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Intervenant à cette occasion, Abdeljalil Temimi, président de la Fondation Temimi pour la recherche scientifique et l'information (FTRSI), initiatrice de ce colloque en collaboration avec la Fondation allemande Konrad Adenauer, a déploré que les pays du Maghreb tardent à mettre sur les rails l'Union du Maghreb arabe (UMA) dans une conjoncture marquée par la mondialisation, les groupements régionaux et internationaux "qui ne reconnaissent plus les frontières ou les nations ‘naines'".
Pour sa part, Hadi Bakouch, ancien Premier ministre tunisien a donné un aperçu de la situation actuelle dans la région, soulignant les obstacles qui ont entravé le processus de l'union maghrébine escomptée par l'ensemble des peuples de la région qui y voyaient, après l'indépendance, un gage de sécurité, de stabilité et de développement.
La situation actuelle est encourageante et meilleure que celle qui prévalait, en 1995, l'UMA étant à l'époque "figée et agonisante", a-t-il estimé.
L'ancien chef du gouvernement tunisien a, aussi, constaté que l'édification de l'UMA n'est plus seulement une revendication maghrébine mais une exigence des groupements régionaux importants, telle l'Union européenne, qui insistent sur la nécessité d'édifier l'UMA sur des bases solides, en tant que facteur déterminant pour le développement de cet espace.
Dans une allocution lue en son nom, le représentant permanent de la Fondation allemande Konrad Adenauer à Tunis a estimé que la capacité des pays de la région de relever les défis est tributaire de leur union et de leur intégration, notant que la réalisation de l'union maghrébine est devenue une nécessité et un choix stratégique.
Au programme du colloque de trois jours, figurent plusieurs exposés, notamment sur "La capacité du Maghreb à faire face aux défis du XXIe siècle", "La situation du Maghreb dans un monde en mutation", "Le coût de l'inexistence du Maghreb", "Le rôle du mouvement syndical dans l'édification du Maghreb".
Le programme prévoit, en outre, une table ronde axée sur "L'espace maghrébin : les nouvelles visions et les perspectives".
Le Maroc est représenté à ces travaux notamment par le Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, Mustapha El Ktiri, le secrétaire général de l'Union des économistes du Maghreb arabe, Zaki Moubarak et les universitaires Yahya El Yahyaoui, Nezha Belkhayat, Mohamed Malki et Mohamed Amine et Saïd Saddiki.
Pour sa part, Hadi Bakouch, ancien Premier ministre tunisien a donné un aperçu de la situation actuelle dans la région, soulignant les obstacles qui ont entravé le processus de l'union maghrébine escomptée par l'ensemble des peuples de la région qui y voyaient, après l'indépendance, un gage de sécurité, de stabilité et de développement.
La situation actuelle est encourageante et meilleure que celle qui prévalait, en 1995, l'UMA étant à l'époque "figée et agonisante", a-t-il estimé.
L'ancien chef du gouvernement tunisien a, aussi, constaté que l'édification de l'UMA n'est plus seulement une revendication maghrébine mais une exigence des groupements régionaux importants, telle l'Union européenne, qui insistent sur la nécessité d'édifier l'UMA sur des bases solides, en tant que facteur déterminant pour le développement de cet espace.
Dans une allocution lue en son nom, le représentant permanent de la Fondation allemande Konrad Adenauer à Tunis a estimé que la capacité des pays de la région de relever les défis est tributaire de leur union et de leur intégration, notant que la réalisation de l'union maghrébine est devenue une nécessité et un choix stratégique.
Au programme du colloque de trois jours, figurent plusieurs exposés, notamment sur "La capacité du Maghreb à faire face aux défis du XXIe siècle", "La situation du Maghreb dans un monde en mutation", "Le coût de l'inexistence du Maghreb", "Le rôle du mouvement syndical dans l'édification du Maghreb".
Le programme prévoit, en outre, une table ronde axée sur "L'espace maghrébin : les nouvelles visions et les perspectives".
Le Maroc est représenté à ces travaux notamment par le Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, Mustapha El Ktiri, le secrétaire général de l'Union des économistes du Maghreb arabe, Zaki Moubarak et les universitaires Yahya El Yahyaoui, Nezha Belkhayat, Mohamed Malki et Mohamed Amine et Saïd Saddiki.
