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A cette occasion, le secrétaire général du ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Bousselham Hilia, a assuré que le développement du secteur de l'offshoring s'inscrit dans le cadre de la stratégie "Emergence" en mettant l'accent sur les mesures prises par le gouvernement pour le développement de l'industrie et du secteur de l'offshoring.
Il a fait état des accords de partenariats et de libre échange conclus entre le Maroc, l'Union Européenne, les Etats-Unis et certains pays arabes et qui ouvrent pour les opérateurs économiques les perspectives d'un marché d'un milliard de consommateurs, soulignant que la stratégie volontariste intégrée adoptée par le Maroc cible sept secteurs prioritaires, dont l'offshoring, l'automobile, l'aéronautique, l'électronique, le textile, l'agro-industrie et la transformation des produits de mer.
Il a traité ensuite des atouts et de l'offre du Maroc en matière d'offshoring, mettant en relief les zones dédiées au secteur dont Casanearshore, Technopolis et Fès Shore, les infrastructures de transport, les télécommunications, et le cadre sectoriel incitatif portant sur l'allégement de la fiscalité au travail et de l'entreprise, le régime administratif allégé adapté aux Petites et moyennes entreprises (PME) et un pool de ressources compétitif avec aide directe à la formation des cadres.
De son côté, le ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Jamal Rhmani, a affirmé, dans une allocution lue en son nom, que "le Maroc constitue une destination compétitive et attractive de l'offshoring, de par sa proximité géographique, culturelle et linguistique, la disponibilité de ses ressources humaines, la qualité de son infrastructure".
Il a ajouté que le secteur de l'offshoring pourra créer environ 100.000 emplois à l'horizon 2015, soulignant que le Maroc a mis en place un "vaste programme pour la formation des ressources humaines d'une haute qualification répondant aux exigences des entreprises installées ou susceptibles de s'installer dans le secteur".
Le wali de la région Fès-Boulemane, Mohamed Rharrabi, a pour sa part indiqué que les pouvoirs publics se sont assignés pour objectifs il y a deux ans de réaliser les projets de "Fes Shore" et du "Technopolis" de Fès, mettant l'accent sur les potentialités d'investissement qu'offre la ville de Fès avec ses infrastructures dans les secteurs de transport, de télécommunications et de formation des ressources humaines.
Le wali a espéré que cette rencontre puisse donner un "nouveau regard" sur l'avenir de la ville de Fès et permettre de "finaliser certains projets en offshoring" pour l'essor socio-économique de la région.
Dans le cadre du premier panel sur "Fès Shore, enjeux et perspectives", sont intervenus le directeur du CRI de Fès-Boumelmane, Fouad Ouzzine, le président de l'université Sidi Mohammed Benabdellah, Taoufiq Ouazzani Chahdi, le directeur général de Casanearshore, Tajeddine Lasry, et les représentants de l'Office de la Formation Professionnelle et de la Formation du Travail (OFPPT), qui ont traité, chacun en ce qui le concerne, des potentialités et atouts de la ville de Fès, du projet de "Fes Shore", du rôle de l'université en tant que moteur de développement de l'offshoring à Fès et de la formation professionnelle et des dispositifs de l'ANAPEC dans l'offshoring.
Selon M. Lasry, le projet "Fès Shore", troisième complexe au Maroc dédié aux métiers de l'offshoring et aux technologies de l'information sera réalisé sur la route menant à Sidi Hrazem dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, la wilaya, le CRI et Medz, filiale du holding CDG développement. Le projet qui s'étendra sur une superficie globale de 22 ha dont une superficie utile de 113.000 M2 offrira ses prestations aux plus grandes entreprises multinationales et aux sociétés marocaines spécialisées et permettra de développer un espace intégré dédié aux activités des services informatiques, de traitement de données et de processus métiers.
Le programme du séminaire a porté également sur un second panel où plusieurs intervenants ont traité du thème "Retour d'expérience" en matière d'offshoring.
Il a fait état des accords de partenariats et de libre échange conclus entre le Maroc, l'Union Européenne, les Etats-Unis et certains pays arabes et qui ouvrent pour les opérateurs économiques les perspectives d'un marché d'un milliard de consommateurs, soulignant que la stratégie volontariste intégrée adoptée par le Maroc cible sept secteurs prioritaires, dont l'offshoring, l'automobile, l'aéronautique, l'électronique, le textile, l'agro-industrie et la transformation des produits de mer.
Il a traité ensuite des atouts et de l'offre du Maroc en matière d'offshoring, mettant en relief les zones dédiées au secteur dont Casanearshore, Technopolis et Fès Shore, les infrastructures de transport, les télécommunications, et le cadre sectoriel incitatif portant sur l'allégement de la fiscalité au travail et de l'entreprise, le régime administratif allégé adapté aux Petites et moyennes entreprises (PME) et un pool de ressources compétitif avec aide directe à la formation des cadres.
De son côté, le ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Jamal Rhmani, a affirmé, dans une allocution lue en son nom, que "le Maroc constitue une destination compétitive et attractive de l'offshoring, de par sa proximité géographique, culturelle et linguistique, la disponibilité de ses ressources humaines, la qualité de son infrastructure".
Il a ajouté que le secteur de l'offshoring pourra créer environ 100.000 emplois à l'horizon 2015, soulignant que le Maroc a mis en place un "vaste programme pour la formation des ressources humaines d'une haute qualification répondant aux exigences des entreprises installées ou susceptibles de s'installer dans le secteur".
Le wali de la région Fès-Boulemane, Mohamed Rharrabi, a pour sa part indiqué que les pouvoirs publics se sont assignés pour objectifs il y a deux ans de réaliser les projets de "Fes Shore" et du "Technopolis" de Fès, mettant l'accent sur les potentialités d'investissement qu'offre la ville de Fès avec ses infrastructures dans les secteurs de transport, de télécommunications et de formation des ressources humaines.
Le wali a espéré que cette rencontre puisse donner un "nouveau regard" sur l'avenir de la ville de Fès et permettre de "finaliser certains projets en offshoring" pour l'essor socio-économique de la région.
Dans le cadre du premier panel sur "Fès Shore, enjeux et perspectives", sont intervenus le directeur du CRI de Fès-Boumelmane, Fouad Ouzzine, le président de l'université Sidi Mohammed Benabdellah, Taoufiq Ouazzani Chahdi, le directeur général de Casanearshore, Tajeddine Lasry, et les représentants de l'Office de la Formation Professionnelle et de la Formation du Travail (OFPPT), qui ont traité, chacun en ce qui le concerne, des potentialités et atouts de la ville de Fès, du projet de "Fes Shore", du rôle de l'université en tant que moteur de développement de l'offshoring à Fès et de la formation professionnelle et des dispositifs de l'ANAPEC dans l'offshoring.
Selon M. Lasry, le projet "Fès Shore", troisième complexe au Maroc dédié aux métiers de l'offshoring et aux technologies de l'information sera réalisé sur la route menant à Sidi Hrazem dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, la wilaya, le CRI et Medz, filiale du holding CDG développement. Le projet qui s'étendra sur une superficie globale de 22 ha dont une superficie utile de 113.000 M2 offrira ses prestations aux plus grandes entreprises multinationales et aux sociétés marocaines spécialisées et permettra de développer un espace intégré dédié aux activités des services informatiques, de traitement de données et de processus métiers.
Le programme du séminaire a porté également sur un second panel où plusieurs intervenants ont traité du thème "Retour d'expérience" en matière d'offshoring.
