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"Cette oeuvre se fait sur une base solidaire, elle bénéficiera à nos deux pays parce que les affaires se font ainsi quand chacune des parties obtient un bénéfice, sinon, il s'agit d'exploitation", a déclaré Mme Kirchner, aux côtés de son homologue bolivien, à l'occasion d'une cérémonie officielle.
Le gazoduc, d'une longueur prévue de 1.465 km, fournira du gaz bolivien aux provinces du nord-est de l'Argentine, et exigera un investissement total de 1,8 milliard de dollars. Son inauguration est prévue à l'horizon 2010.
La fourniture de gaz bolivien est fondamentale pour l'Argentine, qui connaît une pénurie énergétique, mais aussi pour le Brésil voisin, et notamment la région de Sao Paulo.
L'Argentine espère recevoir au moins 7,7 millions de m3 de gaz par jour, selon l'accord conclu en 2006 entre M. Morales et le président argentin alors en fonctions, Nestor Kirchner, époux de l'actuelle présidente.
Mais le doute persiste sur la capacité de la Bolivie à honorer ces engagements, en dépit de l'optimisme affiché par le gouvernement argentin.
"En ce moment, la Bolivie bat des records de production de gaz", a assuré le ministre argentin de la Planification Julio de Video. "Jamais auparavant, la Bolivie n'avait enregistré un tel niveau d'investissement public et privé", a assuré de son côté la présidente argentine.
Le président Morales a promis sur ce point que l'année 2008 serait l'année des investissements après la nationalisation du secteur des hydrocarbures en 2006 et sa consolidation en 2007.
La Bolivie devrait pourtant avoir en 2008 des difficultés à dépasser son plafond de production de 42 millones de m3/jour qui sont prioritaires pour le marché brésilien dont les besoins sont 31 m3/jour. La Bolivie a de son côté besoin de 6 m3/jour pour son marché intérieur, le solde revenant en principe à l'Argentine, conformément à l'accord de 2006.
"Pour ne pas avoir de problème cette année, il est important que la Bolivie en tant que pays fournisseur et le Brésil et l'Argentine, en tant que pays consommateurs, puissions réguler les envois de gaz dans le cas d'une demande plus forte", a récemment expliqué le ministre bolivien des Hydrocarbures, Carlos Villegas.
Le gazoduc, d'une longueur prévue de 1.465 km, fournira du gaz bolivien aux provinces du nord-est de l'Argentine, et exigera un investissement total de 1,8 milliard de dollars. Son inauguration est prévue à l'horizon 2010.
La fourniture de gaz bolivien est fondamentale pour l'Argentine, qui connaît une pénurie énergétique, mais aussi pour le Brésil voisin, et notamment la région de Sao Paulo.
L'Argentine espère recevoir au moins 7,7 millions de m3 de gaz par jour, selon l'accord conclu en 2006 entre M. Morales et le président argentin alors en fonctions, Nestor Kirchner, époux de l'actuelle présidente.
Mais le doute persiste sur la capacité de la Bolivie à honorer ces engagements, en dépit de l'optimisme affiché par le gouvernement argentin.
"En ce moment, la Bolivie bat des records de production de gaz", a assuré le ministre argentin de la Planification Julio de Video. "Jamais auparavant, la Bolivie n'avait enregistré un tel niveau d'investissement public et privé", a assuré de son côté la présidente argentine.
Le président Morales a promis sur ce point que l'année 2008 serait l'année des investissements après la nationalisation du secteur des hydrocarbures en 2006 et sa consolidation en 2007.
La Bolivie devrait pourtant avoir en 2008 des difficultés à dépasser son plafond de production de 42 millones de m3/jour qui sont prioritaires pour le marché brésilien dont les besoins sont 31 m3/jour. La Bolivie a de son côté besoin de 6 m3/jour pour son marché intérieur, le solde revenant en principe à l'Argentine, conformément à l'accord de 2006.
"Pour ne pas avoir de problème cette année, il est important que la Bolivie en tant que pays fournisseur et le Brésil et l'Argentine, en tant que pays consommateurs, puissions réguler les envois de gaz dans le cas d'une demande plus forte", a récemment expliqué le ministre bolivien des Hydrocarbures, Carlos Villegas.
