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Initiée jusqu'au 22 mars dans la cité ocre, par la Société marocaine d'implantologie et de chirurgie réfractive (Samir), cette rencontre représente une d'occasion pour se focaliser sur les nouveautés de la chirurgie réfractive de l'œil.
Elle se veut également une plate-forme pour les participants pour échanger leurs expériences, partager leur savoir-faire et s'ouvrir sur l'expérience des écoles française et anglaise de chirurgie réfractive et de la cataracte, à savoir le Syndicat national des ophtalmologistes de France (Safir) et le Keratomileusis study group (KMSG).
Pratiquée au Maroc depuis une quinzaine d'années, la chirurgie réfractive "n'a pas l'essor qu'elle mérite" aussi bien au sein de la profession médicale qu'auprès de la population, estiment les organisateurs.
Une telle situation s'explique, d'une part, par la "méfiance" parfois des ophtalmologistes devant cette chirurgie nouvelle et d'autre part, par le "manque" d'informations chez les patients, selon eux.
Elle se veut également une plate-forme pour les participants pour échanger leurs expériences, partager leur savoir-faire et s'ouvrir sur l'expérience des écoles française et anglaise de chirurgie réfractive et de la cataracte, à savoir le Syndicat national des ophtalmologistes de France (Safir) et le Keratomileusis study group (KMSG).
Pratiquée au Maroc depuis une quinzaine d'années, la chirurgie réfractive "n'a pas l'essor qu'elle mérite" aussi bien au sein de la profession médicale qu'auprès de la population, estiment les organisateurs.
Une telle situation s'explique, d'une part, par la "méfiance" parfois des ophtalmologistes devant cette chirurgie nouvelle et d'autre part, par le "manque" d'informations chez les patients, selon eux.
