Ce projet constitue une grande avancée en matière de modernisation de l'administration de la justice et des outils de travail et autres modes de gestion de manière à garantir l'accès à la justice, la résolution des litiges avec transparence et simplifier les procédures tout en réduisant les délais d'instance.
L'objectif recherché par ce projet est également de garantir la qualité des prestations fournies par les juridictions.
Ce projet se distingue par son approche globale et intégrée de la modernisation du secteur en ciblant le renforcement des infrastructures techniques des tribunaux et la performance du système judiciaire afin qu'il puisse être en phase avec l'évolution politique et socioéconomique que connaît le Royaume.
Intervenant à cette occasion, M. Radi a souligné que ce projet est l'un des chantiers de réformes les plus importants au Maroc, dans la mesure où la justice est placée au coeur des choix stratégiques pour lesquels le Maroc a opté, le but étant de gagner le pari du développement et de la modernisation.
Le ministre a indiqué que ce projet concerne aujourd'hui 40 juridictions dont 19 Cours d'appel et 21 tribunaux de première instance (TPI), y compris les juridictions de la famille qui en relèvent.
Ce projet, a-t-il ajouté, couvrira 90% des Cours d'appel et 23% des TPI, faisant savoir qu'une attention particulière a été accordée aux juridictions qui connaissent le plus grand nombre de justiciables.
Dans ce cadre, l'informatisation concernera quelque 68% des affaires en instance au niveau des Cours d'appel et des tribunaux de première instance du Royaume.
En outre, ce projet constitue une plate-forme solide pour la généralisation de la modernisation aux 44 TPI et deux cours d'appel restants.
Pour sa part, M. De Thomas a souligné que le gouvernement marocain s'est engagé depuis la fin des années 90 dans un processus de rénovation du service public et de réforme de l'administration, rappelant que l'objectif recherché par la gestion du secteur de la justice est de rétablir la confiance chez les magistrats et les citoyens.
Il a ajouté que l'UE ne pouvait qu'appuyer ce processus, en programmant un appui au développement d'une partie de ce plan par l'octroi d'une subvention d'environ 280 millions de dirhams.
L'Union européenne, dans le cadre de sa programmation couvrant la période 2007-2010 a apporté un soutien nouveau au domaine de la justice en matière d'accompagnement du plan national de modernisation de l'administration pénitentiaire, d'appui aux sections de la famille au sein des tribunaux en vue d'accompagner les dispositions du Code de la famille ainsi qu'à la justice des mineurs dans le cade de l'accompagnement des réformes du code de procédure pénale, a-t-il poursuivi.
Parmi les réalisation du projet «Meda» pour la modernisation de la justice figurent la mise en place d'un système automatisé des juridictions, d'une base de données juridique et judiciaire du ministère de la Justice pouvant être consultée à partir du portail «Adala.justice» lancé officiellement mardi et qui contient, dans un premier temps 50.000 pages, outre la mise en place de 5 centres d'archivage à Casablanca, Fès, Meknès, Nador, Oujda, Marrakech, Agadir, Tanger et Tétouan.
Ont également été crées dans le cadre de ce projet, a poursuivi M. De Thomas, des Guichets d'information judiciaire devant faciliter l'accès, l'orientation et la consultation en ligne au niveau des tribunaux. S'y ajoute la mise en place du système d'information documentaire à travers l'organisation, la documentation et l'équipement en informatique, mobilier et logistique dans l'ensemble des tribunaux concernés.
L'objectif recherché par ce projet est également de garantir la qualité des prestations fournies par les juridictions.
Ce projet se distingue par son approche globale et intégrée de la modernisation du secteur en ciblant le renforcement des infrastructures techniques des tribunaux et la performance du système judiciaire afin qu'il puisse être en phase avec l'évolution politique et socioéconomique que connaît le Royaume.
Intervenant à cette occasion, M. Radi a souligné que ce projet est l'un des chantiers de réformes les plus importants au Maroc, dans la mesure où la justice est placée au coeur des choix stratégiques pour lesquels le Maroc a opté, le but étant de gagner le pari du développement et de la modernisation.
Le ministre a indiqué que ce projet concerne aujourd'hui 40 juridictions dont 19 Cours d'appel et 21 tribunaux de première instance (TPI), y compris les juridictions de la famille qui en relèvent.
Ce projet, a-t-il ajouté, couvrira 90% des Cours d'appel et 23% des TPI, faisant savoir qu'une attention particulière a été accordée aux juridictions qui connaissent le plus grand nombre de justiciables.
Dans ce cadre, l'informatisation concernera quelque 68% des affaires en instance au niveau des Cours d'appel et des tribunaux de première instance du Royaume.
En outre, ce projet constitue une plate-forme solide pour la généralisation de la modernisation aux 44 TPI et deux cours d'appel restants.
Pour sa part, M. De Thomas a souligné que le gouvernement marocain s'est engagé depuis la fin des années 90 dans un processus de rénovation du service public et de réforme de l'administration, rappelant que l'objectif recherché par la gestion du secteur de la justice est de rétablir la confiance chez les magistrats et les citoyens.
Il a ajouté que l'UE ne pouvait qu'appuyer ce processus, en programmant un appui au développement d'une partie de ce plan par l'octroi d'une subvention d'environ 280 millions de dirhams.
L'Union européenne, dans le cadre de sa programmation couvrant la période 2007-2010 a apporté un soutien nouveau au domaine de la justice en matière d'accompagnement du plan national de modernisation de l'administration pénitentiaire, d'appui aux sections de la famille au sein des tribunaux en vue d'accompagner les dispositions du Code de la famille ainsi qu'à la justice des mineurs dans le cade de l'accompagnement des réformes du code de procédure pénale, a-t-il poursuivi.
Parmi les réalisation du projet «Meda» pour la modernisation de la justice figurent la mise en place d'un système automatisé des juridictions, d'une base de données juridique et judiciaire du ministère de la Justice pouvant être consultée à partir du portail «Adala.justice» lancé officiellement mardi et qui contient, dans un premier temps 50.000 pages, outre la mise en place de 5 centres d'archivage à Casablanca, Fès, Meknès, Nador, Oujda, Marrakech, Agadir, Tanger et Tétouan.
Ont également été crées dans le cadre de ce projet, a poursuivi M. De Thomas, des Guichets d'information judiciaire devant faciliter l'accès, l'orientation et la consultation en ligne au niveau des tribunaux. S'y ajoute la mise en place du système d'information documentaire à travers l'organisation, la documentation et l'équipement en informatique, mobilier et logistique dans l'ensemble des tribunaux concernés.
