Connexion
Le pape doit passer six jours à Washington et New York, où il doit prononcer un discours devant l'Onu vendredi.
La porte-parole de la Maison Blanche Dana Perino a qualifié cette visite d'"historique", de "merveilleuse". Elle a assuré que la cérémonie d'accueil du pape serait "l'une des plus grandes jamais tenues à la Maison Blanche".
Le jour de ses 81 ans, entre 9.000 et 12.000 invités triés sur le volet sont attendus sur la pelouse de la résidence présidentielle où le souverain pontife sera accueilli par une salve de 21 coups de canons.
Dans le Bureau ovale, les deux hommes devraient avoir un entretien prolongé sur les droits de l'Homme, les libertés religieuses, l'immigration, la lutte contre le terrorisme et les extrémismes en particulier au Proche-Orient, a indiqué la porte-parole de la Maison Blanche.
L'aide à l'Afrique et la situation au Liban, où vit une importante communauté chrétienne, devraient aussi être à l'ordre du jour.
Les différends sur l'Irak, alors que le Vatican a été très critique sur la guerre en Irak, devraient être mis de côté.
Sur les agissements des prêtres pédophiles, le souverain pontife a condamné, avant même d'atterrir aux Etats-Unis mardi, ce scandale qui déchire l'Eglise américaine. Il devrait revenir sur ce scandale lors de son homélie à la Cathédrale Saint-Patrick de New York samedi.
Le pape est arrivé mardi sur la base aérienne d'Andrews près de Washington, où le président Bush est venu en personne l'accueillir à sa descente d'avion. Ce geste, événement unique dans l'histoire de la présidence américaine, se voulait le symbole de l'importance accordée par M. Bush -un protestant- au chef de l'Eglise catholique.
Les Etats-Unis comptent 70 millions de catholiques, un quart de la population. Benoît XVI est le 2e pape à se rendre à la Maison Blanche, depuis Jean-Paul II reçu par Jimmy Carter en 1979, et sa visite est la 9e d'un pape aux Etats-Unis.
La porte-parole de la Maison Blanche Dana Perino a qualifié cette visite d'"historique", de "merveilleuse". Elle a assuré que la cérémonie d'accueil du pape serait "l'une des plus grandes jamais tenues à la Maison Blanche".
Le jour de ses 81 ans, entre 9.000 et 12.000 invités triés sur le volet sont attendus sur la pelouse de la résidence présidentielle où le souverain pontife sera accueilli par une salve de 21 coups de canons.
Dans le Bureau ovale, les deux hommes devraient avoir un entretien prolongé sur les droits de l'Homme, les libertés religieuses, l'immigration, la lutte contre le terrorisme et les extrémismes en particulier au Proche-Orient, a indiqué la porte-parole de la Maison Blanche.
L'aide à l'Afrique et la situation au Liban, où vit une importante communauté chrétienne, devraient aussi être à l'ordre du jour.
Les différends sur l'Irak, alors que le Vatican a été très critique sur la guerre en Irak, devraient être mis de côté.
Sur les agissements des prêtres pédophiles, le souverain pontife a condamné, avant même d'atterrir aux Etats-Unis mardi, ce scandale qui déchire l'Eglise américaine. Il devrait revenir sur ce scandale lors de son homélie à la Cathédrale Saint-Patrick de New York samedi.
Le pape est arrivé mardi sur la base aérienne d'Andrews près de Washington, où le président Bush est venu en personne l'accueillir à sa descente d'avion. Ce geste, événement unique dans l'histoire de la présidence américaine, se voulait le symbole de l'importance accordée par M. Bush -un protestant- au chef de l'Eglise catholique.
Les Etats-Unis comptent 70 millions de catholiques, un quart de la population. Benoît XVI est le 2e pape à se rendre à la Maison Blanche, depuis Jean-Paul II reçu par Jimmy Carter en 1979, et sa visite est la 9e d'un pape aux Etats-Unis.
