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Un public nombreux et connaisseur, avant l'entrée sur scène de Mohamed Abdou, a rendu un hommage posthume à la mémoire de Hicham Belkas du groupe marocain "Fnaïre", décédé des suites d'un tragique accident de la route survenu dans l'après-midi à Fès.
La soirée a été ainsi agrémentée par la brillante prestation du grand artiste saoudien accompagné de l'orchestre marocain Abderrahim Mountassir. La star saoudienne a ainsi chanté avec brio une dizaine de chansons de son répertoire dont "Al Amakin", ainsi que des chants sacrés dont des paroles nobles et recherchées célèbrant la tolérance, l'amour et les sentiments purs.
Des chansons comme "Chabih Rih", "Ma Ad Badro", "Al-Maâzim", "Allah Aliha", "Lana Allah", "Moustajib Lidai", "Ard Al-Maghreb" (Terre du Maroc) ont offert au public un compromis intelligent entre le sentimental et le soufi.
Mohamed Abdou qui se produira également ce lundi à la place Boujloud, dans le cadre des activités du Festival dans de la ville, est né en 1949 à Derb au Sud-Ouest de l'Arabie Saoudite.
Cet homme de talent chantait déjà des airs mélancoliques alors qu'il était encore enfant, peut-être en raison des difficultés rencontrées à l'orphelinat où il a vécu pendant de nombreuses années. Après une participation dans un programme de télévision amateur saoudien au début des années soixante, son talent fut découvert par le compositeur Omar Kadrass qui lui proposa son parrainage.
Admiré par le public saoudien et du Golfe dans les années 70, il poursuivit son voyage artistique au-delà des frontières en coopérant avec de nombreux poètes et compositeurs du monde Arabe. Il devint ainsi l'un des meilleurs chanteurs arabes de notre époque et fut couronné de nombreux prix.
Mohamed Abdou était ainsi parmi les stars arabes qui se sont distinguées lors de cette 14-ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, aux côtés des Libanaises Majda Roumi et Ghada Choubaîr, ainsi que du Tunisien, Fadel Jaziri et du Marocain Abdlouhab Doukkali.
S'inscrivant depuis 14 ans dans une mission universelle de paix et de rapprochement entre les peuples, le Festival, organisé par la Fondation Esprit de Fès, a mis en place une programmation aussi riche que variée comprenant entre autres, Jessye Norman Soprano (Etats-Unis), Belen Maya (Espagne) Cantus Colln (Allemagne), Marie Boine (Norvège), Huong Thanh (Viêt-Nam) et Madhup Mudgal (Inde).
Le Festival de Fès qui a soufflé cette année sa 14e bougie a été classé par les Nations unis parmi les dix premiers institutions dans le monde qui servent la "Paix". Fort de son rayonnement et de sa vocation, le Festival a réussi à créer des passerelles entre cultures et religions et à véhiculer des valeurs de paix, de coexistence, de tolérance et d'amour.
La soirée a été ainsi agrémentée par la brillante prestation du grand artiste saoudien accompagné de l'orchestre marocain Abderrahim Mountassir. La star saoudienne a ainsi chanté avec brio une dizaine de chansons de son répertoire dont "Al Amakin", ainsi que des chants sacrés dont des paroles nobles et recherchées célèbrant la tolérance, l'amour et les sentiments purs.
Des chansons comme "Chabih Rih", "Ma Ad Badro", "Al-Maâzim", "Allah Aliha", "Lana Allah", "Moustajib Lidai", "Ard Al-Maghreb" (Terre du Maroc) ont offert au public un compromis intelligent entre le sentimental et le soufi.
Mohamed Abdou qui se produira également ce lundi à la place Boujloud, dans le cadre des activités du Festival dans de la ville, est né en 1949 à Derb au Sud-Ouest de l'Arabie Saoudite.
Cet homme de talent chantait déjà des airs mélancoliques alors qu'il était encore enfant, peut-être en raison des difficultés rencontrées à l'orphelinat où il a vécu pendant de nombreuses années. Après une participation dans un programme de télévision amateur saoudien au début des années soixante, son talent fut découvert par le compositeur Omar Kadrass qui lui proposa son parrainage.
Admiré par le public saoudien et du Golfe dans les années 70, il poursuivit son voyage artistique au-delà des frontières en coopérant avec de nombreux poètes et compositeurs du monde Arabe. Il devint ainsi l'un des meilleurs chanteurs arabes de notre époque et fut couronné de nombreux prix.
Mohamed Abdou était ainsi parmi les stars arabes qui se sont distinguées lors de cette 14-ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, aux côtés des Libanaises Majda Roumi et Ghada Choubaîr, ainsi que du Tunisien, Fadel Jaziri et du Marocain Abdlouhab Doukkali.
S'inscrivant depuis 14 ans dans une mission universelle de paix et de rapprochement entre les peuples, le Festival, organisé par la Fondation Esprit de Fès, a mis en place une programmation aussi riche que variée comprenant entre autres, Jessye Norman Soprano (Etats-Unis), Belen Maya (Espagne) Cantus Colln (Allemagne), Marie Boine (Norvège), Huong Thanh (Viêt-Nam) et Madhup Mudgal (Inde).
Le Festival de Fès qui a soufflé cette année sa 14e bougie a été classé par les Nations unis parmi les dix premiers institutions dans le monde qui servent la "Paix". Fort de son rayonnement et de sa vocation, le Festival a réussi à créer des passerelles entre cultures et religions et à véhiculer des valeurs de paix, de coexistence, de tolérance et d'amour.
