L'athlète américaine Marion Jones, qui avait gagné cinq médailles aux Jeux de Sydney sans être contrôlée positive, avait admis en octobre 2007 avoir pris des substances interdites pour améliorer ses performances lors des JO-2000.
"Aujourd'hui, le message envoyé par les acteurs de la lutte antidopage est très fort", a déclaré Jeannet à Pékin, ville où il vit désormais. "Même si vous êtes Marion Jones, vous ne vous en tirerez pas."
Le directeur de l'Agence mondiale antidopage (AMA), Dick Pound, avait annoncé que les Jeux de Pékin seraient les plus propres jamais organisés.
Cela ne sera vrai que si le nombre de contrôles antidopage positifs est plus élevé que lors des précédents JO, a souligné Jeannet, qui a participé aux Jeux Olympiques d'Atlanta en 1996 et de Sydney.
"Plus il y aura de contrôles positifs, plus nous aurons la preuve que le système antidopage mis en place est efficace", a-t-il fait remarquer.
Lors des JO de Moscou en 1980, un seul contrôle s'était révélé positif, alors que le dopage était alors institutionnalisé dans certains pays, contre 24 lors des Jeux d'Athènes en 2004, un an après l'entrée en vigueur du code de l'AMA.
"C'est une preuve forte que les contrôles sont plus efficaces aujourd'hui", a jugé Jeannet.
Le centre antidopage de Pékin, qui figure parmi les 33 reconnus par l'AMA, va conduire des tests sur près de la moitié des 11.000 athlètes qui participeront aux JO-2008, ce qui représente de 230 à 240 contrôles par jour, soit 25% de plus qu'à Athènes et le double de ceux effectués à Sydney.
"C'est un minimum, cela pourrait être plus", a relevé Jeannet.
La Chine a adopté une "tolérance zéro" pour lutter contre le dopage, selon son ministère des Sports, qui a promis de contrôles tous les athlètes avant le début des Jeux.
L'an dernier, 15 athlètes sur 10.238 ont été contrôlés positifs en Chine, soit le résultat le plus faible depuis l'instauration des tests en 1990.
"Aujourd'hui, le message envoyé par les acteurs de la lutte antidopage est très fort", a déclaré Jeannet à Pékin, ville où il vit désormais. "Même si vous êtes Marion Jones, vous ne vous en tirerez pas."
Le directeur de l'Agence mondiale antidopage (AMA), Dick Pound, avait annoncé que les Jeux de Pékin seraient les plus propres jamais organisés.
Cela ne sera vrai que si le nombre de contrôles antidopage positifs est plus élevé que lors des précédents JO, a souligné Jeannet, qui a participé aux Jeux Olympiques d'Atlanta en 1996 et de Sydney.
"Plus il y aura de contrôles positifs, plus nous aurons la preuve que le système antidopage mis en place est efficace", a-t-il fait remarquer.
Lors des JO de Moscou en 1980, un seul contrôle s'était révélé positif, alors que le dopage était alors institutionnalisé dans certains pays, contre 24 lors des Jeux d'Athènes en 2004, un an après l'entrée en vigueur du code de l'AMA.
"C'est une preuve forte que les contrôles sont plus efficaces aujourd'hui", a jugé Jeannet.
Le centre antidopage de Pékin, qui figure parmi les 33 reconnus par l'AMA, va conduire des tests sur près de la moitié des 11.000 athlètes qui participeront aux JO-2008, ce qui représente de 230 à 240 contrôles par jour, soit 25% de plus qu'à Athènes et le double de ceux effectués à Sydney.
"C'est un minimum, cela pourrait être plus", a relevé Jeannet.
La Chine a adopté une "tolérance zéro" pour lutter contre le dopage, selon son ministère des Sports, qui a promis de contrôles tous les athlètes avant le début des Jeux.
L'an dernier, 15 athlètes sur 10.238 ont été contrôlés positifs en Chine, soit le résultat le plus faible depuis l'instauration des tests en 1990.
