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Le Maroc fut entré dans l'histoire des Jeux Olympiques grâce à la médaille d'argent de Radi, arrivé derrière la vedette kenyane Abebe Bikila, alors que tout le monde s'interrogeait à l'époque sur la nationalité de cet athlète qui monta sur la deuxième marche du podium.
Gharib, 36 ans, qui a honoré son pays en lui offrant sa deuxième médaille au marathon dans l'histoire des olympiades, a concrétisé à Pékin le rêve qu'il a longtemps caressé après son premier sacre mondial à Paris.
Fort du deuxième temps national au marathon (2h 07min 2sec), il a tenu sa promesse d'achever son parcours en apothéose, après les deux titres mondiaux à Paris (2003) et Helsinki (2005).
Gharib a livré une course de haut niveau faisant preuve de sa ferme détermination à monter sur le podium à Pékin. Il a réussi à défié la chaleur accablante, la solidarité des Kenyans et la blessure qui l'avait empêché de participer au marathon de Londres.
Après le recul devant le rythme rapide de la course de ses deux compatriotes Abderrahim Goumri et Abderrahim Bouramdane, Gharib a dû tenir tête seul face à un quatuor Kenyan, un trio éthiopien et un tandem érythréen.
Grâce à son expérience et à une tactique très subtile, il est parvenu à décrocher la deuxième place en 2h 07 min 16 sec, derrière le Kenyan Samuel Kamau Wanjiru (2:06:32). L'Ethiopien Tsegay Kebede a pris la troisième place en 2:10:00 sec.
Avec cette médaille d'argent, Gharib, bien qu'il ait espéré l'or, a réalisé ce que d'autres athlètes ont échoué à accomplir depuis Rome 1960.
Gharib, 36 ans, qui a honoré son pays en lui offrant sa deuxième médaille au marathon dans l'histoire des olympiades, a concrétisé à Pékin le rêve qu'il a longtemps caressé après son premier sacre mondial à Paris.
Fort du deuxième temps national au marathon (2h 07min 2sec), il a tenu sa promesse d'achever son parcours en apothéose, après les deux titres mondiaux à Paris (2003) et Helsinki (2005).
Gharib a livré une course de haut niveau faisant preuve de sa ferme détermination à monter sur le podium à Pékin. Il a réussi à défié la chaleur accablante, la solidarité des Kenyans et la blessure qui l'avait empêché de participer au marathon de Londres.
Après le recul devant le rythme rapide de la course de ses deux compatriotes Abderrahim Goumri et Abderrahim Bouramdane, Gharib a dû tenir tête seul face à un quatuor Kenyan, un trio éthiopien et un tandem érythréen.
Grâce à son expérience et à une tactique très subtile, il est parvenu à décrocher la deuxième place en 2h 07 min 16 sec, derrière le Kenyan Samuel Kamau Wanjiru (2:06:32). L'Ethiopien Tsegay Kebede a pris la troisième place en 2:10:00 sec.
Avec cette médaille d'argent, Gharib, bien qu'il ait espéré l'or, a réalisé ce que d'autres athlètes ont échoué à accomplir depuis Rome 1960.
