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Lors de cette rencontre consacrée à l'évaluation "des besoins spécifiques des secteurs du Plan d'Emergence en matière des ressources humaines", le ministre de l'Emploi et la Formation Professionnelle, Jamal Rhmani, a brossé un tableau récapitulant les efforts que ne cesse de déployer le gouvernement afin de concrétiser les objectifs tracés dans le cadre de ce plan.
La réalisation de ces objectifs, a-t-il souligné, figure en tête des préoccupations du gouvernement, ajoutant que le passage à une vitesse supérieure en la matière se traduit par l'importance accordée à l'amélioration de la qualité de formation et aux mesures d'accompagnement des sociétés opérant dans les secteurs ciblés par le plan.
L'optimisation de l'action gouvernementale dans ce cadre se traduit également par la tendance à promouvoir les économies régionales par l'attraction des investissements nationaux et étrangers vers les régions et les provinces du Royaumes, a-t-il expliqué.
Et de poursuivre que cette vision économique régionale repose sur des études régionales dont l'objectif est de mettre en relief le potentiel économique et humain que recèle chaque ville et chaque région de manière à favoriser l'identification des investissements à y promouvoir.
Cette stratégie d'une économie diversifiée dans l'espace et dans le temps est appuyée par le lancement en parallèle d'un recensement des ressources humaines dans chaque région, dans le but de connaître les besoins des entreprises en matière d'emploi, a-t-il ajouté, précisant que la priorité est accordée aux jeunes afin de les insérer dans le tissu économique locale.
Lors de ce séminaire, le directeur de l'Anapec, Hafid Kamal, a présenté les grandes lignes d'une feuille de route qui propose aux industriels aéronautiques, constructeurs d'Automobile et aux opérateurs en offshoring une batterie de services en matière d'emploi, et ce sur la base d'une formation à la carte.
Des conventions ont été signées, à cette occasion, entre l'Anapec et les représentants de ces secteurs dans ce sens.
Lancé en 2005, le Plan Emergence avait retenu un ensemble de secteurs économiques porteurs de développement pour l'économie marocaine, à savoir l'automobile, l'aéronautique, l'offshoring, l'électronique, le textile, l'agroalimentaire, le tourisme et l'artisanat.
La réalisation de ces objectifs, a-t-il souligné, figure en tête des préoccupations du gouvernement, ajoutant que le passage à une vitesse supérieure en la matière se traduit par l'importance accordée à l'amélioration de la qualité de formation et aux mesures d'accompagnement des sociétés opérant dans les secteurs ciblés par le plan.
L'optimisation de l'action gouvernementale dans ce cadre se traduit également par la tendance à promouvoir les économies régionales par l'attraction des investissements nationaux et étrangers vers les régions et les provinces du Royaumes, a-t-il expliqué.
Et de poursuivre que cette vision économique régionale repose sur des études régionales dont l'objectif est de mettre en relief le potentiel économique et humain que recèle chaque ville et chaque région de manière à favoriser l'identification des investissements à y promouvoir.
Cette stratégie d'une économie diversifiée dans l'espace et dans le temps est appuyée par le lancement en parallèle d'un recensement des ressources humaines dans chaque région, dans le but de connaître les besoins des entreprises en matière d'emploi, a-t-il ajouté, précisant que la priorité est accordée aux jeunes afin de les insérer dans le tissu économique locale.
Lors de ce séminaire, le directeur de l'Anapec, Hafid Kamal, a présenté les grandes lignes d'une feuille de route qui propose aux industriels aéronautiques, constructeurs d'Automobile et aux opérateurs en offshoring une batterie de services en matière d'emploi, et ce sur la base d'une formation à la carte.
Des conventions ont été signées, à cette occasion, entre l'Anapec et les représentants de ces secteurs dans ce sens.
Lancé en 2005, le Plan Emergence avait retenu un ensemble de secteurs économiques porteurs de développement pour l'économie marocaine, à savoir l'automobile, l'aéronautique, l'offshoring, l'électronique, le textile, l'agroalimentaire, le tourisme et l'artisanat.
