe bien pour les petites", a-t-elle dit.
"Michelle et moi avons beaucoup parlé de cela", a confirmé M. Obama, "comment préserver cette précieuse normalité chez nos deux petites filles ?"
"Et je pense que l'une de nos plus hautes priorités pour les quatre prochaines années, c'est de sauvegarder cela. Si, au bout de quatre ans, d'un point de vue personnel nous pouvons dire: elles sont qui elles sont, elles restent les grands motifs de joie qu'elles sont aujourd'hui (...) je pense que nous nous sentirons vraiment bien", a-t-il dit.
La grand-mère de Malia et Sasha pourrait s'installer à la Maison Blanche.
Selon M. Obama, Marian Robinson est "l'un des héros anonymes de cette campagne. Nous n'y serions pas arrivés sans elle. Elle a pris sa retraite, elle s'est occupée des filles, elle a rassuré Michelle qui savait que quelqu'un serait là quand elle-même voyagerait".
Mme Robinson "n'aime pas beaucoup le remue-ménage autour d'elle. Et, que vous le vouliez ou non, du remue-ménage, il y en a à la Maison Blanche. Mais nous espérons qu'elle va venir", a-t-il dit.
Pour Malia et Sasha se posent encore deux questions: celles de l'école, après Chicago, et celle du chien.
Michelle Obama a commencé à prospecter les établissements scolaires à Washington et semblait pencher en faveur d'une école privée.
Quant au choix du chien que M. Obama a promis à ses filles, il est l'objet aux Etats-Unis d'un intérêt peut-être aussi considérable, sinon plus, que celui d'un ministre.
"En tant que maîtres responsables, je ne pense pas qu'il serait bon de prendre un chien, en pleine transition. Alors, quand nous serons installés, que nous aurons pris nos petites habitudes -disons à la toute fin de l'hiver ou au début du printemps- nous prendrons le chien", a assuré Michelle Obama.
C'est Mme Bush qui a invité Mme Obama à revenir à la Maison Blanche quand les deux enfants seraient disponibles, après sa première visite le 10 novembre, a dit Mme McDonough.
La porte-parole de Mme Bush s'est gardée d'en dire davantage, probablement par souci de préserver Malia et Sasha, une préoccupation constamment affirmée par les Obama à l'évocation de leur vie future.
Mais les deux enfants ne devraient pas manquer de visiter ce qui deviendra leur chambres, dont il avait été beaucoup question quand le couple Obama avait effectué une première reconnaissance de ses futurs quartiers personnels.
L'une des premières choses que M. Obama avait voulu voir après son entretien politique avec le président sortant, c'étaient les chambres des petites, avait révélé M. Bush.
Dans un entretien accordé à la chaîne CBS, Mme Obama envisageait l'emménagement à la Maison Blanche comme la chance de réunir toute la famille après les séparations de la campagne.
"Nous allons nous retrouver ensemble sous le même toit, dîner ensemble. Je vois d'ici les petites rentrer de l'école et courir jusqu'au Bureau ovale, aller voir leur père avant de commencer leurs devoirs. Prendre le petit-déjeuner. Et il sera là pour les border le soir", a-t-elle dit.
Malia relevait elle-même que son père ne faisait plus tout cela.
Mme Obama a signifié maintes fois qu'elle penserait au bien-être de ses filles bien avant d'envisager de jouer un rôle politique à la Maison Blanche.
"La priorité la première année sera de veiller à ce que la transition se passe bien pour les petites", a-t-elle dit.
"Michelle et moi avons beaucoup parlé de cela", a confirmé M. Obama, "comment préserver cette précieuse normalité chez nos deux petites filles ?"
"Et je pense que l'une de nos plus hautes priorités pour les quatre prochaines années, c'est de sauvegarder cela. Si, au bout de quatre ans, d'un point de vue personnel nous pouvons dire: elles sont qui elles sont, elles restent les grands motifs de joie qu'elles sont aujourd'hui (...) je pense que nous nous sentirons vraiment bien", a-t-il dit.
La grand-mère de Malia et Sasha pourrait s'installer à la Maison Blanche.
Selon M. Obama, Marian Robinson est "l'un des héros anonymes de cette campagne. Nous n'y serions pas arrivés sans elle. Elle a pris sa retraite, elle s'est occupée des filles, elle a rassuré Michelle qui savait que quelqu'un serait là quand elle-même voyagerait".
Mme Robinson "n'aime pas beaucoup le remue-ménage autour d'elle. Et, que vous le vouliez ou non, du remue-ménage, il y en a à la Maison Blanche. Mais nous espérons qu'elle va venir", a-t-il dit.
Pour Malia et Sasha se posent encore deux questions: celles de l'école, après Chicago, et celle du chien.
Michelle Obama a commencé à prospecter les établissements scolaires à Washington et semblait pencher en faveur d'une école privée.
Quant au choix du chien que M. Obama a promis à ses filles, il est l'objet aux Etats-Unis d'un intérêt peut-être aussi considérable, sinon plus, que celui d'un ministre.
"En tant que maîtres responsables, je ne pense pas qu'il serait bon de prendre un chien, en pleine transition. Alors, quand nous serons installés, que nous aurons pris nos petites habitudes -disons à la toute fin de l'hiver ou au début du printemps- nous prendrons le chien", a assuré Michelle Obama.
