Lancé en 2004 pour une durée de cinq ans, ce projet est exécuté dans les pays de l'Afrique du Nord et de l'Ouest de l'Asie avec le soutien du Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) qui a alloué un don aux pays focaux (le Maroc dans les zones pluviales, l'Egypte dans les zones irriguées et la Jordanie dans la collecte des eaux pluviales).
Ce projet est conduit en utilisant une approche participative qui place les agriculteurs au centre de la conception et du suivi des activités programmées.
L'objectif principal est l'adoption par les communautés agraires de nouvelles stratégies et techniques adaptées aux systèmes d'irrigation d'appoint permettant une utilisation conjonctive et optimale de l'eau des pluies et des ressources en eau limitées en vue d'assurer une productivité de l'eau meilleure et durable.
Au Maroc, le périmètre irrigué du Tadla a été choisi comme "site pilote» en se basant sur les critères retenus avec les différents partenaires impliqués.
Un programme intégré de recherche appliquée a été établi et réalisé dans deux communes (Oulad Zmam et Bradia). Ces deux sites abritent des essais dont l'objectif spécifique est l'amélioration durable de la productivité de l'eau de l'irrigation de compléments sous les conditions réelles des exploitations.
Les résultats font état d'une possibilité d'amélioration de la gestion de l'eau d'irrigation dans les régions choisies. Ces améliorations ne se limitent pas aux aspects techniques mais sont conditionnées par les aspects organisationnels, politiques et économiques.
Ainsi, les intervenants lors de cet atelier ont soulevé des problèmes liés au coût élevé d'irrigation, de programmation des lâchés et de l'eau d'irrigation, du faible niveau technique des agriculteurs en matière d'irrigation qui est lié à leur encadrement et l'inefficacité des associations des usagers de l'eau agricole.
Selon les agriculteurs, la contrainte principale à l'adoption des techniques modernes d'irrigation est la programmation des lâchés d'eau qui ne coïncide pas souvent aux stades critiques des cultures. Pour la technique d'irrigation par aspersion, le problème tient à la faiblesse de la pression offerte par le réseau lui-même, ajoutent-ils.
En ce qui concerne la technique d'irrigation goûte à goutte, les agriculteurs pointent du doigt le coût élevé de la technologie.
Auparavant, le directeur de l'ORMVAT, Khammar Hmamou, a mis en exergue l'impact positif de ce projet sur la productivité économique de l'eau dans la région. Il s'est également félicité de l'intérêt accordé par le Plan Maroc Vert aux techniques d'irrigation économes.
Les exposés faits lors de cette rencontre ont été axés sur «La gestion rationnelle de l'eau à travers l'adoption de techniques modernes testées sur une période de quatre ans dans le périmètre du Tadla», «La politique de l'eau agricole au Maroc : situation actuelle et perspectives d'avenir» et «L'amélioration de la conduite de l'irrigation des agrumes».
Ce projet est conduit en utilisant une approche participative qui place les agriculteurs au centre de la conception et du suivi des activités programmées.
L'objectif principal est l'adoption par les communautés agraires de nouvelles stratégies et techniques adaptées aux systèmes d'irrigation d'appoint permettant une utilisation conjonctive et optimale de l'eau des pluies et des ressources en eau limitées en vue d'assurer une productivité de l'eau meilleure et durable.
Au Maroc, le périmètre irrigué du Tadla a été choisi comme "site pilote» en se basant sur les critères retenus avec les différents partenaires impliqués.
Un programme intégré de recherche appliquée a été établi et réalisé dans deux communes (Oulad Zmam et Bradia). Ces deux sites abritent des essais dont l'objectif spécifique est l'amélioration durable de la productivité de l'eau de l'irrigation de compléments sous les conditions réelles des exploitations.
Les résultats font état d'une possibilité d'amélioration de la gestion de l'eau d'irrigation dans les régions choisies. Ces améliorations ne se limitent pas aux aspects techniques mais sont conditionnées par les aspects organisationnels, politiques et économiques.
Ainsi, les intervenants lors de cet atelier ont soulevé des problèmes liés au coût élevé d'irrigation, de programmation des lâchés et de l'eau d'irrigation, du faible niveau technique des agriculteurs en matière d'irrigation qui est lié à leur encadrement et l'inefficacité des associations des usagers de l'eau agricole.
Selon les agriculteurs, la contrainte principale à l'adoption des techniques modernes d'irrigation est la programmation des lâchés d'eau qui ne coïncide pas souvent aux stades critiques des cultures. Pour la technique d'irrigation par aspersion, le problème tient à la faiblesse de la pression offerte par le réseau lui-même, ajoutent-ils.
En ce qui concerne la technique d'irrigation goûte à goutte, les agriculteurs pointent du doigt le coût élevé de la technologie.
Auparavant, le directeur de l'ORMVAT, Khammar Hmamou, a mis en exergue l'impact positif de ce projet sur la productivité économique de l'eau dans la région. Il s'est également félicité de l'intérêt accordé par le Plan Maroc Vert aux techniques d'irrigation économes.
Les exposés faits lors de cette rencontre ont été axés sur «La gestion rationnelle de l'eau à travers l'adoption de techniques modernes testées sur une période de quatre ans dans le périmètre du Tadla», «La politique de l'eau agricole au Maroc : situation actuelle et perspectives d'avenir» et «L'amélioration de la conduite de l'irrigation des agrumes».
