Les intervenants à cette conférence, initiée dans le cadre de la 23e session de l'Université d'été Al Moatamid Ibn Abbad, ont affirmé que la complémentarité entre ces deux modes dans l'exercice du journalisme est le meilleur moyen pour développer davantage le secteur.
Affichant leur optimisme quant à la survie de la presse écrite face aux nouveaux médias, les participants ont indiqué que la presse écrite connaîtra encore de beaux jours puisque chaque média a son propre public selon l'âge, la couche sociale, le sexe et la génération.
La coexistence entre la presse papier et la presse électronique est possible, ont-ils fait remarquer, relevant que plusieurs publications ont créé leurs versions électroniques.
Ils ont fait savoir que la presse écrite saura relever le défi de la concurrence déséquilibrée avec les nouvelles technologies de l'information, élément désormais complémentaire de la pratique journalistique.
Malgré ces défis, la presse écrite restera le produit le plus noble des médias, ont-ils estimé, relevant que la lecture de journaux est une habitude, une discipline sociale et un signe de développement.
Les nouvelles technologies, qui ont radicalement transformé l'exercice de la profession, sont une opportunité à saisir par les journalistes et responsables d'organe de presse, ont-ils souligné.
Ils ont estimé que le journalisme traverse, actuellement, une période de mutation et de transformation en vue de créer de nouvelles habitudes chez les lecteurs et de nouveaux rapports avec l'écriture tout en introduisant une nouvelle donne relative à la gratuité de l'information.
La véritable menace dont la presse écrite doit faire face est le coût de production qui ne cesse d'augmenter notamment à cause du prix du papier, ont mis en garde les intervenants.
Ils ont par ailleurs indiqué qu'une importante fracture numérique existe entre les pays arabes et étrangers relevant que ce fossé changera la culture d'accès à l'information pour les jeunes générations pointant du doigt l'inexistence de législation dans les pays arabes dans ce sens.
Les intervenants à la 3e session de ce colloque ont insisté sur la création de création d'un fond pour réduire cette fracture dans les pays arabes s'inspirant en cela du "fond numérique " initié par plusieurs pays africains.
L'ancien ministre de la communication, Mohamed Nabil Benabdallah, s'est interrogé dans un exposé sur la survie de la presse écrite face au pouvoir des médias électroniques notamment grâce à la facilité d'accès à l'information sur Internet.
Il a, également, précisé que la presse électronique possède un avantage d'importance vitale puis qu'il fait face à moins de contraintes et de censure en comparaison avec la presse papier relevant que la presse électronique reste prépondérante grâce à sa rapidité, sa diversification et sa présence de par le monde.
Cette conférence, s'est déroulée en présence notamment du ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri, et du secrétaire général de la Fondation Forum d'Asilah, Mohamed Benaïssa et de plusieurs responsables d'organes de presse nationaux et arabes.
Ce colloque, initié en collaboration avec le quotidien +Asharq Al Awsat+ dans le cadre de la 30e édition du Festival culturel international d'Asilah, se penchera également sur deux autres thèmes, en l'occurrence, "Les médias et l'indépendance financière" et "La liberté de la presse et la crise de la culture du dialogue".
Affichant leur optimisme quant à la survie de la presse écrite face aux nouveaux médias, les participants ont indiqué que la presse écrite connaîtra encore de beaux jours puisque chaque média a son propre public selon l'âge, la couche sociale, le sexe et la génération.
La coexistence entre la presse papier et la presse électronique est possible, ont-ils fait remarquer, relevant que plusieurs publications ont créé leurs versions électroniques.
Ils ont fait savoir que la presse écrite saura relever le défi de la concurrence déséquilibrée avec les nouvelles technologies de l'information, élément désormais complémentaire de la pratique journalistique.
Malgré ces défis, la presse écrite restera le produit le plus noble des médias, ont-ils estimé, relevant que la lecture de journaux est une habitude, une discipline sociale et un signe de développement.
Les nouvelles technologies, qui ont radicalement transformé l'exercice de la profession, sont une opportunité à saisir par les journalistes et responsables d'organe de presse, ont-ils souligné.
Ils ont estimé que le journalisme traverse, actuellement, une période de mutation et de transformation en vue de créer de nouvelles habitudes chez les lecteurs et de nouveaux rapports avec l'écriture tout en introduisant une nouvelle donne relative à la gratuité de l'information.
La véritable menace dont la presse écrite doit faire face est le coût de production qui ne cesse d'augmenter notamment à cause du prix du papier, ont mis en garde les intervenants.
Ils ont par ailleurs indiqué qu'une importante fracture numérique existe entre les pays arabes et étrangers relevant que ce fossé changera la culture d'accès à l'information pour les jeunes générations pointant du doigt l'inexistence de législation dans les pays arabes dans ce sens.
Les intervenants à la 3e session de ce colloque ont insisté sur la création de création d'un fond pour réduire cette fracture dans les pays arabes s'inspirant en cela du "fond numérique " initié par plusieurs pays africains.
L'ancien ministre de la communication, Mohamed Nabil Benabdallah, s'est interrogé dans un exposé sur la survie de la presse écrite face au pouvoir des médias électroniques notamment grâce à la facilité d'accès à l'information sur Internet.
Il a, également, précisé que la presse électronique possède un avantage d'importance vitale puis qu'il fait face à moins de contraintes et de censure en comparaison avec la presse papier relevant que la presse électronique reste prépondérante grâce à sa rapidité, sa diversification et sa présence de par le monde.
Cette conférence, s'est déroulée en présence notamment du ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri, et du secrétaire général de la Fondation Forum d'Asilah, Mohamed Benaïssa et de plusieurs responsables d'organes de presse nationaux et arabes.
Ce colloque, initié en collaboration avec le quotidien +Asharq Al Awsat+ dans le cadre de la 30e édition du Festival culturel international d'Asilah, se penchera également sur deux autres thèmes, en l'occurrence, "Les médias et l'indépendance financière" et "La liberté de la presse et la crise de la culture du dialogue".
