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Réunissant décideurs de la région et experts de tous bords, cette rencontre, organisée en collaboration avec l'Association "Amal" pour le développement économique et la protection de l'environnement, a permis aux participants de mettre en relief le potentiel de cette filière et son impact socio-économique positif.
Ils ont à ce propos appelé à tirer profit des perspectives qui se présentent devant cette culture de plus en plus prisée sur le plan international.
Le wali de la région, Hassan Aourid, a ainsi plaidé pour la mise en valeur de cette filière qui a tous les atouts pour affronter la compétitivité sur le marché international, d'autant plus que la demande des produits du caroubier au niveau mondial est de plus en plus grande.
La culture du caroubier, qui ne demande ni irrigation ni d'importants frais, peut générer un bénéfice de 5.000 DH par arbre, a-t-il fait remarquer, appelant à prévoir des mesures incitatives pour la promotion de cette filière à forte valeur ajouté dans la région.
Mme Ghizlane Echchgadda, de l'Ecole nationale d'agriculture de Meknès a, pour sa part, indiqué que le caroubier occupe au Maroc une superficie de plus de 30.000 ha (plaines et montagnes du Rif, du Moyen Atlas, du Haut Atlas et de l'Anti-Atlas), notant que la principale population spontanée de caroubier est localisée dans la région de Khénifra entre 600 et 1.000 m d'altitude.
Parmi les bienfaits du caroubier, elle a cité les utilisations médicales pour le traitement de certaines maladies et infections, ainsi que les utilisations industrielles dans plusieurs domaines (agroalimentaire, cosmétique et industrie pharmaceutique).
De son côté, Hajib El Kasmi, enseignant-chercheur, a mis en relief les potentialités économiques de cet arbre fruitier, dont la demande mondiale est estimée à 60.000 tonnes par an, alors que la production mondiale se situe à environ 35.000 tonnes annuellement, précisant que le Maroc occupe la 2e place au niveau international après l'Espagne avec une production de 10.000 tonnes par an.
M. El Kasmi a, également, souligné la nécessité de la mise en place d'une stratégie pour l'amélioration de la production et la commercialisation des fruits de cet arbre, d'autant que, a-t-il dit, la production des pays concurrents est en nette régression face à une augmentation respective de 3% et de 7% par an de la demande mondiale et nationale.
Au terme de cette journée, les participants ont jugé opportun la promotion de la culture du caroubier au niveau de la région Meknès-Tafilalet, qui présente des conditions climatiques appropriées pour le développement de cette espèce végétale.
Ils ont suggéré l'organisation et le regroupement des producteurs et distributeurs, l'encouragement de partenariats et la création d'un agropôle du caroubier, à l'instar de celui de l'olivier.
Ils ont à ce propos appelé à tirer profit des perspectives qui se présentent devant cette culture de plus en plus prisée sur le plan international.
Le wali de la région, Hassan Aourid, a ainsi plaidé pour la mise en valeur de cette filière qui a tous les atouts pour affronter la compétitivité sur le marché international, d'autant plus que la demande des produits du caroubier au niveau mondial est de plus en plus grande.
La culture du caroubier, qui ne demande ni irrigation ni d'importants frais, peut générer un bénéfice de 5.000 DH par arbre, a-t-il fait remarquer, appelant à prévoir des mesures incitatives pour la promotion de cette filière à forte valeur ajouté dans la région.
Mme Ghizlane Echchgadda, de l'Ecole nationale d'agriculture de Meknès a, pour sa part, indiqué que le caroubier occupe au Maroc une superficie de plus de 30.000 ha (plaines et montagnes du Rif, du Moyen Atlas, du Haut Atlas et de l'Anti-Atlas), notant que la principale population spontanée de caroubier est localisée dans la région de Khénifra entre 600 et 1.000 m d'altitude.
Parmi les bienfaits du caroubier, elle a cité les utilisations médicales pour le traitement de certaines maladies et infections, ainsi que les utilisations industrielles dans plusieurs domaines (agroalimentaire, cosmétique et industrie pharmaceutique).
De son côté, Hajib El Kasmi, enseignant-chercheur, a mis en relief les potentialités économiques de cet arbre fruitier, dont la demande mondiale est estimée à 60.000 tonnes par an, alors que la production mondiale se situe à environ 35.000 tonnes annuellement, précisant que le Maroc occupe la 2e place au niveau international après l'Espagne avec une production de 10.000 tonnes par an.
M. El Kasmi a, également, souligné la nécessité de la mise en place d'une stratégie pour l'amélioration de la production et la commercialisation des fruits de cet arbre, d'autant que, a-t-il dit, la production des pays concurrents est en nette régression face à une augmentation respective de 3% et de 7% par an de la demande mondiale et nationale.
Au terme de cette journée, les participants ont jugé opportun la promotion de la culture du caroubier au niveau de la région Meknès-Tafilalet, qui présente des conditions climatiques appropriées pour le développement de cette espèce végétale.
Ils ont suggéré l'organisation et le regroupement des producteurs et distributeurs, l'encouragement de partenariats et la création d'un agropôle du caroubier, à l'instar de celui de l'olivier.
